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Cette semaine aura été marquée par le retour en force du CAFÉ dans les locaux du Tag. Je le mets en majuscules parce qu’on l’aime très serré et qu’on en boit beaucoup, du coup on se sent parfois un peu fébriles et surhumains en même temps, c’est intéressant. L’horrible vérité c’est qu’on le boirait bien un peu moins fort mais qu’on a du mal à doser notre café équitable dans la machine, alors on fait avec. Pendant que la caféine nous grille les systèmes, le grand mystère en carton de la masturbation féminine va rapporter pas mal de sous à quelques audacieuses, ce gentleman Alan Theo s’apprête à lancer sa boîte de production pan-pornographique et les AVN sont déjà là. Tout va si vite. Une cumpilation signée Gonzo, Saint-Serninavecuntiret et Le Serbe.
Toutes les femmes de ta vie• Une petite équipe de féministes vient de lancer un grand casting sur Tumblr. Elles sont à la recherche de femmes “réelles, diverses et sûres d’elles” qui accepteraient de se masturber devant une caméra et de parler de leurs expériences en solitaire. L’objectif est de désacraliser cette pratique soi-disant taboue, défigurée par le grand méchant X. Dédicace à I Feel Myself et à tous les autres pornographes de la bonne parole qui s’efforcent de propager la beauté du réel. En tout cas, le collectif sait comment rameuter les foules ; les volontaires seront logées pour deux nuits dans un hôtel quatre étoiles de Los Angeles, tous frais payés. Le billet d’avion est inclus, ainsi qu’un petit salaire de mille dollars par jour.
• Quand les coups de teubs tombent, personne ne peut se relever. Lass Suicide, égérie Front Mag est en couv du numéro 190 et la distance qui nous sépare de l’écran ressemble à un étau de plus en serré autour de nos petits bijoux. Dans cette vidéo tournée dans des conditions extrêmes (ses tétons pointant plus fort qu’un vilain qui montre du doigt), Lass ne fait rien d’autre à part exister et c’est déjà énorme. Tellement qu’il n’existe plus rien autour d’elle et notre envie devient un satellite en rotation infinie autour de ce foutu ordi.
• Cette semaine, Asphyxia Noir est à l’honneur chez Peeperz. La copine du tendre Danny Wylde fait l’objet d’une compilation de cinq vidéos, sélectionnées pour l’occasion par une rédactrice clairement amoureuse d’elle. Si vous aimez l’alternatif et que vous ne la connaissez pas encore, on vous recommande chaudement d’aller y jeter un coup d’oeil. Si vous n’aimez pas l’alternatif, c’est pareil. Vous allez apprendre à aimer les tatouages et les cheveux noir corbeau. Quoi, vous n’avez jamais écouté les Distillers quand vous aviez quinze ans ?
Tapis rouge• Les AVN Awards approchent à grand pas – en fait, c’est déjà demain. Cette année, c’est le gigantesque Hard Rock Hotel & Casino qui accueille la trente-et-unième édition des Oscars pour adultes. Pour l’occasion, les organisateurs ont mis du doré partout. Le programme est pour le moins chargé, il y a plus de cent trente récompenses à remettre. Avec, on vous le rappelle, une nouveauté non négligeable : l’ouverture de la catégorie BBW, véritable consécration mainstream pour les amateurs. Sinon, au Tag, on attend avec impatience l’award du meilleur titre de l’année. On parie sur Slut Bottom Chris Meets the Prostate Assassin.
