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La marque internationale de plaisir Womanizer lance la première pomme de douche au monde spécialement créée pour la masturbation, en collaboration avec le fabricant de produits de salle de bain haut de gamme hansgrohe. L’inventeur révolutionnaire de Pleasure Air Technology brise le tabou des conversations autour de la masturbation en l’introduisant dans les objets du quotidien. Avec ses réglages de jets créés pour les sensations les plus agréables grâce à l’élément naturel de l’eau, Womanizer Wave permet aux propriétaires de vulve de se masturber désormais dans leur douche avec une pomme de douche créée exactement pour cela. S
ur la base de la vaste expérience de Womanizer dans l’industrie et grâce à des études de marché approfondies, la marque s’est rendu compte qu’il manquait un produit de ce type sur le marché. Une grande part de la gent féminine acquière leur première expérience de masturbation sous la douche. Globalement, 60 % des femmes se sont déjà masturbées sous la douche ou dans la baignoire ; 41 % se souviennent que la première fois, c’était avant d’avoir 18 ans. Pas moins de 29 % des femmes dans le monde se masturbent au moins toutes les deux semaines sous la douche. Avec la pomme de douche Wave, Womanizer a fait passer...Lire la suite sur Union
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Vous savez que j’aime bien le design et ce qui est kinky (sinon maintenant, vous le savez 😆). J’ai découvert grâce à une amie Domina une marque de mobilier de donjon qui produit un matériel incroyable en termes de qualité et de fonctionnalités. Je vous parle de la marque Allemande Style Fetish Industries. Plus que…
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Cher Docteur, bien sûr à mon âge il n’est plus question de faire les 24h du Mans du sexe. Pourtant, j’y pense tous les jours. Il suffit que je croise une jolie fille dans la rue, ou même à la télé pour que je m’imagine lui faire l’amour. Y compris avec des très jeunes femmes, ce qui me rend un peu honteux. Je croyais que mes envies ou fantasmes s’estomperaient avec l’âge et je m’aperçois qu’il n’en est rien. Est-ce que ce type de réactions et d’envies va finir par me passer un jour ? David, 76 ans (Montpellier)
Les pensées érotiques, mes fantasmesOn croit souvent à tort que les rêves sont moins fréquents quand on vieilli, comme si les capacités d’imagination du cerveau diminuaient progressivement au fil des années qui passent. Certes, ce que vous décrivez ne relève pas complètement du domaine du rêve puisque vous êtes bel et bien éveillé quand ça se produit, mais s’y apparente beaucoup. En effet, les fantasmes sexuels proviennent de l’imaginaire et correspondent à des pensées érotiques qui passent par la tête, mais ne sont pas suivies d’actions allant dans ce sens. On peut donc dire que vous avez gardé tout votre potentiel fantasmatique et continuez à rêver à ce que vous avez fait à d’autres époques de votre vie et qu’il ne vous déplairait pas de pouvoir encore le faire…
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À l’heure de se dévêtir un peu plus et d’enfiler leurs maillots de bain, comment les Français vivent-ils l’exposition de leurs corps au regard des autres ? S’adonnent-ils encore autant au “Summer Body” ? Quelles sont les sources principales des complexes ? Subissent-ils des préjugés qui fleurissent un peu partout et notamment sur les réseaux sociaux ? Afin d’en savoir plus, l’agence spécialisée en data Flashs et le site de voyages Voyageavecnous.fr ont demandé à l’IFOP d’interroger plus de 1 000 Françaises et Français. L’étude témoigne d’un rapport difficile au corps et d’un réel malaise à l’idée de se montrer en maillot, encore plus marqués chez les femmes, quand bien même une large majorité s’adonne à ce fameux “Summer Body”. Leurs complexes, qui trouvent leurs origines à diverses sources, entraînent chez certains et certaines une angoisse palpable à l’approche de l’été. On y apprend notamment que les Françaises aiment de moins en moins leur corps. Si, dans leur ensemble, 47% des Français et des Françaises disent ne pas l’aimer, les femmes (60%) sont nettement plus nombreuses que les hommes (33%) à le vivre ainsi.
En 10 ans, le nombre de ces femmes a considérablement progressé, passant de 46% en 2013 à 60% cette année. Plus elles avancent en âge, plus leur rapport à leur physique devient compliqué : 76% des plus de 65 ans en ont une perception négative. Dans ce contexte, montrer son corps partiellement...Lire la suite sur Union
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Cet article Ayoub Moumen: de la mode à la performance, une quête de liberté sur le fil provient de Manifesto XXI.
