La première fois que j'ai entendu "Une sorcière comme les autres", j'ai été foudroyée. Je roulais sur la route de l'Église à Ste-Foy. Submergée par l'émotion, je me suis garée pour écouter la suite.
34713 éléments (3171 non lus) dans 75 canaux
La première fois que j'ai entendu "Une sorcière comme les autres", j'ai été foudroyée. Je roulais sur la route de l'Église à Ste-Foy. Submergée par l'émotion, je me suis garée pour écouter la suite.
J’avais pourtant dit non. Plusieurs fois. Quand après l’heure des derniers métros il m’a demandé si je voulais dormir dans son lit ou sur le matelas de l’atelier j’ai dit l’atelier, j’avais été claire. Je lui ai dit que j’avais besoin de me recentrer en étant seule. L’abus ?… Il m’a proposé de regarder le…
L’article Agression sexuelle, l’abus ?, le déni – partie 2 est apparu en premier sur NouveauxPlaisirs.fr.
On tient le bon bout ! Je ne vous dis pas lequel, coincée entre emballage compulsif de paquets bariolés, restes de raclettes infinis (il reste des patates alors on rachète du fromage, logique) ou espoir éteint de la réouverture des boîtes de nuit, c’est au choix. Loin de moi l’idée de vous imposer le velours rouge et les froufrous blancs des costumes de mère Noël sexy. Ce dimanche, on se détend en attendant le foie gras et les petits fours.
J’ai toujours admiré la souplesse et l’endurance des performers dans leurs clips, pas de genoux qui craquent, pas de grimace de douleur. Sur le visage de Kate Kuray il n’y a que du plaisir, elle se mord les lèvres, ses yeux louchent et sa position sportive ne l’empêche en rien de profiter.
On devrait vouer un véritable culte au cul de Cam Damage. Il faut le reconnaitre, sa chute de reins et le bombé de ses fesses sont admirables. Ten Against, sacré veinard de son état, en profite pour palper ce don divin, son geste tout en rondeur nous laisse pensif·ves, rêveur·ses…
Pure Taboo nous offre une scène dans leur jus, avec ces sourcils froncés et son air naïf, Lily Radler profite d’un Dean Van Damme qui s’affaire à la mettre à l’aise. Les teints sont pâlichons, la lumière est grise, ça fait froid dans le dos et l’excitation coupable apparaît rapidement devant ce spectacle.
C’est pile la saison où l’envie de trainer sous la couette devient irrépressible. Grâce à Pretty Boy Steele, on a de la compagnie sous la couette, et quelle compagnie ! Tout en douceur, cette scène en solo est un éloge de la paresse matinale dont on se délecte encore et encore et encore…
Toujours dans un trip hivernal je suis en quête des chaussettes hautes parfaites. On approche de la perfection avec Daniel Wilson et sa compagne pour ce gif qui frôle joliment le foot fetish, dans des chaussettes délicieusement sportives qui encadrent une main bien pleine.
Image en une : Lily Radler en route pour les gifs