Love your breast ! Une émission à voir pour en savoir un max sur vos seins… On parle SlutWalk vers 0’28 :-)
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Love your breast ! Une émission à voir pour en savoir un max sur vos seins… On parle SlutWalk vers 0’28 :-)
Bordel, quand Fort Boyard rentre sur la piste. La Boule, flanqué de Passe-Partout et Passe-Muraille, vient foutre le zbeul à l’Opéra, une boîte de Chambéry. Ça swag sur la gauche, ça swag sur la droite. Barely legal sur les genoux, bouteille de Ricard sur la table… Ça doit pas fourrer souvent à Fourras.
Merci Zafinho (certainement un des meilleurs comptes Twitter à suivre et également auteur de cette petite excursion en République Tchèque) pour cette découverte et les légendes qui vont avec. Vous ne regarderez plus jamais Fort Boyard de la même façon.
« HOP HOP HOP OÙ TU COURS COMME ÇA TOI VIENS FAIRE UN TOUR SUR LES GENOUX DE TONTON LA BOULE »
« On vous baise on vous laisse à l’hôtel » aurait déclaré La Boule selon des témoignages de participants à la soirée.
La Boule part dans un freestyle d’anthologie « Bouteille de Pastis, on s’enjaille, ramène moi ta fille que jl’entaille »
La Boule est innarêtable. Ses victimes tentent de serrer les cuisses, d’enlever son bras, il regarde ailleurs et…
« QUATRE PATTES J’CONNAIS AP’ MÊME COMPLÈTEMENT RABATTE »
[Edit] Témoin (ou victime) sur place, Barb Prieto-Lavault confirme la malice sans limite de l’affreux jojo du Fort Boulard.
@ovasselon il m’a mis la main entre mes cuisses (véridique)
— Barb Prieto-Lavault (@barbuchelabuche) 15 mars 2013
@ovasselon @la_charp et quand je me suis approchée pour lui claquer la bise, il m’a demandé de lui faire « un vrai bizou sur la bouche » bouak
— Barb Prieto-Lavault (@barbuchelabuche) 15 mars 2013
La suite en images par ici, âmes sensibles, s’abstenir.
Après une première édition réussie en 2011, le Festival Pigalle remet le couvert du 21 au 23 mars 2013. Sous la bannière « Bon chic, mauvais genre », le Festival détourne et retourne Pigalle : lieu de fête, de création, de débauche et d’interdits. Une nouvelle édition avec plus de spectacles, de soirées, d’événements adaptées au quartier et à ses multiples facettes (nos foies peuvent en témoigner tous les week-ends). Pendant trois nuits et deux jours : des parcours secrets, du cinéma, du clubbing, des concerts, des expositions, des performances, une radio éphémère… Qu’on vous invite à découvrir.
Voici le programme complet (extrait du communiqué de presse)
JEUDI 21 MARS
• Les parcours nocturnes (départ à 19h, 21h et 23h)
« Lieux secrets »
Gros succès public de la précédente édition et âme véritable du festival, les parcours nocturnes seront à nouveau l’attraction vedette de la programmation 2013. En compagnie de Sylvanie de Lutèce ou Hervé Haine, les heureux élus partent sur les traces d’un Pigalle de frisson de pacotille ou de rock… Emotions et sensations seront au rendez-vous. Une tournée de lieux insolites multipliant découvertes impromptues et rencontres surprenantes… La légende de Pigalle à vivre comme si on y était.
• Cinéma – Genre! Genre! Genre! – L’Atlas (à partir de 14h pour les projections et 20h30 pour les performances live)
Cette année l’Atlas accueillera un festival de films de genre en tout genres : des projections ambiance 60’s-70’s, des courts, moyens et longs métrages, du frisson, de l’érotisme… Au générique: l’artiste Fred Elalouf « DJ Oof » et ses happenings insolites mixant joyeusement images et sons en performance live, le collectif Panic! Cinéma et leur collection de curiosités sur bobines, et, pour la première fois à Paris, le festival de Cinémabrut de Montsartoux.
Projections l’après-midi et performances décalées le soir feront revivre, le temps d’une journée, la grande époque des cinémas de quartier qui ont fait, jadis, la gloire du cinéma de genre.
• L’Atlas
Ouvert dans les années 60, l’Atlas s’est d’abord essentiellement consacré aux westerns puis est rapidement devenu une des salles porno-érotique du Pigalle période révolution des mœurs… Aujourd’hui c’est l’un des derniers cinémas X encore en activité à Paris. Grâce au Festival Pigalle, ses néons colorés vont voir défiler un tout autre public, trop heureux de pénétrer le saint des saints de cet irréductible qui fait encore vibrer le chaud quartier.
