Une jeune anglaise a appris qu’elle est cocue
Après avoir vu sur le cell de son copain
Une vidéo où l’on voyait l’ingénu
En train de copuler avec son petit chien.
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Une jeune anglaise a appris qu’elle est cocue
Après avoir vu sur le cell de son copain
Une vidéo où l’on voyait l’ingénu
En train de copuler avec son petit chien.
Dans « Les Météores », de Michel Tournier, un personnage, Thomas, se vante auprès de ses camarades du collège. Il a une technique pour avoir des orgasmes « sans écoulement de sperme ».
Il est surnommé « Koussek » (comme « coup sec ») par ses amis et leur apprend sa technique de non-éjaculation. Selon lui, il suffit de presser un point situé derrière les testicules.
En termes médicaux, on appelle ça une éjaculation rétrograde. Ronald Virag, sexologue et chirurgien cardio-vasculaire, est l’auteur d’un livre numérique, « Erection, mode d’emploi ».
Joint au téléphone, à la...
Vu sur Prolongation de l’appel à textes « rondes et sensuelles »
Cet appel à textes, dont vous trouverez les modalités sur cette page (http://litterature-erotique.chocolatcannelle.fr/2013/10/06/appel-textes-rondes-sensuelles/) est prolongé d’un mois. Date limite : 1er avril. A vos claviers !
Cet article provient de Littérature érotique
Il faut croire que l’enfer est pavé de bonnes intentions. Comme celles qui auraient poussé Steve et Leeana, les animateurs du show matinal d’une radio new-yorkaise, à poster un document qui a suscité un énorme buzz, cette semaine.
«Tommy ne viendra pas. Je ne crois pas en ce que vous faites et je ne ferai pas subir à mon fils votre ‘style de vie’. Je suis navrée que Sophia doive grandir dans ces conditions. Si vous avez un problème ou avez à me parler voici mon numéro…» Ce message, inscrit sur un carton d’invitation à l’anniversaire d’une petite Sonia, avait été posté mercredi sur la page Facebook de l’émission. Selon le texte qui l’accompagnait, la carte émanait de deux papas de Baldwin, dans l’Etat de New York. L’image est immédiatement devenue virale, suscitant une de nombreux articles sur le web et des commentaires indignés sur les réseaux sociaux.
Un «débat sain»
Sauf que l’histoire était inventée de toutes pièces, comme l’ont reconnu les animateurs du show, samedi, dans un communiqué contrit. «Cette histoire était totalement fictive, créée par nous deux sans en informer la direction de K-98.3. Nous avions essayé de lancer un débat sain sur un sujet hautement passionnel et nous avons laissé croire à nos auditeurs que cette situation existait vraiment», ont écrit les deux animateurs. D’après leurs explications, ils avaient seulement voulu illustrer le thème du show du jour, sans imaginer que l’image de l’invitation serait prise au sérieux.
Ce hoax est le dernier en date d’une série de cas d’homophobie un peu trop grossiers pour être vrais. Cet automne, notamment, une serveuse d’un restaurant du New Jersey avait prétendu avoir reçu une note homophobe inscrite par une cliente sur son addition. Elle lui refusait un pourboire en raison de son «style de vie». Sauf que la cliente en question avait reconnu la facture, et prouvé que la note était un faux, créé par la jeune femme elle-même. Plusieurs autres cas de fausse alerte à l’homophobie avaient défrayé la chronique en 2012, comme celui d’une femme qui s’était fait graver dans la peau une insulte homophobe. Elle avait fini par admettre s’être infligé les blessures elle-même avec un cutter, après que la fausse agression barbare avait soulevé un large mouvement de solidarité à travers les Etats-Unis.
On entend beaucoup d’experts théoriser à rallonge sur les études de genre, ce qui devrait être fait, ce que ça entraînerait ou pas sur le psychisme et la construction sociale des enfants, invoquer Freud, Dolto, Jésus ou même John Gray, mais de professionnels de terrain, rien.
