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Le constat est vite fait. Le cinéma traditionnel ne laisse qu’une part négligeable de ses intrigues aux questions liées aux identités de genre. Il était temps de donner à la population concernée et ses alliés un espace d’expression où se rencontrer pour échanger et débattre. C’est chose faite avec la mise sur pied de cette première édition du festival Transposition. Le projet ne se réduit pas à un groupe ou une communauté, mais se veut une démarche inclusive. La sélection, composée de films et de documentaires (dont certains demeurent inconnus du grand public) a pour objectif de faire découvrir la richesse des productions cinématographiques sur ces thématiques, en touchant un large public. Le festival se tiendra à Annecy (F) et se déroulera sur dix jours.
Événements
Au-delà de la représentation et diffusion de supports, le festival sera également ponctué
d’événements: des débats faisant intervenir des réalisateurs/trices ou des acteurs/trices, des conférences, et parce que ce festival s’inscrit dans une dynamique conviviale et festive, il se terminera par une soirée de clôture qui prendra place au Brise Glace, avec notamment les Mansfield.TYA.
Ces dix jours ont pour volonté de pousser le public à faire un travail de transposition. De se mettre à la place de certains parcours de vie. Pour mieux comprendre. Pour mieux accepter. Et pour mieux s’aimer. Une démarche résolument positive à laquelle le magazine «360°» a le plaisir de s’associer. On vous y retrouvera dès le 17 mai. C’est à ne pas manquer!
» Infos pratiques et programme sur le site festivaltransposition.com
Les 8, 9 et 10 juillet prochain, le Cirque Electrique accueille la première édition du WHAT THE FUCK ? FEST*** !, un événement pluridisciplinaire consacré aux représentations alternatives des sexualités, genres et corps. Ses trois fondateurs savent de quoi ils parlent : l’actrice et performeuse floZif a organisé le Festival de films gays et lesbiens de Paris de 1998 à 2009, l’ancienne assistante sexuelle Marianne Chargois a été programmatrice pour le festival branché sexe et contre-cultures queer Explicit de Montpellier et le photographe Amaury Grisel est un spécialiste du Shibari.
Les trois co-organisateurs du WHAT THE FUCK ? FEST*** ! espèrent que leur événement permettra de “valoriser les diversités de discours et de représentations des identités et expressions sexuelles”. Le festival n’a pas encore de programme précis, mais il se veut ouvert à toutes les disciplines : “création cinématographique, (…) spectacles, performances, approches théoriques, workshops, expositions collectives et toutes formes mettant en voix et visibilités des expressions artistiques liées aux corps, aux sexualités, et aux différentes représentation des marges sexuelles.” La programmation oscillera entre oeuvres incontournables et créations contemporaines à découvrir, accompagnées de stands d’arts, de livres, et d’associations.
On vous en dit plus quand on en sait plus – c’est à dire bientôt.
Sur de nombreux tableaux anciens, la Vierge allaite le petit Jésus d’une façon peu naturelle… On dirait qu’elle allaite par l’épaule. Pour l’anthropologue Salvatore D’Onofrio, ces images anatomiquement incorrectes reflètent une croyance ancienne assimilant le bon lait à du sperme.
Lorsque la Mère de Dieu donne le sein, il arrive qu’on se torde le cou en regardant ses représentations. Le sein auquel l’enfant s’abreuve semble littéralement sortir de l’épaule de la Vierge. On peut comprendre bien sûr que les seins haut placés correspondent aux canons de beauté. Mais ils sont parfois placés si haut… Bizarre, bizarre. Et puis voilà qu’un anthropologue découvre la raison cachée de ces allaitements distordus. Salvatore D’Onofrio – professeur à l’Université de Palerme et membre du Laboratoire d’Anthropologie Sociale du Collège de France– entend parler pour la première fois du «lait d’épaule» en Sicile. «Pour les femmes siciliennes, il existe deux types de lait, explique-t-il : le “lait de cœur” et le “lait d’épaule”. Ils sont dénommés ainsi d’après la partie du corps dont ils sont censés provenir et ils présentent des caractères qui les opposent assurément».
