34713 éléments (3171 non lus) dans 75 canaux
This website needs your support. Make a donation on Patreon.
Much gratitude to our thoughtful sponsor, Nubile Films.
Main post photo of gorgeous Shasta Wonder by BMan Photos via Shasta Wonder’s blog.
The post Sex News: 1 in 25 are revenge porn victims, porn on Google Daydream, the Porn Genome Project appeared first on Violet Blue ® | Open Source Sex.
Brazzers semble s’être trouvé une nouvelle passion pour les jeux vidéo. Après avoir parodié Call of Duty dans Cock of Duty et Overwatch avec Oversnatch, le studio de production s’attaque à Final Fantasy XV dans Full Service Station. Dévoilé le 6 décembre dernier, le film met la performeuse Nikki Benz dans la peau de la jolie mécanicienne Cindy Aurum. La ressemblance physique n’est pas frappante, c’est vrai – c’est du cosplay, tout est dans le costume.
Ce n’est pas tout. Lundi 13 décembre, Brazzers a franchi un nouveau cap dans son épopée vidéoludique en révélant le pilote de Porn Stars Play, une série dans laquelle Missy Martinez et Nikki Benz testent des jeux vidéo en compagnie d’un certain Justin. L’aventure est inaugurée avec Mafia III. On vous laisse découvrir le résultat par vous-mêmes, mais sachez qu’il y a assez peu d’images de gameplay et beaucoup de blagues graveleuses. Rendez-vous bientôt pour une deuxième épisode consacré à Battlefield 1.
Ce soudain intérêt pour le jeu vidéo est intéressé, bien sûr. Cock of Duty et Oversnatch ont valu une importante couverture média à Brazzers. L’objectif de Porn Stars Play est de gratter encore plus d’attention à moindre coût. Et ça marche : le skill et les vannes de Nikki et Missy sont en train de faire le tour du monde. Pendant ce temps, le géant du X Mindgeek continue à utiliser ses millions de dollars pour soutenir la création de jeux vidéo pour adultes. Les univers vidéoludique et pornographique n’ont pas fini de se rapprocher.
L'écume du rêve m'envahissait
haute marée de voix de souvenirs
soudain je te voyais au loin
soulever la taie sur l'œil du cœur
La délégation de Paris du Mouvement du Nid a le plaisir de vous inviter à son prochain ciné-débat avec cette projection du film de Nabil Ayouch, Much Loved.
Infos pratiquesJeudi 15 décembre 2016 à 19h00
à l'AGECA, 177 rue de Charonne, 75011 Paris
Entrée gratuite, inscription obligatoire.
Pour tout renseignement, sensibilisation.mdn75@gmail.com / 01 42 82 17 00.
Much Loved
Marrakech. Noah, Randa, Soukaina et Hlima sont des prostituées, des objets de désir. Elles surmontent au quotidien la violence d'une société qui les utilise tout en les condamnant.
Lire notre critique de Much Loved sur le site de notre revue, Prostitution et Société.
Basile di Manski s’élève dans les airs porté par les volutes de son imagination. Le compositeur et chanteur se laisse ainsi dériver au gré d’un doux érotisme où les idées s’enchaînent dans sa tête jusqu’à l’ivresse. Dans Burning Morning, il met à profit son coup de crayon pour décrire cet état onirique, entre imaginaire sexuel et voyeurisme. Une virée façon Miami Vice sans arme, ni violence, juste de la douceur et des fantasmes teintés de références 80s.
Nous sommes «au bord» de la fin du monde. Le mot «bord» se dit brink en anglais. C’est le titre d’un court-métrage bouleversant qui pose la question : le jour où tout va s’effondrer, que ferez-vous ?
«Aujourd’hui, j’ai vu un perroquet qui s’accrochait de toutes ses forces à une clôture grillagée, comme s’il savait ce qui allait arriver. Si tu veux savoir enfin ce que je faisais pendant toutes ces années, à qui je pensais, où j’étais, je peux te le dire maintenant. J’étais ton meilleur ami et je ne pensais qu’à toi, je ne désirais que toi, je n’étais qu’avec toi, tout le temps, en secret. Je voulais juste que tu le saches avant que nous nous envolions. Jeremy». Le court-métrage commence sur ces quelques lignes. Neuf minutes terrifiantes de beauté. Prenez le temps :
...
