Un premier ligotage en suspension dans la Bergerie du Loup.
Modèle : M/d… Cordes & Photo : R/Valmont.
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La tour de vis donné par le voisin russe continue d’inspirer les politiciens extrémistes de Lituanie. Pas moins de quatre textes antigay ou antitrans attendent les parlementaires lituaniens au mois décembre prochain. Le premier propose d’interdire purement et simplement le recours à la chirurge de réassignation sexuelle pour les trans. Motif: les interventions soulèveraient des «questions morales et éthiques» insolubles. Au passage, le projet de loi nie le vécu des personnes trans, assurant que le sexe est «déterminé génétiquement au moment de la conception».
«Dénigrement public des valeurs morales»
Un deuxième texte vise à prévenir tout adoption (future) par des couples de même sexe en inscrivant dans la Constitution que «tout enfant à un droit naturel à un père et une mère». Les familles monoparentales apprécieront. Troisième paquet, tout aussi mal ficelé, présenté aux députés du Seimas: une proposition de limiter le droit à manifester pour les organisations LGBT en introduisant un délit de «dénigrement public des valeurs morales constitutionnelles» avec à la clé des amendes pouvant 2400 fr. (2000 euros). Un autre texte, pas encore placé à l’ordre du jour, prévoit aussi de faire supporter les charges de sécurité aux organisateurs de manifestations.
Une dernière proposition, particulièrement tordue, prévoit de légaliser les discours de haine envers les minorités sexuels. Les «critique du comportement et des pratiques sexuels, croyances ou convictions, ou la persuasion à les changer ne peuvent être qualifiés de harcèlement, de dénigrement, ou encore d’incitation à la haine ou à la discrimination», précise le projet de loi.
Le député d’extrême droite Petras Gražulis serait derrière plusieurs de ces textes. Cet agitateur antigay avait déjà perturbé plusieurs gay prides dans la république balte. Il était aussi à l’origine de plusieurs propositions – rejetées ou invalidées – visant à réprimer la soi-disant «propagande homosexuelle», ces dernières années. Vilnius assure la présidence de l’Union européenne jusqu’à la fin de l’année.
Source: «Lithuanian Tribune»
Vu sur Le Scandale, épisode 1 de Margaret et ses filles, Anne Dézille
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Cet article provient de Littérature érotique
Le magazine Genside a tourné une vidéo pour se moquer (gentiment) de HBO, dont les séries télévisées sont réputées pour leurs scènes chaudes. Disponible sur le câble sur abonnement, la chaîne américaine n’a pas les mêmes contraintes que les grands « networks », sur lesquels on ne verra jamais le moindre téton, censure oblige.
J’ai lu avec attention le billet de Renée Greusard publié sur Rue89 et titré « Le pharmacien fait de la prévention quand il vend un test de grossesse. Vraiment ? », revenant sur le projet d’autoriser les grandes surfaces à commercialiser ces produits.
Je suis d’accord sur le fait que tout ce qui peut faciliter l’accès des femmes à une meilleure maîtrise de leur fertilité est bon à prendre. Et, en tant que femme de 29 ans, je ne peux que m’associer à votre vision des choses.
Terrifiées au point de venir le jour du rapportJe suis professionnellement au contact de femmes bien plus...
Il y a 15 ans mourait Matthew Shepard, un nom devenu un symbole pour toutes les victimes de violences homophobes. Le calvaire du jeune homme de 21 ans, battu et torturé à mort par deux hommes, Aaron McKinney et Russell Henderson, a mené à l’adoption d’une loi contre les crimes de haine aux Etats-Unis, en 2009, et à d’innombrables commémorations et initiatives à travers le monde.
Prostitution et crystal
Mais voici qu’un nouveau livre sur l’affaire crée la polémique. Stephen Jimenez, un journaliste gay, affirme que McKinney, un des deux meurtriers, vivait secrètement sa bisexualité. Au fil de 13 ans d’enquêtes sur le terrain, à Laramie, Wyoming, Jimenez a accumulé des témoignages qui tracent le portrait d’un jeune homme qui se prostituait auprès d’hommes afin de s’acheter de la drogue. En outre, il aurait eu plusieurs rapports sexuels avec Shepard, lui-même gros consommateur de stupéfiants. Or selon l’auteur, Shepard avait réceptionné 170g de crystal meth peu avant son assassinat. Cette drogue de synthèse aurait été convoitée par ses deux futurs meurtriers, en état de manque.
Dans «The Book of Matt: Hidden Truths About The Murder of Matthew Shepard», Jimenez analyse comment les questions de toxicomanie et des effets des méthamphétamines au moment du crime n’ont pas été prises au sérieux au cours du procès. Les débats avaient tourné autour de l’orientation sexuelle de Shepard, ouvertement gay. Quant aux deux prévenus, ils avaient prétendu avoir agi sous le coup de la «panique homosexuelle», une pulsion prétendument incontrôlable face à des avances d’une personne du même sexe. Aaron McKinney et Russell Henderson ont finalement été condamnés à la prison à vie, en 1999.
«Épouvantable journalisme»
Le livre de Jimenez a été hué par une partie de la presse gay américaine, qui a accusé l’auteur de rejeter le crime sur sa victime. Moises Kaufman, le réalisateur du film tiré de la pièce «The Laramie Project» a qualifié l’enquête d’«épouvantable journalisme». Tous ne sont pas de cet avis. Certains éditorialistes ont relevé que le travail de Jimenez rassemblait de nombreux éléments déjà évoqués par les protagonistes de l’affaire, mais passés sous silence au profit d’un «mythe» Shepard immaculé.
