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La dixième édition du Porn Film Festival de Berlin approche à grand pas. Du 21 au 25 octobre prochain, rendez-vous au cinéma Moviemento pour cinq jours de conférences, de performances, d’ateliers et de culture porn sur grand écran. Cette année, les organisateurs ont décidé de s’intéresser au sexe et au handicap en partenariat avec Boner et L.Mag, deux magazines consacrés respectivement aux communautés gay et lesbienne.
Qu’il soit expérimental, berlinois, fétichiste ou politique, court ou long, le sexe explicite sera évidemment au coeur du Porn film festival 2015. Que les cinéphiles se rassurent, bon nombre de longs métrages moins frontaux sont également à l’affiche : l’invincible Rocky Horror Picture Show, le film gay underground culte Hustler White, le très remarqué The Tribe… On constate avec plaisir que l’animation de Bill Plympton est également à l’affiche avec Cheatin’.
Les plus féroces férus de culture porn pourront également assister à une série de conférences consacrées notamment à la représentation de la pénétration anale homosexuelle au cinéma et à l’impact d’Internet sur la notoriété des porn stars. Moins de mots, plus d’action ? Le Porn film festival vous propose des initiations au bondage japonais et au fisting. Sans oublier les expositions, les présentations de livres, les soirées…
On vous détaillerait bien l’ensemble des festivités, mais le programme est bien trop riche pour être détaillé plus précisément. Nous vous proposons donc de retrouver le programme complet du dixième Porn film festival de Berlin sur le site officiel de l’événement.
En troisième semaine des gifs gay de la semaine, ça tape, ça cogne et les boules sont beaux et ronds comme les pastèques sur les étals des marchés dans le sud.
Miam les boules, miam le rimjob. Que faire de plus quand on a une paire de fesses aussi rondes que deux beaux melons si ce n’est de croquer dans la douceur de son centre ? Tommy Defendi n’hésite pas une seconde et y plonge à pleine langue.
Tommy Defendi & Anthony Romero – (If) – Cocky Boys
Le bad boy Brent Everett dont la teub est dure comme du béton H24 (mais quel est donc son secret ? hum hum…) demande l’aide d’un ami pour se finir. Le résultat ne tarde pas à arriver : c’est une très belle self facial qui est réalisée. Note technique : 7.6/10. Note artistique : 8.2/10
Brent Everett – BrentEverett.com
Heading South est parti d’un gif vidéo dont on ne connait pas la source pour créer cette animation très parlante. Puissance, encaissement, relâchement, si comme disait Gainsbourg « tu es la vague », celle-ci est officiellement une déferlante.
Ce gif hypnotique répond à l’animation du haut. Un coup profond, lourd et appuyé. Un fessier large, puissant et brillant. Malheureusement, aucune idée d’où vient ce porn.
Vous savez ce qu’il se passe ici ? Jimmy gobe les balls d’Aspen et celui-ci fait semblant de trouver ça cool. C’est fragiles ces petites choses, vas-y doucement.
Aspen & Jimmy Fanz – Recruiting part 3 – Men.com
Illustration en une : Headingsouthart
Le tribunal de Tours a accordé le 20 août dernier, le droit à une personne qui ne se sentait ni homme ni femme de se déclarer de sexe neutre à l’état civil. Une première en France et en Europe. Lire la suite sur Libération >> Vous souhaitez en savoir d’avantage : site internet du Conseil de...
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Un projet innovant au service de la construction d'alternatives à la prostitution : en Alsace, 40 acteurs associatifs, institutionnels et économiques se sont constitués en réseau pour favoriser l'insertion professionnelle et la formation des personnes en situation de prostitution.
L'essentiel en une page avec ce dépliant synthétique à télécharger
Infos pratiquesSignature officielle des chartes d'engagement des 40 membres du nouveau réseau régional d'acteurs pour favoriser l'insertion professionnelle et la formation des personnes en situation de prostitution
15 Octobre 2015 à 16h30
à Colmar, Cité Administrative, 3 rue Fleischauer
Grande Salle du Bâtiment D
15 Octobre à 16h30 à Colmar : Signature officielle des chartes des 40 membres du nouveau réseau régional d'acteurs pour favoriser l'insertion professionnelle et la formation des personnes en situation de prostitution
17 Octobre 2015 : Des actions qui s'inscrivent dans la journée mondiale de lutte contre la misère
18 Octobre 2015 : Des actions qui contribuent à la journée européenne de lutte contre le trafic des êtres humains
Isabelle Collot, salariée de la délégation du Mouvement du Nid du Bas-Rhin, présente le projet pour la télévision Alsace 20.