Dans Face à Gaïa, le sociologue et philosophe des sciences Bruno Latour, dissèque le cynisme avec lequel les autorités reculent le moment d’instaurer l’état d’urgence qui permettra peut-être à l’humanité de s’en sortir. «On doit à l’astucieux Frank Luntz, psychosociologue et rhétoricien hors pair [l’invention] de l’expression «changement climatique» à la place de «réchauffement global», explique Latour : «pour arrêter la remise en cause du mode de vie industriel, c’est sur les faits qu’il faut jeter le doute. La plupart des scientifiques croient que le réchauffement global est largement causé par les polluants d’origine humaine qui demandent une réglementation stricte. Le stratège républicain, M. Luntz, [fait] comme si les preuves n’étaient pas conclusives : “vous devez continuer à faire de l’absence de certitude scientifique l’argument central” («Environmental Word games», New York Times, 15 mars 2003)».
Souhaitez-vous continuer à accroitre vos richesses ?
Bruno Latour enchaîne : «La charge prescriptive des certitudes savantes est si forte que c’est à elles d’abord qu’il convient de s’attaquer. D’où le développement de cette pseudo-controverse qui a si merveilleusement réussi à convaincre une grande partie du public que la science du climat reste tout à fait incertaine, les climatologues un lobby parmi d’autres, le GIEC une tentative de domination de la planète par des savants fous, la chimie de la haute atmosphère un complot «contre l’American way of life», l’écologie une atteinte aux droits imprescriptibles de l’humanité à se moderniser»…
Le «droit» de l’humanité à (re)produire sans fin
Il s’agit de répandre l’idée que les scientifiques sont des «catastrophistes», dont les propos non seulement sont sans fondement, mais pernicieux. Vous êtes éco-sceptiques ? C’est bien, continuez. Un jour… ainsi que le prédit Bernard Charbonneau en 1980, dans son livre Le Feu vert : «Un beau jour […] les divers responsables de la ruine de la terre organiseront le sauvetage du peu qui en restera, et après l’abondance géreront la pénurie et la survie. […] La préservation du taux d’oxygène nécessaire à la vie ne pourra être assurée qu’en sacrifiant cet autre fluide vital : la liberté» (Cette citation est extraite de l’article «Feu vert» dans le Dictionnaire de la pensée écologique). Sombre perspective.
Le rôle du catastrophisme
Il faut lire aussi le témoignage du philosophe Jacques Grinevald (fils de haut fonctionnaire des Institutions Internationales) sur «l’ingérence des écologistes dans les affaire internationales» (dans les Cahiers de l’IUED, publiés à Genève) pour saisir l’ampleur du danger : «La crise planétaire qui s’annonce va impliquer, tôt ou tard, des mesures politiques extraordinaires qui ressemble davantage à l’état de guerre ou l’état d’urgence que les beaux discours onusiens sur le développement.» Catastrophisme ? Jacques Grinevald répond : «Le rôle du catastrophisme est rarement compris ou mis en lumière: on méconnait “l’heuristique de la peur” dont nous parle Hans Jonas (1903-1993) […]. On oublie que la pédagogie du catastrophisme vise à parer au pire.»
Craignons le pire
Le pire, ce serait que l’humanité «cherche dans un surcroît de technique une «solution» à ce «problème», et ainsi de suite indéfiniment», se moque Jean-Yves Goppi dans le Dictionnaire de la pensée écologique. C’est-à-dire qu’elle prolonge son agonie au nom de cette absurdité qu’est le «développement durable» (comme si l’humanité pouvait continuer à se développer sans tuer la planète) et qu’elle confie son sort à des techno-lobbies qui feront leur business de notre oxygène et de notre eau, avant de nous proposer (quand il n’y aura plus d’oxygène à vendre) de nous transplanter dans des machines (machines n’ayant pas besoin de respirer) ? Ou de nous envoyer sur Mars ?