Le lait de cœur est mauvais.
Bien qu’il soit associé à l’organe de l’amour, le «lait du cœur» c’est du pipi de chat en Sicile : «il est léger, “lent” (en sicilien lentu signifie également peu dense) et aqueux, proche d’une sorte de petit-lait (latticeddu) insuffisamment pourvu de substance, incapable de rassasier (ce qui fait pleurer les enfants)». Les mères au lait trop fluide sont des mauvaises mères : elles allaitent avec leur cœur, dit-on, non sans dédain. «Le lait de cœur est considéré comme n’étant pas “de bonne qualité”», confirme D’Onofrio, parce que le cœur est «le siège des émotions négatives». Sujet aux palpitations, cet organe de chair tumescente symbolise la fragilité, l’hypersensibilité des femelles, incapables de garder leur calme, qui rougissent puis pâlissent sans parvenir à se contrôler.
Le lait d’épaule est bon.
A l’inverse, le lait d’épaule est un lait «dense, crémeux et gluant, gras et riche. Il nourrit bien l’enfant et lui permet de dormir calmement.» Les Siciliennes affirment que ce lait-là ne peut pas transmettre les influx négatifs de la mère, ni ses peurs, ni ses angoisses. Cette croyance est toujours si vivace que lorsque le nourrisson a des problèmes digestifs on attribue ses maux au fait qu’il ait ingéré du lait de cœur. Ce lait-là est un poison, affirment les Siciliennes qui vont jusqu’à prétendre que le le lait d’épaule est doux, alors que celui du cœur est salé. A Palerme, une femme explique à l’anthropologue que les enfants nourris au lait d’épaule «grandissent plus sereins et plus beaux». Les enfants allaités au cœur, en revanche… Il peut facilement leur arriver malheur. Car le lait transmet comme des virus les émotions négatives.
Grosse frayeur : le lait épouvanté
Imaginez une mère qui allaite avec son cœur : «dans le cas d’une frayeur soudaine, elle expose son enfant aux risques les plus importants, explique l’anthropologue. Son lait “empoisonné” provoque chez lui la botta di latti (“le coup de lait”). Il est menacé d’avoir mal au ventre, de devenir paralytique ou loucher, et risque même de mourir.» Pour éviter les conséquences néfastes de ce lait «épouvanté» (latti scantatu), il faut que la mère cesse d’allaiter sur le champ et se débarrasse du fluide fatal. «La mère ne se contentera pas de vider sa poitrine et attendre quelques jours pour allaiter de nouveau ; elle doit changer également au moins une fois la position de l’enfant par rapport à son corps.» En modifiant la position du bébé, les Siciliennes pensent conjurer le sort. Peut-être que le lait qui sortira viendra cette fois non plus du cœur mais de l’épaule ?
Pourquoi le lait d’épaule est-il meilleur ?
«En Sicile, d’après les proverbes et la croyance populaire, l’épaule s’impose comme un lieu qui porte la masculinité. Celle d’où le lait coule est le plus souvent l’épaule droite, par opposition symétrique à la partie gauche du lait de cœur». Ainsi que D’Onofrio le révèle, le lait d’épaule tire ses qualités des os. C’est un lait fabriqué par le squelette, à l’instar de la substantifique moelle. C’est un lait rempli de calcium et d’autant plus fortifiant qu’il est associé, tout particulièrement, à cet os majeur qu’est l’omoplate, symbole de la puissance virile. On peut s’appuyer sur une rude omoplate. Mais sur un cœur ? Comme le précise une Sicilienne : «Le lait d’épaule est bon car l’épaule est toujours la même, tandis que le cœur fait beaucoup de mouvements». Souvent cœur varie. L’épaule, elle, reste solide.
