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Great new female-directed indie site (with familiar faces we love): CinemaJoy
Tiffany Doll, Scarlet Lecoq, Ms Velour, happily objectified gentlemen friends – XXXMen
Yosse Moran, Belle – Feeling It
Violetta Storm, Ms Velour – Cookies and Cream
Starring: Jess, Scarlet Lecoq, Scott Connor – The Female Voyeur/She Calls the Shot (great bi-male threesome)
Malena – Cold Winter
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Jack Hammer XL and Nikki Darling – Bed Party
Eden Alexander and Chelsea Poe – Crash Pad 225
Butch Stud and subMissAnn – Crash Pad 228
Pammie Lee – Self Love
Nesty A, Shrima Malati – Unwind
Karla Kush, Ryan D. – Love Blind
Sarah Kay, Max Dior – All Over You
Lena Anderson – Meet my Desire
Aislin – My Pleasure
Satine Spark, Ashleigh Doll – Naughty blonde girls exploring with their toys
Ava Dalush, Antonio Black – Brunette MILF
Erika Lust (director) – Cabaret Desire Part 2
Ella Hughes, gentleman friend – no title (watching Spanish porn stars do the stepbrother fantasy trope in broken English is pretty funny)
Maria – Wet Dreams
Blondie Fesser – Big booty Blondie
Kari, Kaitlyn Andrews, gentleman friend – Two cute girls share a big cock
Boomer Banks Fucks Beaux Banks
Levi Karter, Colby Keller and Will Wikle – The Stillest Hour
Melissa Moore, Johnny Castle – Lustful Appetite
Elsa Jean – Sexual Chemistry
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Y a des poèmes comme ça (à moins que ce soit des actrices) qui remettent les choses à plat. Et vu le bouli d’Abella Danger, l’expression « à plat » est bien mal choisie. Tout ça pour dire que la raison d’être de l’acte artistique, littéraire, poétique – était, est, et restera la déconstruction/reconstruction des mythes premiers, des textes fondateurs, de la Bible, des Fables. Peut-être et sûrement cette vérité tient aussi pour le porn.
Et voilà qu’en composant sur l’Abella sauvage émerge un meta-poème. Auquel, malgré ce que pourrait faire croire cette lourde intro aux virgules trop pesantes, il n’y a rien à rajouter.
Abell’ a dansé toute une vie
Mais pas pour rien, non, pour le plus BOUM !
Des ronds boulis.
Abella beau s’pencher,
Le con Caïn qui vient tout droit du club-des-fourmis-parmi-les fourmis-à-la-teub-endormie
S’plaint !
Ce con d’Caïn au crime enclin…
« Tu t’filmes en train ? »
Que ce con dit
« Et bien chantez maintenant ! »
Et Abella sans s’démonter
S’fit démonter.
Et Abella chanta,
Et c’con d’Caïn banda bien-sûr, s’branla même, qu’on racontait
Quand Abella d’amour suintait le spasme.
Une fois l’orgasme aprèz-et-puisque
Abell’ a dansé toute une nuit,
J’me dis,
Face aux connards du genre Caïen,
Que ce poème est astérisque.
Abella*
*de l’art l’indis-
pensable oublié
synonyme : un cuivre aux formes
et qui luisent, aussi appelée un mange-disque,
Ou bien cigale, modèle de vie
Et le poème insiste :
« Et bien vivez maintenant !«
Club Clitoris est un compte Instagram édité par l’artiste féministe Meredith White. Originaire de Dallas, elle propose des oeuvres qui s’émancipent des contraintes esthétiques et corporelles imposées aux femmes à travers la publicité, les médias et le porno mainstream. Elle propose une réappropriation de ces codes en illustrant des corps poilus, des sexes aux formes et couleurs diverses « inspirés de vraies modèles« .
A la manière de Jamie McCarney et de son Great Wall of Vagina, Meredith White réinvente les corps en les montrant dans leur véracité la plus brute : toutes les vulves sont différentes, aucune d’entre elles n’est parfaite.
Je dessine des vagins dans une forme inédite – chaque illustration fait référence à une femme réelle. Chaque poil, petite lèvre ridée, fossette et tâche de rousseur fait partie de mes dessins parce que le naturel est ce qu’il y a de plus beau. Mes chères amies, votre vagin est normal, naturel et magnifique, comparé à ce que les médias vous disent (…). La liberté d’aimer ton corps sans t’humilier ou te détester est un droit humain fondamental. Et je continuerai à me battre pour cet amour.
Beaucoup diront qu’il s’agit d’un énième cri de guerre féministe contre les stéréotypes de genre qui rabaissent les femmes à des objets sexuels. C’est peut-être vrai, mais le message n’est visiblement toujours pas entendu : « A la place de les faire aimer leur corps, les industries exploitent les femmes pour leur vendre des rasoirs, des crèmes dépilatoires et des interventions chirurgicales comme la labioplastie. Notre société créé des problèmes à partir du corps naturel des femmes et tire profit de cet abus. » Offrons-nous donc un shoot de sexes poilus et de corps au naturel.
Pour les amateurs, vous pouvez retrouvez son shop avec une sélection d’impressions, de tee-shirts et de tote bags à s’offrir pour Noël.
En Tunisie, en 2016, il est possible d'obliger une très jeune mineure à poursuivre une grossesse issue d’un viol, et même à vivre légalement mariée à son violeur, avec l'assentiment du juge et de la famille, censés assurer sa protection.
Il est donc possible aujourd'hui en Tunisie de ne pas reconnaître que le viol est un crime, de ne pas poursuivre et sanctionner le violeur, et de bafouer ainsi en toute légalité les droits des femmes.
Vendredi 16 Décembre 2016En Tunisie, en 2016, il est possible d'obliger une très jeune mineure à poursuivre une grossesse issue d’un viol, et même à vivre légalement mariée à son violeur, avec l'assentiment du juge et de la famille, censés assurer sa protection.
Il est donc possible aujourd'hui en Tunisie de ne pas reconnaître que le viol est un crime, de ne pas poursuivre et sanctionner le violeur, et de bafouer ainsi en toute légalité les droits des femmes.
Vendredi 16 Décembre 2016