Venu de Grande Bretagne, un Bingo version déjantée, interdit aux vieux et aux ennuyeux, et qui se joue dans un joyeux bordel et en tenue incorrecte exigée. Deux sessions seront organisées dans une ambiance enfiévrée et en musique avec Marco Dos Santos qui officiera en Maître de Cérémonie puis aux platines… A la fin, une remise de lots pour les gagnants, mais l’essentiel reste de participer.
Après la passion du jeu, viendra la folie de la danse dans ce nouveau lieu de la nuit (très bien) tenu par l’ex papesse de Chez Moune (époque filles), Marco concluera la soirée Bingo par un set électro visionnaire.
VENDREDI 22 MARS
Ça ne pouvait venir que des Etats Unis, un rodéo qui brise les préjugés et mélange les genres… Il existe un véritable circuit de compétition avec ses règles et son public mais s’y ajoute une note de fraîcheur bienvenue dans un monde viril et pour tout dire assez sauvage. La compétition parisienne se déroulera perchée sur un taureau mécanique mais pour sûr : « il va y avoir du sport ! ». Aux commandes, deux hôtes flamboyants : Marc Zaffuto et Emmanuel d’Orazio de la Club Sandwich !
• Musique – Hommage à Pierre Carré – La Boule Noire (à partir de 20h30)
Nostalgie quand tu nous tiens… L’un des tout derniers personnages de Pigalle fera l’objet d’une soirée hommage sous forme de concert/bal avec l’orchestre du Petit Orchestre Parisien (formation issue du GOLEM). Une soirée placée sous le signe de la chanson populaire et qui devrait voir défiler de prestigieux invités pousser la chansonnette en souvenir du rougeoyant troubadour.
Pierre Carré et Les Noctambules, Les Noctambules et Pierre Carré, les deux mythes sont liés pour toujours désormais. Depuis plus de 40 ans, le chanteur prenait possession des lieux chaque soir ou presque avec un répertoire éclectique voire bordélique : chanson française, italienne, espagnole… Depuis que Pierre est parti, Pigalle cherche sa voix.
SAMEDI 23 MARS
ASKEHOUG, drôle de dandy décadent.
La chanson titre du spectacle sonne comme la promesse d’un règlement de comptes aussi léger que glaçant. De l’inertie du couple à la dérision d’une époque en plastique, Askehoug décortique l’humain, mi-bionique mi-animal, en maniant son scalpel d’un air détaché. Toujours dans un esprit Smart & Piggy, ce dandy décalé surprend par son groove classe et décadent, sa voix grave façon Arthur H, son chanté-parlé jazzy à la Gainsbourg, mêlé au côté hip-hop foutraque et décalé des Beastie Boys et au lyrisme désuet de Serge Lama, avec même une étonnante révérence à Jean Rochefort pour son humour, sa poésie et. une certaine ressemblance physique.
Yes ! La référence de la nightlife version Pigalle fait son come back pour enflammer le festival… Le beat qui a fait trembler l’Elysée Montmartre sera à nouveau de la party mais au Pigallion cette fois-ci. Donc un haut lieu du dance floor + une sélection musicale pointilleuse + une date en exclu + des performers dragkings = un cocktail very explosif… Aux commandes Danton Eeprom + Guests.
Danton Eeprom
Danton Eeprom fait ses débuts sur la scène berlinoise et devient en quelques années une signature remarquée de la musique électro. Son univers au background rock, qui mêle de fines compositions pop à des sonorités issues de la new-wave, lui a ouvert en grand les portes de la renommée internationale.
En 2009, le dandy de l’electro-pop sort son premier album « Yes is more », au style sombre, élégant et inclassable.
LifeLike
Laurent Ash de son vrai nom, LIFELIKE produit et compose des sons electro qui tournent sur la scène internationale. Dès ses débuts, il se positionne à l’avant-garde du mouvement électronique française et trouve rapidement sa place aux cotés des plus grands, comme Daft Punk, Justice, Alan Braxe, ou Pedro Winter. Ses productions, aux sonorités house et new-wave, déchainent les foules aux quatre coins du monde.
Kcpk
Les KCPK ont à plusieurs reprises retourné les dance floors Parisiens. Reconnu pour être de véritables performers, ces 2 érudits de la musique ont réintroduit avec talent la Cold Wave dans les endroits branchés et undergrounds de la capitale. Ils viendront partager leur passion à travers une sélection de titres exclusifs
Remain
Remain partage depuis 7 ans son sens de la fête et des rythmes au long de sets percutants qui mêlent techno, électro et minimale. Jadis DJ résident du mythique PULP, il entraîne avec lui une foule de passionnés en tout genre. Seul ou en “back to back”, il offre une explosion de basses et de beats puissants.