L’artiste tunisien·ne Ayoub Moumen présentera sa performance Between the lines le 20 septembre à la Flèche D’Or, dans le cadre du festival Jerk Off. On s’est glissé·e dans l’atelier de lae performeur·se et designer pour en avoir un avant-goût.Chez Ayoub Moumen, tout se réfléchit à même la peau. Que ce soit en se mettant à nu dans ses performances ou par sa création de vêtements qu’iel considère comme un deuxième épiderme. Rendez-vous a été pris dans son atelier pour dérouler le fil du parcours et de la pensée de cet artiste en quête d’une vraie liberté. « À chaque création je m’approche un peu plus de ce que je veux dire » résume-t-iel au terme de notre discussion. Alors de quoi est-il question ? D’une réflexion transversale de plus de 10 ans sur la colonisation de la Tunisie, l’identité, le capitalisme, la condition d’artiste et la guérison. Autant de thèmes qui sont présents, entremêlés dans Between the lines.
Un corps émancipé de la modeComment un·e designer en arrive à s’exprimer en se mettant à nu ? Formé·e à Tunis, aux Beaux Arts puis à l’Esmod, Ayoub Moumen s’est assez vite senti à l’étroit dans le monde de la mode. Iel récuse son système consumériste et son inaccessibilité, ainsi que l’écrasant « see now, buy now ». En 2018, iel crée son propre label, dans la mouvance anti-fashion, R.E.W (Refuge Engaged Wear) Paris. Sa création vestimentaire dit le chaos et la violence du monde, comme lors de son défilé (quasi prémonitoire) Contamination en 2019. Au Musée de l’Immigration, Ayoub Moumen orchestrait alors la présentation d’une série de silhouettes racontant l’histoire de deux hommes qui se sont noyés en tentant de traverser la mer, et qui ont ensuite contaminé le monde. Ses vêtements véhiculent des messages explicites, mais ça ne suffit pas. La critique est accentuée par un besoin d’expression viscéral : « À chaque fois que je créais des pièces, je voulais aller dedans. » se remémore-t-iel. « Mon corps me poussait, me disait : c’est toi le sujet. C’est quoi ton identité ? » Sur un portant, une longue robe de maille rouge légèrement pailletée attend, ainsi que de longs pans de tissu blanc colorés de rouge qui serviront pour Between the lines. Sur le bureau, parmi d’autres objets, des bobines de fils roses et un casque avec deux grandes cornes noires. L’artiste qui a été bercé dans son enfance par les longs rituels stambali (faits de musique, de danse et parfois de transe), a le mot « witch » tatoué à la base du cou.
Ayoub Moumen poursuit : « Je n’aime pas cette image de créateur caché, soit disant “humble”. Je n’aime pas cette idée de l’autorité dans la mode. » Ni ailleurs. Une de ses références du moment s’appelle Betraying authority: fragments on queer art & poetry, du poète étasunien Noah LeBien. Un processus de recherche pour remettre son corps au centre commence : « J’avais une image : comment présenter une collection seule ? Un vêtement peut porter un message, mais comment se confronter à cette matière ? Donc j’ai commencé par m’habiller, me déshabiller jusqu’à l’épuisement, à me faire les 30 silhouettes de la collection. » Peu à peu, Ayoub Moumen explore un nouveau territoire, proche du « drag radical » théorisé par la chercheuse Renate Lorenz dans son ouvrage Art queer, une autre lecture importante pour lae créateurice. Pour autant, ce passage de la mode à l’art se fait sans aucune idéalisation tant il est évident pour Ayoub que les mécanismes du fonctionnement prédateur de la mode sont les mêmes que ceux du monde de l’art contemporain. Une problématique émerge alors très vite, nette, totale : Comment vivre de son art sans qu’on fétichise nos histoires et nos corps ?
Ayoub Moumen, Tomorow is too late © Romain GuédéLe tournant s’amorce aussi grâce à la poursuite d’une thérapie – « pour guérir de la cellule familiale, du patriarcat » – et d’un travail sur la mémoire du corps. Iel s’initie au Body-Mind Centering avec Tamara Milla Vigo. « La performance, c’est se rendre vulnérable, et Noah LeBien dit que la vulnérabilité invite à la créativité » cite Ayoub. La brèche est ouverte, les traumatismes peuvent devenir matière à création. « La première fois que j’ai senti que j’étais différent·e c’était dans les yeux et les commentaires de mon père » confie-t-iel. Une différence visible tôt, marquée par le regard du patriarche qui lui refuse la pratique de la danse classique et lui donne des coups. Son coming-out, iel l’a fait « comme une rébellion » contre sa famille paternelle. Ayoub milite très vite au sein de l’association Shams (une des premières associations LGBT du Maghreb), qu’iel cofonde avec l’avocat Mounir Baatour, lui aussi exilé en France. La honte d’avoir grandi dans le tabou de l’homosexualité se colmate avec le poids de l’héritage colonial, encore amplifié par le carcan de la dictature Ben Ali. « J’ai passé 23 ans dans un trou noir » résume Ayoub. Cette chape de plomb fait de l’ailleurs, de la France, un idéal pour vivre. « Mes parents ne disaient pas les mots, mais l’ailleurs était présenté comme le seul moyen de me “sauver” » explique-t-iel. Pourtant, cette société qui permet de vivre sa sexualité et son identité de genre plus librement ne soigne pas un certain « complexe d’infériorité » qui l’accompagne.