Lors du passage en deuxième lecture au Sénat de la proposition de loi renforçant la lutte contre le système prostitutionnel, la séance a esquissé un projet de société ambitieux, sabordé par Les Républicains et les absents. Vivement la CMP et le dernier mot à l'Assemblée nationale pour le rétablir définitivement !
Des avancées malgré le vote incohérent de la majorité sénatoriale Les républicainsLa seconde lecture au Sénat a permis plusieurs avancées, dont certaines historiques. Elle a notamment mis fin à 76 années de répression contre les personnes prostituées en abrogeant définitivement le délit de racolage. Elle a aussi renforcé les mesures de protection des personnes prostituées, y compris étrangères. Nous nous félicitons d'avoir été entendus sur plusieurs points par les sénateur.ice.s et tout particulièrement par celles et ceux présentEs en séance a déclaré à cet égard Claire Quidet, porte-parole du Mouvement du Nid.
Car le résultat du scrutin au Sénat a été dicté par une autre réalité : La majorité Les Républicains a voté en bloc pour le maintien de la répression à l'encontre des personnes prostituées et contre l'engagement de la responsabilité pénale des clients prostitueurs.
Votant en bloc, par scrutin public, Les Républicains ont perdu sur le délit de racolage qui est définitivement abrogé. Nous nous en félicitons. Mais ils ont aussi gagné en préservant temporairement l'impunité des "clients" prostitueurs dénonce Grégoire Théry, Secrétaire général du Mouvement du Nid. Au final, les présents en séance, de tous bords, auront esquissé un projet de société ambitieux visant à protéger les personnes prostituées et à mettre fin à l'impunité des prostitueurs. Mais cette ambition a été sabordée par le vote en bloc des Républicains et des absents. Nous sommes persuadés que la CMP permettra d'aboutir à une loi globale et cohérente.
Un fossé : en séance les sénateur.ice.s de tous bords présents étaient largement favorables à une loi globale et cohérente !La seconde lecture au Sénat aura été marquée par un fossé entre la qualité des interventions en séance, très largement favorables à une loi globale incluant l'inversion de la charge pénale des personnes prostitutées vers les clients prostitueurs, et les votes en bloc, par scrutin public, des absents. Ainsi, par exemple, le seul sénateur LR à s'être exprimé sur le fond de l'article 16, Cyril Pellevat est aussi le seul sénateur LR à avoir voté pour son rétablissement. Tous les autres, absents du débat, ont voté en bloc conte.
Le projet de société des Républicains : maintenir la pénalisation des personnes prostituées et préserver l'impunité des clients prostitueurs !La palme de l'incohérence et de la mauvaise foi revient aux votes en bloc des Républicains. Alors qu'ils s'opposaient farouchement à la sanction des clients prostitueurs en invoquant le risque de précarisation des personnes prostituées, les sénateur.ice.s républicains ont voté en bloc pour le maintien du délit de racolage. Autrement dit, pour protéger les personnes prostituées, ils préfèrent pénaliser les victimes que les auteurs !
Ce mercredi 14 Octobre au soir, le Sénat a voté la proposition de loi de renforcement de la lutte contre le système prostitutionnel, telle qu’elle avait été amendée par la commission spéciale chargée de l’étudier pour cette deuxième lecture.
L’article proposant de pénaliser les clients des travailleuses du sexe n’a ainsi pas été réintroduit, malgré quatre amendements, dont un du gouvernement en ce sens, et l’abrogation du délit de racolage a quant à elle été confirmée. Ces deux très bonnes nouvelles signifient que le Sénat a rejeté à la fois la répression directe des travailleurSEs du sexe via le délit de racolage, et leur répression « indirecte » (mais dont les conséquences seraient tout aussi concrètes) via la pénalisation de leurs clients.