• Un journaliste du Las Vegas Sun a interviewé Steven Hirsch, l’emblématique patron de Vivid. Nous retiendrons quelques infos lâchées par Steven l’air de rien. Pour sa boite, le DVD ne représente plus que 10 % des ventes. Pour améliorer ses fins de mois, il table sur plusieurs trucs : la télé avec la chaîne Vivid qui touche 60 millions de foyers, l’offre exclusive en parodies de super héros et en sex tapes (toujours plus professionnelles) et Vivid Radio sur le réseau Sirius XM et ses 30 millions d’auditeurs. Il lance aussi des clubs de strip à travers les US et un cabaret à Manhattan. Hirsch reconnait au détour d’une phrase que la lutte contre le contenu illégal sur les tubes est plus simple qu’avant. Les choses se régulent et la sortie de sa grosse production de l’année, le remake de Derrière la porte verte devrait lui rapporter un beau paquet de Bitcoins. Pour terminer, il annonce que 2014 sera une « grosse année pour la sex tape de célébrité ».
En bref• Le porno se lâche sur le Bitcoin, la monnaie des Internets. Naughty America accepte les biftons digitaux depuis ce mois-ci et Porn.com a augmenté son CA de 25 % depuis décembre dernier grâce à ça. Finis les dollars, le cash se fait la malle, le porn veut palper en virtuel. Cet engouement pour le Bitcoin fait dire aux évangélistes de la Toile que nous pourrions être devant un nouveau cas de VHS : le Bitcoin pourrait envahir le monde grâce au porno.
• Au détour d’une interview pour MFM, Allan Théo annonce la création de son studio de production. Le beau stripteaseur/chanteur/compositeur/acteur porno va produire du porno pour tous. Dans la mouvance du “marre que le porno ne soit que pour les mecs”, il va faire fapper tout le monde sans discrimination en se basant sur les fantasmes féminins. Ce sera hard, prévient-il.
En couverture : Lass Suicide
Her de Spike Jonze raconte l’histoire d’un homme qui tombe amoureux d’une Siri du futur, une voix numérique qui l’accompagne partout (interprétée par Scarlett Johansson). J’en frissonne d’impatience dans mes dessous, la sortie française est prévue le 19 mars prochain. Ce film fait réagir Greta Christina, une blogueuse américaine dans Io9, le média déjà dans le futur. Avec le progrès, on finira un jour par avoir des robots et Greta se demande si elle ferait l’amour à l’un d’eux.
Pour Greta, baiser avec un robot c’est OK tant qu’il n’a pas de conscience. Paie ton degré d’analyse, si l’humanoïde actionné par des microprocesseurs ne se rend pas compte qu’il est un esclave sexuel, tout va bien. Il ne s’agirait de rien de plus que fourrer une sex doll, mais avec une expérience utilisateur de bien meilleure qualité. « L’idée de créer un être conscient existant pour servir les désirs sans en avoir aucun est condamnable », selon Greta. Elle n’a pas tort, mais elle se perd après dans des considérations éthiques. De mon côté, j’aimerais détailler les raisons qui nous pousseraient à nous servir des robots pour s’envoyer en l’air.
Deux choses assez simples : soit on utilise un robot sexuel pour compenser une relation sexuelle, soit l’androïde se substitue à une main droite (ou gauche). Baiser et fapper sont deux choses différentes. Je m’explique.
Remplacer l’humainBaiser et faire l’amour sont déjà deux manières d’aborder la sexualité, mais dans les deux cas, il y a interaction entre les personnes. On couche avec quelqu’un, j’aime à penser que l’individu rend le moment partagé unique par sa présence et nos jeux. Je suis un indécrottable romantique, désolé. Dans ce cas, se servir d’un ersatz d’humain soulève énormément de débats que les auteurs de science-fiction ne finissent pas d’explorer. Mais bon, il suffit de mater un documentaire sur ces types qui vivent avec une sex doll pour visualiser un futur terrifiant (ou un vieux Confessions intimes sur les agriculteurs qui cherchent l’amour à l’Est). Exception faite des femmes robots dans Austin Powers, elles sont assez groovy pour risquer le péril d’une amourette.
Tout plaquer et vivre une amourette avec une femme robot
Assister l’humainLe fap, lui, n’implique nul autre que son imagination ou un support masturbatoire. Engager un robot dans ce contexte écarte le côté flippant, car l’androïde ne représente plus qu’un outil évolué pour satisfaire une pratique égoïste.