Pensez-vous que le «Progrès» est un processus irréversible ?
Bref, il y a fort à parier que les instances dirigeantes «ne renoncent pas àla croyance en la toute-puissance humaine, via le transhumanisme ou le simple credo économique en une croissance matérielle infinie» (article «Progrès », signé par Floran Aubagneur et Dominique Bourg). Et ce qu’Aldous Huxley prévoyait déjà dans Le Meilleur des mondes arrivera, arrive déjà : «le dégoût de la vie physiologique ; le développement «hors sol» de l’humanité dans les nouvelles tendances du transhumanisme et l’artificialisation sans retour de la condition humaine. Et, last but not least, Huxley n’a pas manqué d’ajouter à son tableau la christianophobie aujourd’hui de rigueur dans les médias et dans certains cercles intellectuels» (article «Huxley”, signé par Bertrand Méheust).
A VOIR : Brink, réalisé par Shawn Christensen, avec Justin Chatwin et Allison Huntington, 2011. Produit par Damon Russell. Diffusé sur l’excellent site www.shortoftheweek.com
A LIRE :
La Biosphère de l’Anthropocène. Pétrole et Climat, la double menace, de Jacques Grinevald, Éditions Médecine & Hygiène, Genève, Suisse, 2007. À lire: entretien avec Jacques Grinevald à propos de son dernier livre.
Face à Gaïa, de Bruno Latour, La Découverte, 2015.
Dictionnaire de la pensée écologique, sous la direction de Dominique Bourg et Alain Papaux, PUF, 2015.
CET ARTICLE EST LA CONCLUSION D’UN DOSSIER portant sur les trois avancées majeures en matière de biologie depuis un demi-siècle : La révolution symbiotique «Femmes, vaches et lapins : même combat» / Le système immunitaire «Notre corps est-il humain ?» / L’hypothèse Gaia «Les midichloriens et l’hypothèse Gaïa»
UN AUTRE ARTICLE SUR LA FIN DU MONDE : Quel sens est le plus sensuel ?
C’est bientôt Noël et les boules du sapin sont déjà bien pendantes, je mate Family Guy en mangeant tous les chocolats du Calendrier de l’Avent. Tiens, Peter Griffin se croit dans les fantasmes d’un mec gay : « Oh Edwin, j’adore sentir mon odeur dans ta bouche » (S11:E23).
Allez je suis sapin, je vous laisse les cinq derniers gifs chocolatés à déguster sous la couette sans que ça sente le sympa.
– Stan, t’es dans ton bain ?
– Naaan !
– File dans ton bain !
– Naaaaan !
– Tu vas t’en prendre une si je monte et que tu n’es pas dans ton bain !
– Baleeeek !
– Attends voir…
– Je suis tout nu, hihi !
– Entre-y, l’eau est encore chaude.
– Tu peux m’y pousser tant que tu veux, j’irai jamais. Haha !
Sont de mieux en mieux les dialogues chez CockyBoys.
Ricky Roman & Kris Karr – CockyBoys
Quand tu suces pour la première fois sous la douche et que tu fermes les yeux pour ne pas que ça pique… Quoi que, quand tu suces pour la première fois tout court ça passe aussi.
Si tout est à jeter dans le style de ce pseudo zadiste anticonformiste bloqué dans les années 2008, ce gif axiliste donne l’impression que la teub de ce qui semble être le sosie de Ringo Starr marque au fer rouge un torse déjà bien rossé par la vie.
CockyBoys, c’est la prod la plus cool et la plus innovante du fap gayme. Dans des environnements proprets, des twinks plus gentils et mignons les uns que les autres s’enculent comme jamais. La réalisation fait autant bander que les positions à l’image de ce « papa dans papa » parfaitement asymétrique.
« Pas de boogie woogie avant de faire vos prières du soir
Boogie woogie, pas de boogie woogie
Ne faites pas de boogie woogie
Avant de faire vos prières du soir
Boogie Woogie, pas de boogie woogie »
Image de couverture : Peter Griffin et Edwin de Family Guy