Cependant, bien que l’article 1 du texte initial qui permettait un blocage des sites internet sans autorité judiciaire ait été rejeté par les deux chambres en première lecture, il impose désormais aux hébergeurs une obligation de signalement et de suppression de nos sites. On peut s’interroger tant sur le but que sur la légitimité de cette mesure qui contraint les opérateurs à signaler et supprimer les sites faisant la promotion d’une activité qui par ailleurs, demeure parfaitement légale.
De même, si les autorisations provisoires de séjour dont peuvent bénéficier les victimes de traite peuvent atteindre un an, et non plus 6 mois, celles-ci restent soumises à condition ; la condition n’est certes plus d’avoir déjà cessé le travail sexuel, mais de s’être engagé dans un processus de cessation de l’activité. Ce chantage consistant à n’aider que les « bonnes victimes » qui veulent arrêter le travail sexuel nous semble toujours aussi indécent et dangereusement contre-productif si le but visé est d’aider celles et ceux qui voudraient réellement arrêter le travail sexuel.
Nous le répétons :
seule la régularisation DE PLEIN DROIT, sans condition, des travailleurSEs du sexe et de touTEs les sans-papier sera à même de renverser le rapport de force en leur faveur.
et seule une DÉPÉNALISATION entière du travail du sexe (racolage, clients, proxénétisme) sera à même de permettre l’amélioration de nos conditions de travail.
Le Sénat a hier franchi une étape ; mais dans l’attente de savoir si l’Assemblée Nationale, suite à l’établissement d’un nouveau texte par une commission paritaire, fera à nouveau machine arrière, nous tenons à rappeler, plus que jamais, nos revendications :
NI ABOLITION, NI REPRESSION : des droits pour les travailleurSEs du sexe !
Cet article Ni pénalisation du racolage, ni pénalisation des clients : mais à quand des droits pour les putes ? est apparu en premier sur Strass Syndicat du travail sexuel.
Après un article de déballage en exclusivité mondiale, voici que je continue avec le premier test du Womanizer W500 au monde, décidément NXPL c’est trop top ! J’ai été littéralement assailli par les demande de mes lectrices avec des questions comme « alors il vaut quoi le nouveau Womanizer ? » « Si je n’en ai pas un…
Cet article Test du Womanizer W500, le top de l’orgasme est apparu en premier sur NXPL.
Insolent comme une claque sur une fesse moulée de cuir et suintant comme une bière tiède versée sur une crête hirsute, JD (prononcer Jay-Dee) est né à Toronto il y a quelques décennies. Dès ses premières frasques, il a été unanimement considéré comme le germe catalyseur ayant donné naissance à la scène queercore. Au fil des pages photocopiées couvertes de graffitis graveleux, punks et gays en prennent pour leur grade dans une joyeuse mêlée digne d’un pogo en talons hauts.
Le premier opus de JD agit tel un cocktail Molotov sur ces deux groupes marginaux pourtant habitués à se faire haranguer sans ménagement, mais pas forcément simultanément. Piqués à vif au coeur même de leur bastion et comble de l’ironie, par des membres de leur propre communauté, l’effet fédérateur n’a plus qu’à agir: le queercore, nouveau genre mutant, est né. Le but avoué de la sauvage G.B. Jones, fondatrice de JD et de son co-équipier Bruce la Bruce (encore obscurément underground à cette époque) est atteint dès la première parution. En attaquant ouvertement les deux parties, l’union se crée comme par enchantement et la fête peut commencer. Des titres tels que Don’t be Gay ou Polymorphous Perversity sont monnaie courante à la une de JD, et les collaborations issues des deux bords ne se font pas attendre: le genre se perfectionne à la vitesse grand V et on n’y va pas de main morte.
