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Alors que je suis allongé sur ce lit, je sens que les réjouissances ne vont pas se faire attendre, puisque me voilà "à la merci de l'équipe d'animation".
Je perçois que mes deux hôtes mystère se hissent sur le lit, chacune d'un côté. L'une des deux vient à la hauteur de mon visage et se met à califourchon. Le compteur d'excitation monte dans le rouge car j'adore faire un cunnilingus en face-sitting.
Et celle qui vient de s'installer ainsi le sait, à n'en pas douter !
Mon autre bienfaitrice se concentre pour sa part sur ma verge. L'émotion et la désorientation ne m'ont pas mis à mon avantage, et de gros soucis personnels m’encombrent l'esprit. Ma "bienfellatrice" fait fi de ces difficultés et me voilà bien vit(e) en forme.
Illustration non contractuelle...
Au passage, elle se trahi par une petite habitude assez unique, que je remarque immédiatement. Je suis donc convaincu que c'est bien Avant Tureuse qui me gâte ainsi. La moitié du mystère est élucidé !
Je me demande malgré tout par quel tour de force elle a pu être présente malgré ses impératifs professionnels.
Pour l'autre moitié, je n'ai plus aucun doute non plus, ma langue a déjà reconnu avec une quasi certitude missdactari. Mes doutes à propos du soit-disant rendez-vous médical s'avèrent justifiés.
Je me réjouis d'être en si bonne compagnie, et mon comité mystère vient enlever le foulard qui est encore autour des mes yeux. Je les garde fermés, pour pouvoir faire un pronostic sur l'identité des mes deux bienfaitrices, je suis sur de moi.
Une erreur pourrait pourtant être bien malvenue mais je me lance, faisant allusion aux raisons pour lesquelles elles ne devraient pas être là.
J'ai vu juste, je le sais en les entendant rire et j'ouvre les yeux, découvrant les deux demoiselles dans des ensembles de lingerie inédits qui leurs vont à ravir.
Nous devisons brièvement sur l'organisation de l’événement, qui a préparé quoi, qui a eu telle ou telle idée.
Et les mails ? pourquoi ai-je eu autant de mal à discerner leur auteur ?
La raison est simple : ils ont été écrits à 2, parfois en alternance, avec d'infinies précautions. Objectif atteint !
Puis les corps se rapprochent, la lingerie est lentement retirée et s'ensuit un trio endiablé. J'ai eu quelques occasions de faire des trios avec 2 femmes, mais elles restent rares et précieuses. La configuration présente est juste formidable. Sachant que mes talentueuses organisatrices ne sont pas bisexuelles, je fais de mon mieux pour ne négliger aucune d'entre elles, tout en profitant au mieux de l'instant, des plus délicieux.
Ces réjouissances ô combien agréables et sensuelles, me font quelque peu oublier le temps, l'agenda est pourtant bien huilé, et le comité d’organisation veille !
En effet, un autre temps fort est planifié et il s'agira d'être à l'heure pour cette nouvelle surprise.
Mais en attendant nous allons tous les trois pouvoir profiter du pique-nique préparé pour l'occasion : varié, gourmet, totalement adapté à la situation (croquer un morceau à trois nus sur un lit, ce n'est pas des plus courant).
Je goûte à tous les mets mis à disposition sur la grande couette blanche... en prenant garde à ne rien tâcher même si l'on me fait remarquer que "l'on ne dort pas ici ce soir".
Dommage, la chambre est agréable, le lit d'un confort élevé, et les écritures sur le mur invitent à laisser divaguer ses pensées jusqu'au sommeil.
Une de mes charmantes organisatrices me demande si j'ai bien pris mes chaussons de bain et mon peignoir. Comme indiqué dans les mystérieux emails, la surprise suivante va être aquatique. Je me demande à cet instant si nous allons devoir sortir de l'hôtel pour la prochaine activité...
... et je prie pour que ce ne soit pas le cas quand on me demande de me mettre en tenue de bain de suite, en me bandant à nouveau les yeux !
