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Parce que les droits humains sont encore menacés, même en France pourtant cinquième puissance économique mondiale, ce rapport sur la santé et la précarité montre que l’accès aux soins et à la prévention est particulièrement difficile pour les populations les plus vulnérables. En tant qu' association d'éducation populaire et représentante d'usagers, Le Planning Familial entend ces freins d'accès aux droits, aux lieux, aux soins
Jeudi 14 Décembre 2017All i want for Xmas is MILF. Voilà pour le topo de la dernière trouvaille pop des productions Brazzers (ces grands poètes). Soit un clip safe for work (mais pas vraiment familial) célébrant les vertus de ces mères qu’on aimerait câliner. Oh, MILF, que je t’aimeuh, que je t’aime.
Chez Brazzers, on apprécie la galéjade. La preuve avec l’ironique « A Lonely MILF On Christmas (Holiday Single) », récit enneigé moins tubesque qu’un bon vieux Mariah Carey mais tout aussi sensuel. A l’instar du dernier Chabat, le pourvoyeur de films pour adultes nous dévoile l’envers du décor : lorsque Santa arrive en ville du haut de son traîneau, qu’en advient-il de son épouse, restée comme chacun sait au royaume du Pôle Nord ? A-t-elle en sa possession quelques « jouets » avec lesquels s’amuser ? Tout en chansons (et en bas nylons), la patronne se livre à quelques confessions mélodiques sur son quotidien de maman mélancolique. Vêtue de ses légers oripeaux rouges et blancs, Kagney Linn Karter incarne une Mrs Claus chaleureuse et démontre toute l’étendue de son « talent oral ». Il faut dire que la pornstar est une aguerrie des rôles parodiques – on a pu la voir en féline furieuse dans Katwoman et en Supergirl dans le Superman vs. Spider-Man XXX d’Alex Braun.
Capture d’écran YouTube – Brazzers channel : « Brazzers Presents: « A Lonely MILF On Christmas » (Holiday Single) »
Seul bémol : industrie du X oblige, il suffit à une actrice d’avoir trente ans pour se voir consacrée en MILF. Résultat, on se gondole bien tout en se disant qu’on aurait préféré voir la féerique Brandi Love occuper le rôle – ou, susurrent les plus érudits, la « GILF » Nina Hartley. Mais cette fantaisie sucrée reste un joli cadeau, agrémenté de quelques caméos bien sentis – AJ Applegate, Dani Jensen. Pour les méchants garnements qui aimeraient pousser le vice au-delà du suggestif, on ne saurait trop vous conseiller d’explorer la foisonnante catégorie « christmas mom » (ou « step mom santa ») sur votre tube favori. C’est Noël avant l’heure.
Une semaine sportive aux gifs gays, on prépare notre pudding body pour les fêtes. Cette année, c’est décidé, on veut être la reine de la fête, être dinde à la place de la dinde et reléguer Mariah au rang d’une aidoru de télécrochet. 3, 2,1, fappez!
C’est pas parce que Prince à la fin de son auguste vie avait troqué les chaps en résille jaune pour des yoga pants, qu’on a le droit d’en porter. Qui a fait une fois une séance de yoga dans sa vie a forcément eu le camel toe de ses voisines de tapis dans le champ de vision. Pour remédier à ce douloureux problème ainsi qu’à celui de la couille qui se coince dans le jockstrap pendant le chien tête en bas, rien ne vaut une bonne séance de yoga naturiste. Et Superman peut aller se faire foutre avec sa vision kryptonite : on vous montre tout. Allez on respire bien par le périnée!
On ne compte plus les élucubrations du porno sur la prison : depuis Jeff Stryker qui fait passer son gros barreau entre ceux de sa cellule jusqu’à Johnny Rapid qui se fait matraquer le cul par Rafael Alencar dans les douches, on est servis, ça va bien, merci. Mais quand Paddy O’Brian demande une garo à Will Helm, ça rate pas, on se fait allumer. Soufflette à la Jean Genet, puis Will se fait fumer (mais pas derrière les cyprès). Vu comment les deux smokemates finissent en sueur, il doit pas y avoir de problème de chauffage dans cette zonzon.
Un des derniers films d’Al Parker, sorti l’année de sa mort en 1992. Al Parker y est toujours le meilleur pour inventer des façons de baiser qu’on a jamais vues ailleurs. Il fait visiter son prépuce en long en large et en travers à Craig Slater, puis prend les choses en main pour un fist crémeux. Les vibrations des claques d’Al Parker sur son bras résonnent dans le cul de Craig Slater forever and ever.
Quand tu mets un fleshlight entre les mains de Matt Hughes, ben… il le remplit. Bras de bébé vs fleshlight, un rude combat s’engage : qui résistera aux assauts de cette branlette plastique ? Les concurrents s’élancent sur le ring, un sourire de Matt déstabilise le fleshlight qui réplique par un uppercut de l’orifice. La teub tendue par l’effort, Matt tombe à la renverse et s’avoue vaincu. Fleshlight : 1 / Matt : 0. Balle au centre ?
Un peu d’histoire avec ce gif qui sniffe bon la nostalgie porno. A night at the Adonis nous fait déambuler dans ce cinéma où l’action se passait au moins autant dans la salle que sur l’écran. Des allées sombres de la salle aux pissotières blafardes, des escaliers mystérieux au balcon peuplé d’ombres, tout évoque un monde de fantasmes mal éclairés. Mais Dalida est là avec sa ceinture de perlouzes pour une disco branlette qui éclaire l’Adonis de mille feux.