J’entends souvent cette phrase, « tu te branles, parce que tu n’as pas de meuf ». Cette assertion péremptoire n’est pas entièrement vraie. Parfois, la branlette vient assécher un désir trop grand quant à l’urgence hormonale de trouver une partenaire. Mais dans 97,36 % des cas, je fappe pour le plaisir de fapper, de me procurer une jouissance accompagnée de fantasmes soutenus par les tags pornographiques que j’affectionne. Je me branle par choix, pas parce que je ne peux faire autrement.
Donc un robot sexuel pour fapper, je dis oui, un grand oui même. Imaginons tous ensemble : nous sommes assis devant l’ordinateur ou allongés sur le lit, le robot place sa tête face à l’endroit stratégique et commence une fellation ou un cunnilingus que nous avons programmé spécialement selon nos préférences. Tu aimes les coups de langue légers autour du clitoris, pas de soucis, il suffit au moment opportun de lâcher un mot-clé entre deux râles et le processus de lapement se modifie pour une insistance prononcée. Idem pour la pipe. Rien à penser, juste se laisser aller et se concentrer sur un souvenir, une vidéo ou les dernières photos de Madonna seins nus (je ne vous juge pas).
La branlette assistée par la robotique : un doux rêve
Utiliser un robot pour améliorer le fap, je ne vois pas de problèmes, au contraire. Par contre, si le réplicant remplace une interaction humaine, le débat est sans fin et nous n’avons pas la place dans cet article pour discuter du sexe et des relations robotiques. Attendons la sortie de Her et visionnons à nouveau Metropolis, Blade Runner, Battlestar Galactica ou relisons Asimov pour nous éclairer.
D’autant que le jour où les androïdes deviendront des alternatives à la prostitution ou à l’amour, la NSA s’en mêlera et Big Brother vous regardera baiser, afin de vérifier si vous ne profitez pas du coït pour préparer un attentat terroriste. Il faudra alors s’en tenir à la règle énoncée dans Futurama : Don’t date robots!
Le trio vocal féminin Sweet system met son art au profit de la cause abolitionniste ! Au-delà de la bonne action - le prix des places va à la délégation du Mouvement du Nid du Loiret - c'est à un beau moment de jazz et de convivialité que nous vous invitons...
Infos pratiquesLe dimanche 9 février à 17h00
Entrée : 15 euros, 10 euros pour les moins de 26 ans
Renseignements et réservations au 06 99 53 04 02 / 06 75 08 50 69
Salle de l'Institut, 4 place Sainte-Croix, Orléans.
Le trio a remporté le prix "Révélations jazz" de Juan-les-Pins. Une qualité vocale, un instinct harmonique, un charme certain, une élégance naturelle et un humour rare. Leurs voix sont suaves et indissociables. Leur concert est également un vrai show jubilatoire.
Jugez vous-mêmes...
«Nous sommes heureux de vous inviter dans notre club, créé pour nous et nos amis! Et pour vivre la nuit autrement…», c’est le message de bienvenue lancé par Eric Stauffer, figure de proue du Mouvement citoyens genevois (MCG), et par son associé et camarade de parti Carlos Medeiros. On peut la lire sur la page d’accueil de leur boîte de nuit, le Bar à Whisky, http://360.ch/blog/magazine/2013/05/eric-stauffer-prince-de-la-nuit-21956/" target="_blank">rachetée au printemps dernier. Et manifestement le cercle des «amis» du politicien et nouveau pape des nuits genevoise s’agrandit… aux noctambules homos. L’établissement, qui a connu son heure de gloire gay dans les années 1990 sous l’enseigne Le Prétexte, se lance dans les soirées gay-friendly. C’est d’ailleurs sous le nom du défunt club qu’une soirée «hot… avec gogos danceurs» (sic) a été lancée début janvier. Sa deuxième édition se déroule le 1er février.