Outre G.B. Jones elle-même, dont les illustrations tendance gay cuir de ses «Tom Girls» ne font pas dans la dentelle, se dessine aussi déjà en filigrane ce qui deviendra par la suite l’univers tout spécifique de l’indétrônable Bruce la Bruce, à travers des fictions tout aussi trash et frontales que son style cinématographique actuel peut l’être. Les contributions à JD sont aussi en grande partie musicales, le sommet du genre demeurant l’introuvable mixtape culte: «JDs Top Ten Homo Core Hit Parade Tape» contenant des perles rares aux titres aussi explosifs que les noms des groupes (dont certains poids lourds) tels que Coil: «The Anal Staircase» ; The Leather Nun: «Gimme Gimme Gimme (A Man After Midnight)» ; The Dicks: «Off-Duty Sailor» ; The Raincoats: «Only Loved At Night» ; Victim’s Family: «Homophobia» et d’autres raretés du type Black Fag ou Vaginal Davis pour n’en citer que certains. Il n’est pas trop difficile de laisser son imagination divaguer en reconstituant mentalement le paroxysme proche de l’orgie que certaines soirées labellisées JD devaient atteindre à certains moments, et en particulier les premières parties du genre.
Lorsque JD a cessé d’exister en 1991, G.B. Jones a poursuivi dans la même direction en fondant immédiatement un autre fanzine, «Double Bill» classé X dans la catégorie plutôt extrême de hate-zine (en opposition farouche à fan-zine) puis a collaboré épisodiquement à plusieurs fanzines de type «Riot Grrrrl» – mouvement hardcore punk féministe- tout en continuant ses tournées en tant que musicienne punkrock. A cette époque, Bruce la Bruce prenait déjà l’ascenseur pour la gloire, bien que sa filmographie soit restée fidèle à l’underground pur et dur et cela malgré son indéniable succès. Son ascenseur paraissant être de type éternellement souterrain, il s’adresse encore à ce jour à un public très spécifique et, toutes proportions gardées relativement restreint, et cela nous ravit encore et toujours, puisque nous en sommes.
J'inaugure une nouvelle rubrique sur le blog qui ne sera pas spécialement féministe ; j'espère pourtant qu'elle vous intéressa. Elle concernera assez banalement mes lectures du moment.
Il y a peu, j'ai demandé à mes ami-es facebook de m'indiquer leurs livres préférés ; c'est au final un sacré challenge ! Lorsque je ne connaissais pas le livre qui m'avait été conseillé, je m'imaginais ce qu'il pouvait être en fonction de ce que je savais de la personne. Cela donne parfois un résultat surprenant.
Un rêve américain de Norman Mailer : Chaque année lorsque je vais chez ma mère, je vais au même vide-grenier où un homme vend ses livres. Cette année, j'y ai acheté ce bouquin-là me disant que c'était l'occasion ou jamais d'enfin lire Norman Mailer.
Le résumé : Un homme tue sa femme après une énième dispute et tente de faire passer le crime pour un suicide.
Mais que voilà un pitch original lorsqu'on sait en plus que la femme est décrite comme une garce de première qui martyrisait son mari ! Vous vous imaginez combien j'ai pu aimer ce livre .
Qui plus est, j'imagine qu'il devait être très irrévérencieux et politiquement incorrect d'écrire ce genre de phrase en 1965 pour décrire une femme qui jouit (après qu'il vienne de la violer) "je pouvais sentir des eaux basses et stagnantes, autour d'un tronc d'arbre mort dans un étang la nuit". et "les femmes ayant découvert la puissance du sexe ne sont jamais loin du suicide".
Bref si vous aimez les longues descriptions misogynes, les tourments d'un assassin, ce livre est fait pour vous.
Les Femmes de Stepford de Ira Levin : Joanna, son mari et leurs enfants emménagent dans une nouvelle ville où toutes les femmes sont de parfaites ménagères uniquement préoccupées de leur intérieur pendant que leur mari s'occupe dans un étrange "club des hommes". Joanna s'y fait des amies jusqu'au jour où celles-ci commencent à changer.
Peut-être avez-vous vu le film avec Nicole Kidman ; étrangement (ou pas) la fin est complètement différente dans le livre.
Ce livre a été écrit en 1975 et Ira Levin a sans aucun doute très bien symbolisé les peurs masculines au moment où les mouvements pour les droits des femmes étaient extrêmement forts. Et il a encore mieux montré combien les hommes sont parfois prêts à tout pour ne pas renoncer à leurs privilèges.
Mon chien Stupide de John Fante : C'est un livre qui m'a été conseillé par quelqu'un dont c'est le livre préféré.