Je me retrouve à nouveau dans l'ascenseur, moyennement à l'aise, j'aimerais autant éviter d'épater la galerie avec ma tenue de curiste... même si je doute que ce genre de blague ne soit au programme.
L'ascenseur nous a en fait mené au sous-sol, dans les couloirs duquel on me guide vers une pièce dont la sonorité et l'odeur sont bien particulières...
Avant Tureuse m'enlève le bandeau : nous sommes dans une magnifique pièce qui sert d'écrin à un grand bassin équipé de jets et autres équipements de balnéo.
Le tout est luxueux, et respire la détente et la sérénité. La décoration est magnifique et apaisante, la luminosité parfaite d'intimité et de confort, avec des dispositifs à changement de couleurs progressifs. Le bleu turquoise du bassin, qui peut facilement accueillir une quinzaine de personnes, est un appel immédiat à l'immersion.
Nous rentrons dans l'eau, la température n'est pas très élevée, mais nous n'avons pas froid non plus.
Une bouteille de Champagne est à notre disposition et j'apprends alors que le spa a été privatisé pour notre usage, pendant une heure.
D'où le timing à respecter.
Je me rappelle alors que missdactari avait évoqué quelques mois auparavant un site qui recensait les hôtels parisiens dont on pouvait privatiser l'espace spa / balnéo.
La bouteille est accompagnée d'une boite de macarons, que missdactari dispose sur une assiette au bord du bassin. On touche du doigt la grâce d'un moment idéal, tout en détente, entre nous, dans un si beau décor, l'eau tantôt caressant tantôt massant nos corps.
La sensualité des caresses, des frôlements des corps nus dans l'eau, le vin et les macarons nous font passer un moment exquis.
Nos yeux restent écarquillés, nous apprécions le confort et la paisibilité des lieux... Nous savons que personne ne viendra nous y déranger.
Nous sommes tous les trois conscients que nous vivons un moment rare et précieux.
Je suis infiniment comblé par tant d'attentions et j'oublie totalement mes soucis, pourtant omniprésents. Le temps nous est compté et nous allons en profiter.
L'heure défile bien vite sur la grande horloge du spa, rassasiés par notre dessert et par les flûtes que nous avons vidées il nous faut bientôt regagner la chambre.
Profitant jusqu'à la dernière minute et même un peu plus, il nous faut bien nous résoudre à nous extirper de l'eau non sans avoir profité des différents jets et remous une dernière fois.
De retour dans la chambre, il nous reste du temps pour quelques folies.
Je passe à la salle de bain, et alors que j'en ressors, une vision paradisiaque me saisit. Mes deux bienfaitrices sont côté à côté sur le lit, la croupe tendue, sourires aux lèvres.
Je savoure ce joli tableau, et me sens comblé et honoré de cette délicate attention, alors que l'excitation remonte de plus belle.
L'embarras du choix étant mon seul souci, je profite de l'instant présent et des multiples possibilités offertes par la configuration du trio FHF.
La sensualité est à son comble, les plaisirs variés et merveilleux.
Puisqu'en ce jour je peux me permettre (presque) tous les caprices, nous finissons sur un cunnilingus en face-sitting à deux filles. Elles se tiennent dans les bras l'une de l'autre pour ne pas vaciller.
L'exercice s'avère un peu acrobatique, mais très plaisant pour moi (et tout à fait inédit).
Nous prolongeons ces derniers instants de débauche avec tendresse et dans des positions plus conventionnelles, mes yeux dans ceux de missdactari. Puis mon regard trouve ceux d'Avant Tureuse. Je poursuis cette alternance tandis qu'un profond orgasme vient me saisir.
La fin de la réservation en "Day Use" approche, il nous faut nous préparer à retourner à une vie normale.
Nous savons tous les trois que le retour à la réalité va être un choc.
Petit avertissement pour ceux qui auraient le bonheur de tenter l'aventure du trio FHF : la consommation de préservatifs est élevée !