«Sous certains aspects, l’histoire que nous avons embrassée était nécessaire pour l’histoire des droits des gays: cela a galvanisé une génératioon de jeunes LGBT, résume Aaron Hicklin dans le magazine gay «The Advocate». [...] Qu’il s’agisse d’un crime de haine, d’un crime lié à la drogue, ou d’une combinaison des deux, il est difficile de se débarrasser de l’idée que la haine de soi et la culture macho, qui ont poussé McKinney à se détester lui-même et à détester ce que Shepard avait appris à accepter, faisaient partie des facteurs qui ont mené à l’assassinat.»
A peine le show 2013 digéré, voici déjà les candidats au concours Eurovision 2014… et les premières polémiques qui vont avec. Ainsi la télé publique autrichienne, l’ORF, a-t-elle décidé d’envoyer à Copenhague une certaine Conchita Wurst («Conchita Saucisse»), un performeur travesti à la longue chevelure noire et à la barbe fournie. Thomas Neuwirth, de son vrai nom, avait raté de peu la sélection en 2012 et 2013. L’an dernier, le groupe autrichien Trackshittaz avait fini dernier de sa demi-finale. Cette fois, l’ORF a désigné d’office Conchita Wurst, en faisant l’économie d’un show de présélection, sacrifié sur l’autel des restrictions budgétaires.
Depuis, un «shitstorm» («tempête de merde») a éclaté sur les réseaux sociaux de nos voisins, relève le site LGBT allemand Queer.de. Une page Facebook anti-Wurst a rassemblé en quelques jours 32’000 mécontents – deux fois plus que la page de l’artiste. «Personne ne veut que l’Autriche soit représentée par une transsexuelle», peut-on y lire, tout comme des vitupérations contre l’invasion de «pédés» dans les médias et des prophéties sur une prochaine légalisation de la zoophilie et de la pédophilie.
Pas transphobe
Malgré cela, l’initiateur de la page Facebook «Non à Conchita Wurst à l’Eurovision» se défend de toute démarche homophobe ou transphobe. «Il ne s’agit pas d’un prise de position pour ou contre les travestis, l’orientation sexuelle ou même la qualité musicale», soutient-il, mais plutôt une réaction au fait que l’ORF n’a pas recouru au vote des téléspectateurs. Pendant ce temps, Conchita, reste résolument zen: «Mes chéris, n’y a-t-il pas d’autres choses dans lesquelles dépenser une telle énergie? Et en l’occurrence pour les gens qui sont discriminées quotidiennement et non pas contre eux.»
Lors de notre voyage en Floride, dont vous pouvez lire les différentes étapes ici, nous avons décidé de remonter jusqu'à Savannah en Géorgie. Je me souvenais du film Minuit dans le jardin du bien et du mal que javais adoré et je souhaitais voir si le film retranscrivait bien l'atmosphère de la ville. J'ai vraiment aimé cette ville aux maisons si particulières. Je conseille simplement de se promener dans le quartier historique et de flâner pour observer les différentes demeures.
Certaines sont visitables mais uniquement par des visites guidées comme d'ailleurs la maison de Mercer. Savannah est vraiment la ville de la mousse espagnole, vous en voyez partout, y compris et surtout au cimetière au centre de la ville ce qui lui confère un atmosphère très particulière.
A quelques kilomètres de Savannah, vous pourrez visiter la plantation Wormsloe qui a été construite par Noble Jones date du XVIIIeme siècle ; il n'en reste pas grand chose mais le site est très plaisant en particulier Oak avenue.
Il peut sembler que je n'ai pas aimé cette ville car j'en dis peu de choses mais, au contraire, j'ai été totalement subjuguée et cela me semble une étape incontournable pour qui va au Sud des Etats-Unis.
ps ; vous constatez la présence d'un lien amazon dans le texte. Il s'agit d'un programme d'affiliation. Si vous achetez quelque chose en ayant cliqué sur un lien, je touche un pourcentage sur la vente. (4% si j'ai bien tout suivi ?).
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While I’ve always been a bit frustrated with Brooklyn-based porn photographer Ellen Stagg‘s technical implementations and marketing approaches, I’ve nonetheless remained a huge fan of her work since as far back as 2010. Stagg has a talent like no other, and her photosets of fetish models, porn performers and erotic models of all kinds are among the sexiest and smartest in the genre. If you doubt me, or just want to ogle superhot women photographed by a skilled pro, check out Stagg’s blog and her art website (she has a Tumblr too, but it’s censored, and you can find the uncensored versions of many of the same photos on her blog).
Ms. Stagg also has a paysite, and while I’ve never seen the inside, I’m guessing it’s got the gorgeous women in her photos in more detail, and probably going much further with their erotic displays than the blog teasers that Stagg provides. In all, the models that Stagg features in her work represent the exact kind of diverse sexiness I desperately wish I could find more of in porn and erotica – and that’s saying a lot.
But, here’s the point of this post: Ellen Stagg has announced she’s doing pre-sales on a 2014 cosplay calendar she shot with burlesque troupe, Wasabassco. The calendar’s release date is Friday, Oct 4th, though try as I might, I can’t find a single photo from the calendar to show you what the contents might be like – I have no clear idea what’s in this thing, if it’s softcore-only, if it’s worth buying for cosplay fans, etc.
Update 9/14: Ellen Stagg commented on this post and left a link to this video, which reveals some pretty sexy stuff for the cosplay calendar! Yay! Check it out:
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So I was hard pressed to do a post about it with no content to show you – until I caught something over on Stagg’s Facebook page. The first 100 pre-sales for The Wasabassco 2014 Cosplay Calendar get a free 6-month membership to her paysite StaggStreet.com. The calendar is $25; if you joined StaggStreet at the $38.00/90 days deal, six months would cost $76. I’d probably contact Stagg before you buy a calendar though, just to make sure you’re within the first 100 pre-sales.
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