Deuxième parti du canton, le MCG entretient un discours anti-frontaliers musclé. Sur les questions LGBT, la formation est ambivalente, même si Eric Stauffer a récemment fait exclure un de ses élus après des dérapages homophobe et antisémite. Côté business, le bouillant leader populiste est à la tête de plusieurs entreprises dans des secteurs aussi divers que la téléphonie ou les dessous féminins. La soirée Prétexte est d’ailleurs sponsorisée par sa boutique de lingerie Aux mille désirs.
Rocco Siffredi dans « Anatomie de l’enfer » – flickr/Global X
« Il vaut mieux une petite travailleuse qu’une grosse fainéante » dit le dicton populaire. Regardez pourtant cette photo de la vitrine d’une galerie d’art moderne : elle laisse également croire que c’est vraiment la classe d’avoir un énorme engin entre les jambes.
Pourtant, Charles (prénom modifié), 36 ans, m’a écrit suite à mon article sur les préservatifs sur mesure, pour me dire qu’il était un peu désespéré, parce que sa vie sexuelle était assez limitée pour me demander si j’avais des conseils ou des idées de pratiques envisageable pour l’améliorer. Il est lassé que pour toutes ses copines, le sexe soit une corvée au lieu d’un partage. Il rêve de voir une fille prendre du plaisir dans ses bras ou même, sans aller jusque l’orgasme, que ce soit un vrai moment à deux.
En avoir une grosse est un vrai handicap
Sa taille est environ 22cm de long et 5,5cm de diamètre… de quoi effrayer nombre de ses conquêtes, même les plus audacieuses.
Vitrine d’un magasin Bruxellois la plus grande barre dit « My Husband » – crédit Camille
Sur les sites de rencontres, c’est la catastrophe : « Dès qu’elles ont vu en photo, elles décident que ‘non, vaudrait mieux pas’« , témoigne Charles. Il n’y a pas que le choc des photos : le poids de la réalité tangible est aussi handicapant. « Elle m’invite chez elle pour le ‘dernier verre’, me baisse le pantalon et là, quand mon sexe en érection vient frapper son sein (nu) : ‘non, vaudrait mieux qu’on reste copains’ ». Des histoires comme celles là, Charles peut en raconter quelques-unes.
J’ai fini par orienter Charles vers une amie libertine, Jeanne (prénom modifié), 36 ans également, dont j’espérais qu’elle pourrait l’aider. En fait, elle n’a fait que confirmer, par ses expériences propres, la situation de Charles.
Jeanne raconte qu’elle pratique moins de positions lorsque l’engin est trop imposant, ce qui correspond à l’expérience de Charles : soit les filles prennent peur, soit les pratiques possibles sont limitées. « Au-delà du missionnaire, ma copine a mal« .
Jeanne a donc exposé à Charles quelques expériences positives, comme le fait que certains hommes très à l’écoute réussissent à gérer la peur que génère la vue d’une verge énorme, et a expliqué qu’ »aujourd’hui je dirais que c’est rarement ce que je préfère (les grosses) mais si le mec n’a pas de problème de préservatif, avec une bonne dose de lubrifiant et si on a vraiment envie, ça passe« .
Charles a réagi assez vivement : « Ta conclusion m’interpelle… faire l’amour pour moi, ce n’est pas ‘ça passe’, ou ‘c’est tolérable’. J’ai envie que ce soit bien plus que cela, un partage, une alchimie, un plaisir partagé, pas l’un qui ‘tolère’ l’autre qui ‘se vide.’ »
Il n’empêche que Charles est complexé et frustré et a, du coup, interrogé Jeanne pour évaluer ses chances de succès selon les milieux. (Retrouvez ici même le détail de leurs échanges)
Il y a les complexes et la réalité
Charles craint même que sa taille ne se voit beaucoup « même en civil ». Pourtant c’est quelque chose qui se remarque pas spécialement. Mais quand on est obsédé par quelque chose, ou lorsqu’on a un complexe, on pense que les gens ne voient que ça. Même si quelques-un(e)s doivent le remarquer, tout le monde n’a pas les yeux rivés sur les braguettes.