Parce que ce lait est du sperme
Pour Salvatore D’Onofrio, ces croyances se rapprochent énormément de celles qu’on observe chez les Baruyas de Nouvelle-Guinée où les adultes célibataires forcent les petits garçons à avaler leur sperme. Ces fellations initiatiques ont la valeur d’allaitement. Il s’agit de donner du bon «lait» aux enfants, afin de fortifier leur corps et purifier leur esprit, parce que le lait des femmes est de mauvaise qualité (1). «Les femmes [siciliennes] emploient parfois l’expression “lait masculin” pour nommer le sperme. Chez les Baruyas, le sperme […] sert de nourriture pour les garçons, en conférant ainsi aux hommes le pouvoir de les faire renaître hors du ventre de leur mère». C’est loin d’être innocent, résume D’Onofrio : le lait est l’un des enjeux majeurs de cette guerre des sexes qui agite en sourdine la plupart des cultures humaines. Lorsque les Siciliennes affirment qu’elles allaitent avec leur épaule, il faut comprendre qu’elles nourrissent leur bébé d’un liquide proche du sperme. Ce faisant, elles perpétuent l’idée que ce qui vient du mâle est meilleur.
Le fluide séminal en guerre contre celui des glandes mammaires
Les histoires de fluides corporels sont toujours des histoires de domination symbolique : c’est à qui aura le pouvoir suprême, démiurgique, de donner la vie. Cela peut paraître choquant, mais les vierges qui allaitent avec leur épaule participent, elles aussi, de ce système inégalitaire qui accorde au «lait mâle» une vertu supérieure au «lait femelle». La vierge n’est-elle d’ailleurs pas à moitié homme ? «En effet, la virginité féminine volontaire [peut être] définie comme une forme de virilité, en ce qu’elle libère l’esprit des exigences d’un corps resté femelle», répond l’historienne Yvonne Knibiehler. Ayant préservé son corps de toute souillure, la vierge ne peut que bénéficier des avantages qui sont l’apanage du sexe fort : elle donne naturellement un lait d’épaule et ce fluide semble jaillir non pas de sa poitrine mais de l’équivalent d’une paire de bourses rondes… Pourquoi, sur le tableau du Maître de Francfort (ci-dessus) tient-elle à la main une poire qui ressemble si fort à une figue ?
Goûte ça, baby, avale, c’est du bon
Faut-il s’en étonner ? En Sicile, les femmes prétendent que lorsque leur lait vient de l’épaule, il sort par giclées, éclaboussant parfois même le bébé qui s’étrangle : «On sent une chaleur et un fourmillement, dit l’une d’entre elles. Parfois il coule du sein si rapidement que l’enfant risque de suffoquer. Le lait de coeur n’arrive pas avec cette ‘furie’». Ces mères seraient évidemment très choquées d’apprendre le contenu latent de leurs fantasmes… Elles n’ont probablement pas conscience de faire subir des fellations à leur bébé. Mais voilà, lorsqu’elles parlent de la vitesse avec laquelle le lait s’écoule dans leur sein, elles utilisent des mots ambigus, lourds de sous-entendus (2), et qui reflètent leur fierté de mères puissantes. Moi, mon lait, c’est du bon.
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A LIRE : Les Fluides d’Aristote, de Salvatore D’Onofrio. Editions Les Belles Lettres. 2014.
Le texte sur le lait d’épaule a été initialement publié dans : Corps et Affect, un ouvrage dirigé par Françoise Héritier et Margarita Xanthakou, Odile Jacob, 2004.
POUR EN SAVOIR PLUS SUR LE LIEN ENTRE SPERME ET OS : Sang Noir – Chasse, forêt et mythe de l’homme sauvage en Europe, de Bertrand Hell. Editions L’Oeil d’Or. 2012.
