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I hope this clip of Christopher Walken in “Pennies From Heaven” makes your Monday morning a little spicier, smilier :D
L’humiliation très présente dans les relations BDSM se vit au travers de nombreuses pratiques que je ne pourrais pas détailler de façon exhaustive, celles-ci sont cérébrales, personnelles et tellement complexes. C’est une recherche de plaisir qui permet selon moi de mieux se connaître et qui rappelle à la soumise sa condition, sa place aux pieds ...
Cet article L’humiliation est apparu en premier sur Mlle-blog de Céline Messine.
«Cela aide de manière relativement plaisante à mettre fin à une situation désagréable», a expliqué Jim Gaylord, 76 ans, à The News Tribune. En 1972, cet enseignant en sciences sociales a été licencié par le Conseil du lycée de Tacoma car il était homosexuel.
Mea culpa
Mieux vaut (très) tard que jamais. 42 ans après, celui qui s’est reconverti en bibliothécaire a eu les honneurs du nouveau président du Conseil de l’établissement. Dimanche, Kurt Miller a présenté ses excuses au professeur limogé.
«C’est équitable et juste pour le district de publiquement admettre que les mesures prises en 1972 étaient fondées par les préjugés et la peur irrationnelle», a expliqué Kurt Miller devant 200 personnes dont Jim Gaylord lors d’un gala de charité pour une association de jeunes LGBT.
Outing forcé
Tout a commencé lorsqu’un adolescent gay du lycée, a tenté de se suicider. C’était en 1972. Lors de l’enquête, la police a appris que le jeune homme avait demandé des conseils à Jim Gaylord au sujet de son orientation sexuelle. L’école a alors questionné le professeur. Ne voulant pas mentir sur sa sexualité, il s’est outé devant le Conseil.
Et il a été viré sur le champ. Il a saisi la justice pour retrouver son poste. Mais la Cour Suprême de l’Etat de Washington a statué que l’établissement pouvait virer le malheureux enseignant si sa capacité à enseigner était compromise. La justice a établi que oui, car une pétition signée par des étudiants et des parents mettaient en cause son professionnalisme. Il a été débouté, même par la Cour Suprême des Etats-Unis.
Sourde justice
Mais il y a un hic. Cette pétition était sortie après son outing forcé. Sauf que la justice américaine ne voulait pas l’entendre. Fin de l’histoire. Jim Gaylord n’a jamais pu récupérer son travail après douze ans de services.
L’homme s’est reconverti en bibliothécaire. Il est resté dans la ville de Tacoma, où il avait occupé son poste d’enseignant. Jim Gaylord a résumé cette époque en un seule mot: «L’enfer.» Aujourd’hui, même si le mal est fait, il est peut-être encore possible de tourner la page.
(via Gay Star News)
Fétichiste et collectionneur de chaussures de femmes jusqu’à presque pratiquer le sharking, c’est-à-dire le vol directement sur la personne tout en filmant la scène, un homme de 23 ans a été interpellé, mercredi 9 juillet 2014 à 2 heures du matin à La Rochelle, par les policiers.
L’individu, non cagoulé, venait, avenue Jean-Guiton (La Rochelle), de s’en prendre à une jeune femme qui circulait à vélo. Après l’avoir bousculée et fait chuter, il s’est emparé de l’une de ses chaussures et a pris la fuite.
La victime, non blessée, a alerté rapidement le commissariat. Les policiers n’ont pas tardé à interpeller un suspect. Conduit au commissariat, l’homme, domicilié dans l’agglomération rochelaise, marié et père d’un enfant, intégré socialement, a reconnu les faits.
Il a aussi indiqué aux policiers être l’auteur d’autres faits de même nature, à La Rochelle et à La Jarrie. Dans cette dernière commune, fin 2010-début 2011, plusieurs vols de bottes de collégiennes avaient alimenté une psychose. La gendarmerie, malgré le dispositif de surveillance mis en place, n’avait pas pu se saisir de l’auteur.
A ce stade de l’enquête de la police rochelaise, rien n’indique cependant que l’interpellé, qui répondra de son acte en octobre devant la justice sous réserve des conclusions de l’expertise psychiatrique, est l’auteur d’autres faits ou s’il se construit un personnage. S’il comparaît, ce sera pour tentative de vol avec violence volontaire.
Par contre, sa passion immodérée pour les chaussures est attestée. L’exploitation de son téléphone portable, non utilisé pour filmer l’agression et le vol de l’avenue Guiton, contenait une gamme de photographies de chaussures et escarpins à faire pâlir un chausseur.
C’est le grand chambardement du côté de Neuchâtel. L’association Happy Gays, créée en 2005, est bien décidée à partir sur de nouvelle base avec une refonte complète. Au programme: changement de nom, de logo, de statuts et de types d’activités. «Nous désirons faire de cette association un espace d’échange vivant et ouvert à toute personne sans distinction d’âge, d’attirance sexuelle ou de genre, précise Julie, nouvelle présidente de l’association. Nous souhaitons réellement créer une association LGBTIQ, et non pas seulement liée à l’homosexualité. Nous avons repris les bonnes idées, comme les «jeudredis», moments de réunions autour d’un verre, mais en développant le contexte. Pour réduire la fracture entre le haut et le bas du canton, nous nous retrouvons chaque premier jeudi du mois à Neuchâtel et chaque troisième jeudi à La Chaux-de-Fonds.» Ces soirées se veulent détendues et conviviales, un véritable moment de partage.
Engagés
Mais la détente n’est pas le seul objectif des Neuchâtelois ; chaque deuxième jeudi du mois est consacré à une soirée plus engagée. Des sorties mensuelles sont régulièrement prévues. Entre autres: une discussion autour du mariage et de l’initiative PDC ou du militantisme à la Place Pury, à Neuchâtel. Le 12 juin, Happy Gays a accueilli une conférence sur la transidentité animée par Niels Rebetez, de Transgender Network.
A côté de ses activités hebdomadaires, l’actuelle Happy Gays espère bien développer également un pôle de soutien pour les personnes LGBT, en reprenant le modèle de permanence internet ou téléphonique développé il y a quelques années. Afin de mieux soutenir les personnes LGBT, elle prépare également un listing des médecins LGBT-friendly, généralistes comme spécialistes, à l’échelle du canton. Que de beaux projets!
» Plus d’infos sur le site provisoire: www.happygays.net