Fin 2013, Time To Sign Off (TTSO pour les intimes) rapportait ceci : « Il semble qu’on ait (enfin) identifié l’homme au plus long penis du monde : 22cm au repos, 34 en action. N’étant pas du genre concours de zizis, nous ne sommes que moyennement émus par la nouvelle. En revanche nous avons été plus intéressés par 2 informations se rapportant au sujet : 1) Jonah Falcon, l’heureux (?) propriétaire de l’engin, est blanc (américain et âgé de 43 ans), 2) en érection son pénis dégage tellement de chaleur qu’on peut « s’y réchauffer les mains, comme autour d’un feu de camp » en les tenant à 15cm de distance. Utile. »
Et Charles de compatir : « Enfin, lui, je le plains carrément et je ne sais pas comment il peut vivre…. Parce que bon, faire « bûche de feu de camp », c’est sympa mais pas forcément très jouissif… pour personne ! »
Et vous, vous pouvez l’aider ? Je conclurais avec une question personnelle, chers lecteurs et lectrices : qui avait conscience du handicap que constitue le fait d’être au-dessus de la norme ? Alors qu’on a tendance à en parler comme d’une vantardise, combien d’hommes et de femmes réalisent que cela peut nuire à la vie sexuelle d’un couple ?
Rocco Siffredi et sa femme Rosa Caracciolo – flickr/ducati999
Lors de mon enquête sur le handicap du pénis imposant, j’ai mis en relation Charles, trop bien doté, et Jeanne, aventurière du sexe. Extrait de leurs échanges.
Charles : De par ton expérience et les discussions que tu as pu avoir avec tes copines, les femmes qui se réjouiraient d’avoir affaire avec un sexe « impressionnant » (pour reprendre tes mots) comme le mien sont vraisemblablement rares (<5%) ou très rares (<1%) ?
Jeanne : Pas si rares, je dirai un tiers de mes copines libertines qui seraient plutôt favorables et 5% pour celles pour qui ce serait un atout décisif. Tu aurais plus de chances dans ce milieu.
C. : Pourquoi ?
J. : Les filles sont plus gourmandes. Mais tu pourrais aussi tenter des pratiques non pénétratives.
C. : As-tu des conseils que je pourrais donner à ma chère et tendre pour qu’elle peine moins pour la fellation ?
J : Qu’elle essayer plutôt de lécher/caresser, et moins de prendre en bouche.
Les positions, c’est une question de forme
C. : Pour le moment, c’est missionnaire et rien d’autre. Penses-tu qu’il soit possible que je puisse moi aussi goûter aux plaisirs des levrettes endiablées (la sodomie, je n’en parle même pas)?
J. : Endiablées non, encore que je ne sais pas. Mais levrette oui. Là ça dépend plus de ta courbure et comment est faite ta copine à l’intérieur. Il n’y a pas que la morphologie du pénis qui compte, c’est comme deux pièces de lego, il faut qu’elles puissent s’emboîter.
J’ai des copains avec qui ce n’est que missionnaire et d’autres avec qui ce n’est que levrette mais c’est une question de forme en ce qui me concerne.
C. : Je peux faire jouir mon amie avec des caresses mais pas en faisant l’amour. As-tu pris du plaisir par la pénétration avec tes amants trop bien montés ou est-ce que l’inconfort/ la gêne/ la douleur l’emportait même si « ça passait » ou que tu avais du plaisir autrement ?
J. : Si j’ai déjà pris du plaisir mais ça dépend plus de la forme. Mon amant Léonard avait un sexe énorme mais dont la forme me stimulait pile où il fallait. Mais c’est vrai qu’on ne variait pas beaucoup les positions.