Figurez-vous que l’éducation à la sexualité en milieu scolaire n’a pas attendu l’arrivée au pouvoir du socialisme et son lot de perversions, puisque la loi du 4 juillet 2001 précise qu’« une information et une éducation à la sexualité sont dispensées dans les écoles, les collèges et les lycées à...
— Oh… Oh… Oui ! Oui !
— Tu aimes ?
— C’est la meilleure fellation qu’on ne m’a jamais faite ! Je veux dire… tu es douée et c’est toujours très bien, mais là… on est vraiment à un autre niveau !
— Merci mon chou. Il faut dire que Guillaume et Valérie m’ont donné quelques bon trucs.
— Vraiment ? Vous avez parlé de… ça ?
— Parlé ? Oui, entre autres.
— Comment ça, « entre autres » ? Valérie t’a fait une démonstration ? Genre avec une banane ?
— Euh … ouais. C’est ça. Genre.
— Et Guillaume était avec vous ?
— Oui.
— Sacré veinard !
— Tu n’as pas idée.
— Tu les remercieras pour moi, hein.
— C’est déjà fait, mon chou, c’est amplement fait. Ils ont eu tous les remerciements qu’ils espéraient avoir.
Que représente pour moi la soumise idéale ? Voici la question que tout Dominant devrait se poser avant de commencer une relation. En effet, c’est de cet idéal que dépendra l’attirance que nous aurons pour tel ou tel type de soumise, ainsi que la mise en place des règles et des limites à venir. N’oubliez pas, la soumise n’est pas un objet que vous façonnez à votre guise (enfin pas en profondeur en tout cas), c’est un être humain avec son histoire et ses propres fantasmes.
D’ailleurs, ai-je vraiment besoin d’une soumise ? Où suis-je uniquement à la recherche d’un plan cul ? Ai-je une réelle envie de construire une relation unique et intense avec une femme dans un contexte BDSM ?
Personnellement le plan cul n’est pas dans mon mode normal de fonctionnement. J’ai besoin d’un lien affectif très fort avec la personne que je choisis. De plus, une liaison sans lendemain ne représente pour moi aucun intérêt. Il faut que je puisse me projeter sur le long terme pour trouver la force de m’investir pleinement dans l’aventure.
Choisir ma soumise a donc été une opération très délicate, car je savais que c’était pour un engagement durable. Alors, quelle est la description de ma soumise idéale ?
Elle doit avant tout être douce. Elle représente le repos du guerrier. Sa présence rassure. Sa tendresse apaise. Elle la source où je viens me ressourcer. Telle une chienne (animal fidèle et loyale) elle est mon alliée, mon soutien, la compagne de tous mes moments, les bons, les mauvais. Quel que soit mon humeur, elle est présente à mes côtés.
Elle a une confiance aveugle en moi. Mais une confiance non imposée car construite jour après jour dans la réciprocité.
Elle doit être apte à une éducation où une rééducation sexuelle hors des sentiers classiques d’une relation vanille. J’ai des envies, des pulsions que je n’ai aucune envie de réprouver sous couvert de respecter je ne sais qu’elle morale imposée par la société (Je ne reconnais qu’une seule morale : la mienne !) L’éducation sera progressive mais devra se faire. Pas question de dire non à une sodomie, une éjaculation faciale, une douche dorée, etc. Si j’en ai envie, elle s’y soumettra avec plaisir.
On dit toujours tel maître tel chien. Cela est aussi vrai en BDSM. Tel maître telle soumise. Elle sera mon reflet et son apparence de ce fait devra être conforme à mes exigences. Elle sera coquette, féminine. Prendre soin de son corps devra être une préoccupation de tous mes instants. Pas question de sortir dans la rue habillée comme un sac à patates. C’est ma réputation qui est en jeu. Sa garde-robe sera donc, de fait, choisie exclusivement par moi (on est jamais aussi bien servi que par soi-même).
Une soumise vit pour son maître mais pas que. Je veux qu’elle ait une vie autre : professionnelle, sociale, loisirs… Elle devra s’épanouir aussi avec ses copines. Je ne veux pas d’une soumise qui resterait sans cesse collée à moi, car j’ai également besoin de moments de solitude.