Retrouvez-nous bientôt en manif pour crier des slogans et récupérer nos beaux boutons !
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Retrouvez-nous bientôt en manif pour crier des slogans et récupérer nos beaux boutons !
- Galerie multi-média / article_uneVu sur Publications de février à juillet dans la collection e-ros
Je vous tiens régulièrement informés des prochaines publications de la collection e-ros, et il est temps de mettre à jour ces informations. En ce mois de février doivent paraître deux titres : Domestiqué(e)s de Martine Roffinella et de Ian Cecil (e-ros D/s) et Palingénésie, Conte de l’Éros triste d’Alain Giraudo (e-ros & bagatelle). (illustration de [...]
Cet article provient de Littérature érotique
À Albany, une jeune femme soumise
Craquant sous les pressions de la maternité
A sauté une coche et a fait un strip-tease
À l’école, devant les parents médusés.
Phoebe Arnold’s main fashion story for Ponystep 04 (Winter 2013) was shot by fetish photo artist Chas Ray Krider – he’s one of my all-time favorites. Don’t wait – BambiAttack has the entire glorious set here.
Le labyrinthe des rasoirs est un recueil d’histoires courtes pornographiques à tendance trash et fétichiste, avec des thèmes souvent employés dans la psyché pornographique japonaise. Ainsi, on retrouve pêle-mêle les étudiantes en uniforme, du bondage, de la scatophilie et du SM extrême. Tout cela serait bien fade sans le dessin qui, sans être extrêmement soigné, reste assez précis. Et surtout, ce sont les petites histoires contées qui valent le détour. Les cases de porno, efficaces et crues comme il faut, sont là pour illustrer des choses un peu plus subtiles : un prof de math obsédé par la symétrie, une jeune fille qui explore son degré d’humiliation maximum. A chaque fois, il y a un background psychologique (psychopathologique même) qui permet d’aller au-delà du simple choc visuel.
Pour le néophyte, l’ouvrage aura de quoi remuer les entrailles. Pour ceux qui ont déjà goûté aux joies du hentaï, ce sera moins une surprise mais la singularité des histoires et des personnages est intéressante. Comme bien souvent chez les artistes japonais, on est toujours aux limites de l’acceptable et l’on explore les extrêmes avec parfois des dessins d’une page flamboyants de beauté et d’horreur. On ne lésine pas non plus sur les fluides corporels. Les organes sexuels sont toujours dépeints dégoulinant. Ce côté extrême est contrebalancé par une étrange censure. Parfois les sexes sont dessinés, mais parfois juste esquissés mais jamais invisibles comme dans certains mangas. Bien que très présent, l’érotisme ne fait pas trop le poids par rapport à la violence, toujours omniprésente, avec en point d’orgue ce viol au fer à souder !
Avec son côté cinglé et ses dessins souvent très gores, son titre très cool, le labyrinthe des rasoirs est passionnant pour qui apprécie les créations what the fuck de nos amis japonais. Le mangaka Hayami Jun, qui cherche l’efficacité au détriment du soin, convoque Eros et Thanatos dans d’appréciables excès.
Le livre est accompagné d’une intéressante postface où des lectrices interrogent le mangaka sans tabou à propos de ses obsessions !
La bédé est disponible aux éditions Imho. Extrait disponible ci-dessous.
Valentine’s Day eye candy may have to be consumed all weekend due to my lateness on getting you the goods, but that’s not such a bad thing, is it? One tasty little morsel is the above video Galore Mag released for V-day, Tweedly Dee. Galore Mag did a little partnership with Fredricks of Hollywood and made this cute little scene starring The Red Bunny and Caroline Pires.
(I’m late due to extensive coverage of the cybersecurity privacy and prosecutorial disaster known as Obama’s bait-and-switch surprise Executive Order during SoTU, and a fractured, maybe sprained toe – very painful – that has me off my feet for a bit.)