Un chien stupide et obsédé débarque un jour dans la vie d' Henry J. Molise, un auteur raté qui va voir dans ce chien l'occasion de pimenter un peu sa morne vie.
Un ovni. Je dois avouer que j'ai été un peu surprise des descriptions plutôt très explicites du pénis du chien Stupide qui passe sa vie à chercher un orifice où entrer qu'il soit humain, canin, porcin mâle ou femelle. c'est un livre à la fois immensément drôle où le comportement du chien sert en quelque sorte de revanche pour l'humain et, dans sa seconde partie, d'un roman beaucoup plus intimiste où l'on voit toute la tristesse du personnage qui voit ses enfants partir.
Une saison de machettes de Jean Hatzfeld : Dans Dans Le nu de la vie, l'auteur, grand reporter interrogeait des rescapé-es du génocide rwandais. Il donne la parole dans ce livre à 12 assassins hutus, en attente de leur procès.
Nous pourrions être ces hommes et nous pourrions avoir considérer que tuer était comme aller aux champs, que massacrer le voisin n'a rien d'extraordinaire, que tuer était comme un travail. "Couper" comme ils disent ; je ne sais s'ils emploient ce mot qui est le même que celui employé pour les travaux de coupe dans les champs pour atténuer les actes qu'ils ont commis ou si le kinyarwanda - comme le français - manquait de mots pour définir les actes qu'ils ont commis.
Ces douze assassins n'ont pas beaucoup d'états d'âme, ils espèrent rapidement sortir de prison, vivre à côté des rescapé-es sans réellement envisager comme cela va se passer ni se questionner sur le pardon qui pourrait leur être accordé. En fin de livre, ils posent pour une photo comme une bande de copains qu'ils n'ont jamais cessé d'être. Hatzeld offre des pistes pour comprendre le génocide même s'il reste toujours face à ce genre d'actes, une part d'inconnu ce que certain-s appelleraient "le moment où dieu a détourné les yeux".
Le bizarre incident du chien pendant la nuit de Mark Haddon : Ce livre m'a encore une fois été conseillé comme "livre préféré" ; ce n'est sans doute pas un livre que j'aurais pensé à acheter, je serais sans doute passée à côté d'un chouette roman .
Christopher, un jeune adolescent qui souffre, probablement, d'une forme d'autisme découvre que le chien de sa voisine a été assassiné ; il va donc mener l'enquête.
Je ne saurais dire si ce livre traite correctement de l'autisme ; en revanche il décrypte à merveille toutes les bizarreries humaines ; le fait de parler par expressions et métaphores, le fait de souvent mentir, l'idée que les relations humaines sont faites pour part de dissimulations. C'est un livre très tendre sur les difficultés d'un jeune adolescent à comprendre le monde qui l'entoure, monde qui ne fait pas grand effort pour être compris.
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Le kinbaku consiste à utiliser la corde en vue d’exposer l’embarras du modèle d’avoir du plaisir (en japonais: Hazukashii (恥ずかしい)).
Si vous êtes en mesure de révéler à l’observateur, les sentiments cachés de votre modèle mélangé avec le plaisir d’être dans cet état, vous faites un kinbaku de haut niveau.
Ces mots résonnent dans ma tête lors de la seconde escale de ce voyage exploratoire entrepris depuis peu avec cette J curieuse, quelque part entre la route de la soie et celle des épices.
Je sens gronder en moi l’envie d’exercer pleinement ma volonté sur cette exhibitionniste en herbe. Avec les mains, la corde, la cire, le couteau, encore de la corde, des gestes et des mots qui lui indiquent exactement la posture qui plait à Monsieur.
Je la retrouve en équilibre délicat, restreinte et dirigée, protégée et mise à nu, habitée par le plaisir trouble de se livrer ainsi à un homme qui lui est encore inconnu.
Et moi de sentir que je lui chatouille les tripes dans son ventre… et les miennes avec.
J’appelle ça faire du deltaplane.
Elle avait raison la Favorite qui notait, dans l’album d’images de la demoiselle, une sensualité dans les prises de vue, dans ses poses, avec ce sentiment du besoin d’aller plus en profondeur, plus loin, plus haut.
La troisième escale devait nous le révéler encore davantage.
Photo : devotia
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