Billetterie et réservation – Event Facebook – Fan Page Facebook
by Sarah McKenzie March 3, 2011 published in The Age National Times
Porn is well and truly part of mainstream culture — no longer hidden behind neon-lit shop fronts and brown paper bags. With the advent of new technologies, accessing pornography is cheap, quick, easy and anonymous; in fact, it is estimated that one-third of Australian adults are consumers of porn.
It is tempting to think that the majority of this material is of the lame-storyline, large-moustache, Vaseline-lens variety. However, porn that would have been labelled hard core back in the ’70s is now more likely to be considered the norm. Recent research shows that acts of aggression against women are a commonplace – indeed expected – part of the porn narrative.
In defending their industry, many accuse the ‘‘anti-porn brigade’’ of focusing only on particularly violent examples of pornography.
*
A recent study published in the journal Violence Against Women, however, has analysed the best-selling porn videos to see just how widespread and routine the degradation of women in pornography has become.
The research found that physical aggression was present in 88 per cent of scenes. Of these, there was an average of 12 aggressive acts per scene. In addition, name-calling occurred in about half of all scenes.
Perhaps unsurprisingly, the perpetrators of violent acts were most commonly men, while the targets of their violence were nearly always women. In almost every case, women were shown reacting to aggressive acts with pleasure or neutrality, enforcing the idea that women enjoy being dominated or degraded during sex.
Sexual acts that women would typically find painful or degrading were common in the videos analysed. Boston sociology professor Gail Dines has previously reflected on this particular sequence and noted that it often comes with a ‘‘joke’’ about the woman being made to ‘‘eat shit’’. Professor Dines further points out that the brutality of the industry has become such that most porn actresses have a ‘‘shelf life’’ of three months because their bodies are so physically damaged by the job.
Even defenders of the industry would have a hard time arguing against the unequivocal finding in this research that there has been a sharp increase in the levels of aggression shown in films over the past two decades. They commonly contest, however, that the degree and frequency of violence towards women doesn’t matter because porn is ‘‘just fantasy’’.
It has to be pointed out that no one is suggesting that men who sit down to watch porn go out afterwards to assault or rape women. However, the trend towards the increased degradation of women in porn means we run the risk of becoming desensitised to depictions of sexual violence. We also raise the very real possibility that a generation of young men and women will come to view the humiliation of women as a normal part of sex (to say nothing of a distinct lack of female pleasure).
It would be simply naive to claim that porn has no effect on our society. Porn and culture interact, simultaneously reflecting and shaping each other. The increasing expectation of young women (and to a lesser extent, men) to look and act in a way that reflects the so-called ‘‘porn aesthetic’’, the popularity of ‘‘sexting’’ and the increasing uptake of practises such as labioplasty are just a few examples of porn concepts that have made the leap into mainstream culture.
It stands to reason, then, that when we fantasise about hurting women, our real relationships suffer. When we gain sexual arousal from the (even fictional) debasement of women, it changes the way we view men, women and sex, on an individual and a societal level.
But for all the disturbing findings in the recent research, perhaps the most depressing statistic was that kissing, hugging or laughing was depicted in only 10 per cent of sex scenes. This statistic alone should be enough to make us want to challenge and change the ‘‘porn norm’’ so that it includes positive representations of women, and space for intimacy, trust and respect.
Sarah McKenzie is a freelance writer.
Sa démarche était aussi féline que le motif léopard de sa microjupe. En déposant son joli popotin sur le tabouret du bar de l’hôtel, elle secoua ses cheveux pour que sa proie puisse en recevoir la brise parfumée – un geste qu’elle devait avoir déjà pratiqué mille fois. Puis, tout sourire, elle lui dit du tac au tac :
— Envie de me baiser?
— Hein?
— Oui. Tout de suite. Je ne te demande tien en retour… sauf une toute petite chose: mon mari peut regarder. C’est notre petit fantasme à nous deux, ça nous permet de mettre du piquant dans notre couple. Tu vois, là-bas, près de la porte? C’est lui qui nous attend.
— C’est très tentant, mais…
— Allez, ne sois pas timide, je te promets la meilleure partie de jambes en l’air de ta vie…
— Vous ne comprenez pas. C’est juste que… dans cinq minutes, je suis censé monter à ma chambre pour regarder ma femme faire l’amour avec un type qu’elle a dragué dans ce bar.
— Euh… Tu me niaises, là?
— Pas du tout. D’ailleurs, je pense que je vais y aller tout de suite. Vous arriverez plus tôt, la prochaine fois: les meilleurs taureaux partent toujours très vite.
Derrière le zinc, le barman pouffa.
— Gracieuseté de la maison. Prenez, la soirée sera longue… dit-il en lui versant un manhattan.