NOTES
(1) Maurice Godelier : «Pour que l’homme devienne supérieur à la femme, ce qui est un aspect du régime politique de la société Baruya, il faut qu’il renaisse sans les femmes et par les hommes». Pour en savoir plus : La production des grands hommes, de Maurice Godelier, Fayard, 1982, p. 90.
(2) Pour connaître le sexe de l’enfant à venir, les femmes enceintes en Sicile, utilisaient jusqu’à une époque récente les sécrétions de leurs seins, que l’on appelle lait ou colostrum, et qui apparaissent normalement dès le cinquième mois : si ces sécrétions étaient «gluantes» au point de coller une pièce au téton, c’était un garçon. Du «bon lait d’épaule», c’est du lait provoqué par la présence en soi du mâle.
BANDEAU 1 : Vierge allaitant, Hans Memling, 1490, collection privée.
BANDEAU 2 : Atelier de Hans Memling, Madone allaitant l’enfant. Anvers, Museum Mayer van den Bergh.
BANDEAU 3 : Anonyme, Vierge allaitante, provenant de l’église de Saint-Jeandes-Lépreux et conservée au musée diocésain de Palerme.
BANDEAU 4 : Vierge allaitant (Madonna litta) de Giovanni Antonio Boltraffio, 1490, Musée de l’Ermitage
BANDEAU 5 : Maître de Francfort (ca. 1460-1533), Vierge à l’enfant à la poire. Anvers, Museum Mayer van den Bergh.
Parmi les rêves universels, de ceux que l’on a tous eu dans notre jeunesse, celui de découvrir un jour un trésor fait partie des plus courants. Il fait partie du réel, du possible. Voler comme un oiseau, arrêter le temps ou encore se rendre invisible pour mater les garçons à poil, tout le monde en a rêvé aussi. Mais même les plus crédules ont perdu espoir rapidement. La chasse au trésor, elle, reste toujours vivace dans l’esprit, quelque soit le lieu, l’âge ou la condition. Évidemment, de nos jours, les chances de trouver un galion ou une cité d’or (Esteban, Zia, Tao…) sont bien plus minces. Ce n’est pas si grave, car la véritable valeur d’un trésor n’est pas sa valeur pécuniaire mais celle que l’on lui accorde.
En fait, il n’y a pas besoin d’aller bien loin pour trouver le frisson de l’interdit et la promesse de richesses cachées. Souvenez-vous de vos jeunes années, celles où un simple tiroir fermé à double tour suffisait à vous rendre fou de curiosité. Oui, celui dont la clé se trouvait en haut de l’armoire. Vous y êtes ? Et là, est-ce que vous commencez à comprendre le rapport avec le Tag Parfait ? C’est dans ce vieux tiroir grinçant que j’ai trouvé le premier trésor dont je me souviens. J’en ai peut être découvert d’autres avant mais je les ai oubliés. Celui-la est resté gravé dans ma mémoire : une bande dessinée porno du chaperon rouge. Un big bang dans ma tête de pré-ado.
Des récompenses à la hauteur des risques encourus, la formule est simple et efficace. Braver l’interdit parental, risquer de se faire attraper ou dénoncer par la fratrie, être puni ou pire, tomber sur les photos de Papa et Maman en vacances à la Fistinière. Et oui, comme pour une vraie chasse au trésor, on ne sait pas sur quoi on peut tomber. Afin de confirmer (presque) scientifiquement cette théorie, voici les résultats de la première étude (je crois) sur ce thème. Une exclusivité Oldchap/LeTagParfait menée sur un échantillon anonyme et non représentatif de 100 personnes.
Le premier constat est que vous étiez effectivement des sacrés petits curieux. La soif de trésor a été plus forte que la peur, la nature humaine dans toute sa splendeur. Ne jetons pas la pierre pour autant à ceux qui n’ont pas osé avant de connaître leurs raisons.
La tendance est nette vers un choix délibéré de ne pas connaître le contenu des tiroirs interdits, cela se respecte. On ne reprochera pas non plus aux enfants sages d’avoir écouté leurs parents.