Le rangement de la chambre post câlins est assez surréaliste, avec le recul je me dis que ç'aurait été une belle occasion de tenter le préservatif féminin...
Nous quittons les lieux, quelques minutes après l'heure limite. Le personnel de l'hôtel nous regarde de façon complice alors que nous nous présentons tous les trois pour le check-out.
Avant Tureuse part de son côté, et je continue mon chemin avec missdactari qui va me déposer. Le soleil a fait son apparition et je suis ébloui, mais est-ce seulement le soleil ?
Je suis pantois, béat... en chemin, nous passons devant "l'Impasse des Deux Anges", incroyable coïncidence ?
Quoi qu'il en soit je sais que je viens de vivre un moment totalement unique et qu'il va me porter longtemps. Comme une magnifique oasis au milieu de mes tourments. Je sais aussi que je m'en souviendrai longtemps, surement toute ma vie, et à chacun de mes anniversaires. J'ai une profonde gratitude pour mon mystérieux comité.
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Billet : Apogée
Après la question du seuil d’âge pour la reconnaissance du consentement sexuel chez les jeunes, le Planning familial s’inquiète aujourd'hui du projet de loi déposé relatif à la protection des mineur.es contre les violences sexuelles.
En effet, outre que le projet en entier est contestable, le problème central est que le viol pourrait être requalifié en correctionnel. Non, le viol reste un crime.
Mardi 15 Mai 2018 2018-0515-cp-violences-faites-aux-femmes.pdfL’histoire de Dora, première des “Cinq Psychanalyses” publiée par Freud en 1900 fait l’objet d’intenses spéculations. Elle indigne ses contemporains. Elle inspire les dramaturges et les poètes. C'est l'histoire d'une petite fille embrassée de force à 14 ans.
Au début de l’été 1898, Dora vient, en compagnie de son père, voir Freud, pour la première fois. Elle a 16 ans. Freud la considère comme «nettement névrosée». Il est question de la faire soigner, mais le projet tombe à l’eau lorsque la jeune fille, fermement, déclare qu’elle ne veut pas rester plus longtemps dans ce petit village de montagne. Il s’avère qu’un ami proche de la famille, chez qui elle loge, «Monsieur K. avait osé, pendant une promenade après une excursion sur le lac, lui faire une déclaration», ainsi que Freud le raconte dans son récit du «cas» (Cinq Psychanalyses). Pour lui, il s’agit d’une «petite hystérie avec symptômes somatiques et psychiques des plus banaux». Deux ans plus tard, en octobre 1900, Dora écrit dans une lettre son intention de se suicider. Son père décide, malgré la résistance de la jeune fille, de la faire soigner par Freud. La cure dure à peine onze semaines. Elle est interrompue prématurément, car, selon les propres dires de Freud, il ne réussit pas à «se rendre à temps maître du transfert». Fuite de la patiente. Echec de la cure. Pourquoi ?
«S’agissait-il vraiment d’hystérie ?»
La question agite tout le monde. Et si Freud s’était trompé ? L’histoire commence ainsi, résumée par la psychologue Martine de Bony : «Les parents de Dora se sont liés avec un couple, les K. (Zellenka, de son vrai nom) qui ont deux petits enfants dont Dora s’occupe avec sollicitude. Un jour (Dora n’a que quatorze ans) Monsieur K., dont le magasin se trouve bien placé pour assister à une solennité religieuse, invite sa femme et Dora à s’y rendre. Mais il s’arrange pour éloigner sa femme et renvoyer les employés. Seul avec Dora, il ferme le rideau de fer et se jette sur elle pour lui infliger un baiser appuyé ; baiser fortement imprégné de tabac, nous dit-on. Dora “éprouve un dégoût intense” et se sauve. Elle ne parle pas de la scène à ses parents, mais évite de se trouver seule avec K. et refuse de les accompagner en excursion.»