Lay against act 4, au Spazju Kreattiv à MalteBetween the lines arrive au terme d’une décennie de mutation, du passage du soulagement d’être en France à un regard critique sur l’état de nos libertés publiques ici. Une évolution qui se résume par une image : « Une des premières choses, que j’ai vue à mon arrivée en France, c’était deux flics avec un drapeau LGBT, ça semblait extraordinaire » explique l’artiste qui depuis préfère la Pride radicale à la Marche des Fiertés de l’inter-LGBT. En Tunisie, l’homosexualité est criminalisée par le paragraphe 230 du code pénal, un texte datant du protectorat français. Un héritage particulièrement grinçant à l’heure où les pays occidentaux ont vite fait de faire la leçon aux à ceux qui ne respectent pas les droits des personnes queers. Une filiation apparaît alors aux yeux d’Ayoub Moumen : le pinkwashing est un enfant terrible du colonialisme. C’est le point de départ pour la conception de Between the lines : « Comment parler du pinkwashing à partir de ta mémoire ? Sans aller dans un truc violent, parce que l’histoire en elle-même est violente. Comment, à partir de ça, de ces quelques lignes et beaucoup de corps, amener à observer la colonisation jusqu’à aujourd’hui ? » Ayoub insiste néanmoins, la performance traite du washing et de toutes les problématiques de récupération-instrumentalisation. Iel nous invite à rester « vigilant·es » sur les formes de contrôle qui mutent, mais persistent.
Au fil de la conversation, on devine que si sa critique est radicale, elle n’en reste pas moins mue par l’espoir de voir nos sociétés s’améliorer. Que « liberté, égalité, fraternité » ne soient pas des mots vains, et que de, l’autre côté de la mer une place soit faite aux queers. De retour d’un festival à Malte où étaient présent·es d’autres artistes LGBTQ+ du Maghreb, iel dit en souriant : « Peut-être qu’un jour on verra nos premières Pride, qu’on sera là, vieilles, botoxées, frontline dans la rue principale à Tunis. Je rêve souvent de cette possibilité. »
En savoir plus sur la programmation du festival Jerk Off
Image à la Une: Ayoub Moumen, auto-portrait
Edition et relecture : Anne-Charlotte Michaut et Léane Alestra
Cet article Ayoub Moumen: de la mode à la performance, une quête de liberté sur le fil provient de Manifesto XXI.
Le terme de femme licorne désigne un comportement de vie sexuelle polyamoureux. Il est utilisé pour décrire une femme célibataire et bisexuelle qui vient partager la vie amoureuse d’un couple existant avec le désir d’avoir des rapports intimes avec les deux membres, sans chercher à aller plus loin dans cette relation, sans vouloir poser de problèmes ou le moindre ennui à ce couple. Une relation de pur plaisir !
Je viens, je partage un petit moment d’intimité avec un couple, puis je m’en vais… C’est ainsi qu’on pourrait décrire le style de vie des femmes licornes. La raison pour laquelle on les appelle licornes est qu’il est difficile de trouver une femme qui soit prête à compléter une relation déjà établie dans un but purement physique. La licorne, donc, serait une sorte de petite amie du couple. Son impératif : elle doit toujours être en présence des deux partenaires du couple. Elle est là, strictement pour des relations sexuelles, sans aucun attachement affectif ou émotionnel pour l’un des deux membres. Ce qui implique certaines règles et certains critères à respecter.
Sexuellement épanouieCet article Qu’est-ce qu’une femme licorne ? est apparu en premier sur Union.
Les Précieuses, un terme inventé par des doctes satiristes. Pourtant nombre d’auteurs se réfèrent à ces femmes de culture. Elles ouvrent leur salon à « l’art de la conversation » où règnent le respect de chacun·e et « l’esprit de joie ». A rebours de la domination masculine dans le mariage forcé ou le libertinage, […]
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