Nous rentrons maintenant dans le vif du sujet, chers pornographes en culotte courte : les résultats de vos recherches. Avec près de 60% de présence de contenu adulte, nous pouvons considérer ces expéditions comme réussies. Ayons tout de même une pensée pour les 40% de déçus, les Indiana malchanceux qui ont risqué une privation de télé et de sorties pour un tas de vieilles factures et lettres poussiéreuses.
60% de contenu adulte mais pour quelles réactions lors de la découverte ? Futurs lecteurs du Tag Parfait, oui mais, à l’époque, seulement des enfants et adolescents. Soyons rassurés, personne ne fut choqué parmi les sondés et un seul était déjà blasé, Gonzo sûrement. Une égalité presque parfaite entre les deux dernières catégories, voila qui est intéressant. Interloqués mais intéressés, voila ceux qui viennent tout juste de découvrir l’entrée secrète vers le monde des adultes. Encore circonspects devant ce nouvel univers, leur goût de l’aventure prendra bientôt le dessus. Les autres ne sont même pas posé de questions. Savaient-ils déjà ce qu’ils cherchaient ? En tout cas, ils sont bien contents de l’avoir trouvé.
Alors évidemment nous parlons d’un temps avant Internet, où un simple magazine sorti à la récré faisait de vous un contrebandier de l’espace. De nos jours, il n’y a plus vraiment de raison d’avoir du porn sous forme physique à la maison. Sommes-nous donc partis pour laisser aux générations futures une simple liste de liens avec éventuellement login et mot de passe ? C’est tout de suite moins attrayant comme trésor caché au fond d’un tiroir virtuel.
A priori, pas tout de suite – heureusement pour eux, vus les résultats à cette question. Il reste encore quelques dinosaures avec du matériel dans les placards.
La perspective de voir leur progéniture tomber dessus ne semble d’ailleurs pas perturber la grande majorité de ces traditionalistes avec une presque égalité entre indifférence et amusement. Malgré la preuve que l’expérience ne fut pas traumatisante, un tiers des sondés est tout de même angoissé à l’idée de voir leur cachette découverte. Sont ils juste des parents inquiets ou bien ont-ils tenu compte du fait que leurs enfants vont aussi tomber sur leurs sex-toys ? mmmh ?
En tout cas il n’est pas trop tard pour bien préparer le moment fatidique où votre autorité et les verrous ne suffiront plus à contenir leur curiosité. Remplissez vos placards de beaux ouvrages et de films de qualité, vous en profiterez maintenant et eux vous remercieront plus tard.
Mon Maître a trouvé une nouvelle façon de me torturer hier après-midi, quelque chose qui a non seulement le mérite de beaucoup l’amuser tout en le faisant durcir de plaisir lorsqu’il sent mon corps réagir par anticipation à ce qu’il va me faire. Du pur bonheur selon Lui…
En fait son nouveau jeu est tout simple, il ne nécessite ni matériel, ni installation quelconque. Je suis nue (comme d’habitude), allongée comme Il aime (tout contre Lui) et Il peut ainsi laisser aller ses mains sur mon dos, mes hanches, mes fesses et d’un seul coup Il enfonce ses ongles dans mon épiderme. Il faut savoir que Maître aime beaucoup garder certains de ses ongles un peu plus longs que d’autres et la sensation de piqûre et de pincement est extrêmement douloureuse sans compter qu’Il y met toute son énergie, qu’Il joue sur mon corps passant des effleurements aux pincements sans préavis, se délectant de chacun de mes sursauts et de mes gémissements, Son plaisir palpitant le long de ma cuisse…
Il aime et en tant qu’esclave, je ne peux que me réjouir de cette nouvelle activité qui lui plait tant, n’est-ce-pas ?
Cet article 16 Mai 2016 – Une nouvelle torture est apparu en premier sur La Part De L'Ombre.