Un cas typique de harcèlement sexuel
Le récit continue ainsi : «Après cet événement, Dora, qui mangeait difficilement, présente une aversion pour certains aliments. D’autre part, elle fuit la vue des couples enlacés. Ensuite, tout semble oublié.» Avec le temps, Dora reprend confiance. Elle se lie d’une tendre amitié avec Madame K. pour qui elle a une adoration. Elle ignore que Madame K. est devenue la maîtresse de son père. Deux ans passent. Dora a 16 ans, c’est une beauté. Un jour, Monsieur K. entraîne la jeune fille dans une promenade au bord d’un lac et lui fait des avances pressantes : il lui dit que sa femme n’est «rien pour lui». Dora le gifle et se sauve. Le lendemain, Monsieur K. récidive : il tente de surprendre Dora alors qu’elle fait la sieste dans sa chambre. Elle le trouve debout devant elle à son réveil et prend peur. Elle se procure une clé pour s’enfermer. La clé disparaît. Impossible de se protéger.
Un cauchemar éveillé
«Elle refuse désormais de rester dans la maison des K. et exige de repartir avec son père (qui lui était à l’hôtel où Mme. K. venait le retrouver). Deux semaines plus tard elle raconte la scène à ses parents. Le père demande des explications à K. lequel nie farouchement, accusant Dora d’affabulation et invoque la perversité sexuelle de la jeune fille. (K.reconnut plus tard publiquement le bien fondé de ses dires)». Dans un texte teinté d’exaspération (1), Marie Bonaparte –qui fut la première à traduire le récit de Freud en français– résume ainsi la situation : «le père de Dora croit qu’il s’agit d’un simple fantasme sexuel, Monsieur K. nie avoir tenté de séduire Dora et personne n’accorde finalement de crédit à son récit». Tous les hommes se liguent contre elle. Pire, Dora découvre le pot aux roses : Madame K., qu’elle aimait tant, est l’amante de son père. Père dont elle comprend qu’il avait tout intérêt à ce que sa fille loge chez les K. «Dora se rend compte qu’il l’a livrée en otage à Monsieur K. pour avoir les mains libres avec sa femme», assène Marie Bonaparte.
Trahie par son père, accusée de désirer son harceleur
Comprenant que son père se servait d’elle comme d’un appât sexuel, la jeune fille tombe malade. Dyspnée, toux nerveuse, aphonie, dépression… Ces symptômes, Freud les attribue à l’hystérie. «Les symptômes de l’hystérie, dit-il, sont l’expression des désirs les plus secrets et les plus refoulés [des patients]». Sans jamais cesser de dépeindre Monsieur K. comme un homme avenant, agréable, délicat, généreux ou attentionné, Freud «prête à sa jeune patiente du désir pour Monsieur K., alors qu’elle ne cesse de dénoncer les assauts dont elle est victime. (1)» Pourquoi refuse-t-il de croire Dora ? Lorsqu’elle a été embrassée de force à 14 ans, Freud affirme (sans preuve) qu’elle aurait ressenti «une sensation nette d’excitation sexuelle». Lorsqu’elle raconte l’intrusion de Monsieur K. dans sa chambre, il «met en parallèle notamment la situation de son père se tenant debout devant son lit lorsqu’elle souffrait d’énurésie [pipi au lit] –vers l’âge de sept ou huit ans– et la situation de Monsieur K. se tenant debout devant son lit : mouillée par l’urine dans un cas, elle le serait par le désir dans l’autre. (1)»
Ma petite Dora, «il n’aurait pas été déplacé» d’être plus gentille…
Quoiqu’elle dise, Dora est traitée en coupable. Même ses rêves sont utilisés contre elle, suivant un processus de retournement odieux. Dora fait en effet des rêves à répétition. Depuis la scène du lac, elle fait ce rêve par exemple : «Dans une maison, il y a un incendie. Mon père est debout devant mon lit, il me réveille. Je m’habille rapidement. Maman veut encore sauver sa boîte à bijoux, mais papa lui dit : “Je ne veux pas que moi et mes deux enfants, nous brûlions à cause de ta boîte à bijoux.” Nous nous dépêchons de descendre et aussitôt dehors, je me réveille.» Dora raconte que la boîte à bijoux de son rêve est probablement celle que Monsieur K. lui a offerte. Apprenant qu’elle a reçu «un très précieux coffre à bijoux», Freud lui fait un reproche : «Il n’aurait donc pas été déplacé de faire un cadeau en retour.» Sous-entendu : petite ingrate. Dora n’aurait-elle pas dû se montrer plus reconnaissante et plus docile ?