Il y a 50 ans, la loi Neuwirth permettait aux femmes et aux couples d’accéder à la contraception. Pouvoir enfin dissocier sexualité et procréation a ouvert les portes de la liberté et de l’autonomie sociale et professionnelle.
L’engagement de Lucien Neuwirth avec le Planning Familial, a ainsi permis l’élaboration de la loi de 1967 et l’abrogation de la loi de 1920 interdisant la vente et l’utilisation de tout produit contraceptif, préservatif compris.
Jeudi 14 Décembre 2017 2017-1214-cp-neuwirth.pdfLe Joy Division XPander 4+ est un masseur prostatique vibrant d’un type nouveau. Il est doté d’un système qui lui permet de s’étendre une fois placé dans le rectum pour mieux venir stimuler la prostate. Découvrons cela ensemble… Présentation du Joy Division XPander 4+ Large Le Joy Division XPander 4+ est livré dans une boite…
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L’année 2017 touche déjà à sa fin Ladies, emportant avec elle un tourbillon de nouvelles expériences, d’épreuves passées ensemble séparément en réalité, car un édito par an, c’est relativement peu, on vous le concède…
Cependant, à la manière de nos chérubins prompts à écrire leur lettre au Père Noël ou nos estomacs prêts à avaler plus de victuailles en l’espace de deux semaines, entraînés depuis l’automne à grand renfort de raclettes et de tartiflettes, nous avions grand hâte de venir vous conter, dans ces colonnes, notre épopée annuelle. Hors de question de passer outre la désormais tradition de l’édito de fin d’année : jamais deux sans trois, Ladies !
L’an dernier, on vous promettait de fêter la décennie du magazine des filles à la page en grande pompe. Nouveaux partenariats, nouvelle version, des idées par milliers et une motivation à toute épreuve. La vie en aura voulu autrement, vous l’aurez constaté. Pourtant, si Ladies Room n’a quasiment pas bougé d’un iota sur ces derniers mois, nous avons tenté, du mieux possible, à révolutionner cet espace qui abrite vos écrits de la manière la plus décomplexée qui soit. En coulisses, le comité de rédaction et moi-même nous sommes remués les méninges pour nous poser les bonnes questions : quel avenir pour le magazine des filles à la page ?
En créant le premier magazine exclusivement féminin à lire et à écrire en 2007, heaven ouvrait la voie et donnait de la voix à une blogosphère essentiellement féminine, riche, protéiforme, qui proliférerait autour et en-dehors de Ladies Room au fil des années. En creux, des voix féminines se sont élevées aux quatre coins des Internets, et il serait aujourd’hui absurde de prétendre que les femmes n’ont pas d’espace au sein desquels s’exprimer, qu’ils soient personnels ou plus médiatisés. De là à soutenir que nous avons enfin toute latitude pour s’exprimer en toute liberté… il y a un monde, dont les nombreuses affaires de harcèlement en ligne viennent dessiner les contours.
Dans cette lutte perpétuelle pour nous libérer des chaînes de la pensée dominante (entendez par là une pensée majoritairement masculine), nous nous sommes attachées à faire de Ladies Room un ilôt pacifique et pacifiste, inclusif et généraliste, et il n’est pas question d’en changer de sitôt. Or les filles à la page ont mûri, et le magazine aussi.
Vous l’aurez remarqué ; le logo a légèrement changé et la promesse, elle, est beaucoup plus franche : Ladies Room est un féminin décomplexé. Un lieu où vous raconter avec pudeur ou impudeur, avec retenue ou avec panache, dans toute votre complexité… sans se compliquer la vie pour autant !
Hier financé et structuré par une société commerciale, Ladies Room est aujourd’hui une publication indépendante à géométrie variable, s’apprêtant même à devenir une association dont nous vous reparlerons très vite dès les premiers jours de l’année 2018, dont l’ADN ne change pas : c’est vous, lectrices (et lecteurs en goguette), qui en dessinez les contours chaque jour, sans peur et surtout sans complexes. Et parce qu’une nouveauté n’arrive jamais seule (vous connaissez la rengaine), nous aurons besoin de tout votre soutien pour mener à bien les ambitions que nous avons pour cette nouvelle décennie sur LR !
Enfin, dès le mois de janvier, nous consacrerons l’année 2018 aux temps forts de chaque année passée sur Ladies Room : on a peut-être un peu de retard mais dix ans, ça se fête tout de même ! On vous prépare une longue année entre nostalgie et l’espoir de voir notre féminin prospérer pour de nombreuses années encore…
Et comme on a encore beaucoup de pain sur la planche (ressortir les meilleures archives, relever les manches pour créer l’association, préparer la campagne de financement participatif… relancer la machine à notre rythme en somme !), on vous souhaite dès à présent d’excellentes fêtes de fin d’année. Rendez-vous dès le mois de janvier pour un retour vers le passé : 2008, nous voilà ! (Et ouais, vous ne vous y attendiez pas à celle-là, hein ! Sans complexes, qu’on vous dit !)
D’ici là, festoyez plus que de raison, Ladies ! À l’année prochaine !
(cc) Joachim S. Müller
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