«Je suis menacée ici par un véritable danger»
Comme pour enfoncer le clou, Freud ajoute : «Vous ne savez peut-être pas que «coffret à bijoux» est une expression volontiers employée pour désigner la même chose que... les organes génitaux féminins». Voilà Dora en posture difficile : pourquoi a-t-elle accepté un cadeau sachant qu’elle aurait dû le payer en retour avec sa virginité ? L’accusant, à demi-mot, d’hypocrisie ou plutôt d’«insincérité» selon ses propres termes, Freud la culpabilise. Il veut à toute force faire admettre à Dora que son rêve exprime le désir «inconscient» de rendre à Monsieur K. son cadeau, c’est-à-dire de se donner à lui en échange de la boîte à bijoux. Lorsqu’il essaye de lui faire admettre cette version des faits, Dora s’y refuse. Désabusé, il écrit : «Elle ne voulut naturellement pas accepter cette partie de l’interprétation». Curieusement, il ne prend pas en compte le fait que –dans le rêve– Dora se sent menacée par le feu. Elle a peur et, comme sa mère, elle veut «sauver sa boîte à bijoux».
Psychanalyse et dénégation de la vérité de l’autre
La psychologue Martine de Bony conclut : «Cette dénégation de la vérité de l’autre me paraît ce qu’il y a de plus inadmissible dans la Psychanalyse parce qu’elle rappelle les méthodes de tous les totalitarismes. Dans le catéchisme de mon enfance il y avait cette assertion suivant laquelle tout le monde croyait en Dieu, ceux qui prétendaient le contraire étant des «insensés ou des imposteurs”.» Dora voulait seulement échapper à un harceleur trop «enflammé». Elle avait peur d’être violée. Or ceux-là même qui étaient censés la protéger –son père puis Freud– l’ont trahie. Ils ne l’ont pas crue quand elle accusait Monsieur K. de vouloir abuser d’elle. Freud, lui-même, n’est-il pas sensible à l’attrait de cette «suçoteuse» ? Dora, «fine mouche» (ainsi qu’il le note lui-même) sent d’ailleurs le danger. Elle le lui dit : «Je suis menacée ici par un véritable danger», parlant à la fois de la maison en feu et du cabinet de Freud qu’elle fuit, littéralement.
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A LIRE : Cinq Psychanalyses, de Sigmund Freud, traduit de l’allemand par Olivier Mannoni, Payot, 2014.
Études sur l’hystérie, de Joseph Breuer et Sigmund Freud, traduit de l’allemand par Anne Berman, avant-propos par Marie Bonaparte, PUF, 2014.
NOTE (1) : ces citations sont extraites de l’avant-propos rédigé par Marie Bonaparte aux premières éditions du livre Études sur l’hystérie, de Joseph Breuer et Sigmund Freud.
Espace Plaisir nous a laissé piocher dans leur web garde-robe, c’est ainsi que j’ai reçu le Déshabillé Puzzle Lace de la marque Chilirose (disponible en noir, tailles S, M, L et XL). Merci à eux. En revanche, après essayage, le bilan est décevant. Je m’explique.
Matière à discuterJe reçois donc mon colis dans une boîte en carton, laquelle referme une enveloppe papier qui protège le vêtement. Lorsque le tissu se dévoile sous mes yeux, avant même de le toucher, je comprends que c’est une matière synthétique, qui reflète presque la lumière.… Lire la suite
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