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Les mutilations sexuelles féminines sont un phénomène global. Le mouvement pour les combattre doit l’être aussi. D’après Equality Now.
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C’est une découverte qui pourrait avoir un véritable impact sur la recherche autour de l’endométriose. Des chercheuses et chercheurs de plusieurs universités ont identifié le gène à l’origine de cette maladie chronique qui impacte une femme sur dix et a de graves conséquences sur la santé mais aussi sur la vie sociale. Des équipes issues […]
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« Je tiens tout d’abord à vous remercier d’avoir élargi ma vision de la sexualité. J’aimerais connaître l’explication d’un phénomène qui survient depuis que je connais mon mari (mon premier et unique partenaire sexuel masculin). Il m’arrive d’avoir des orgasmes pendant mon sommeil. Ils sont à chaque fois extrêmement puissants et satisfaisants (plus que pendant un rapport ou une masturbation). Je les adore. Si je savais comment les déclencher, je le ferais avec plaisir. La plupart du temps, ils sont dus à un rêve plus ou moins érotique (pas forcément un super fantasme), mais ils surviennent aussi quand je rêve d’une situation stressante (par exemple, je cours pour ne pas rater le train). Il arrive (rarement) qu’un orgasme se déclenche tout seul, la plupart du temps, il suffit que je touche à peine mon sexe pour qu’une « bombe explose ». Le matin, je m’en souviens très vaguement. Cette situation a débuté alors que mon mari et moi faisions nos études dans des villes éloignées et que nous nous voyions à peine une ou deux fois par an. Depuis que nous sommes ensemble (presque sept ans), ces orgasmes nocturnes sont réapparus d’abord pendant ma grossesse (mon époux avait peur de me faire l’amour pendant les derniers mois), ou à des périodes où l’on ne pouvait pas trop faire l’amour. Néanmoins, il arrive aussi que j’éprouve ces orgasmes alors que nous ne sommes pas dans une période d’abstinence sexuelle. Cela dit, je ne suis pas tout à fait satisfaite de ma vie érotique avec mon conjoint. J’ai l’impression d’être d’abord mère, épouse, et enfin, femme. J’aimerais avoir plus de câlins, moins de « baise ». Les hommes ne le comprennent pas. »
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Quand le couple bat de l’aile, il est parfois difficile d’encaisser les reproches qui nous sont adressés. Lorsque la rupture retentit, un sentiment douloureux prend le dessus et occupe nos pensées. Transformés en véritables zombies dépressifs, on traine son corps et notre tête est persuadée que cette histoire peut et mérite d’être sauvée. Alexandre Chombeau, cocréateur du site jerecuperemonex.com livre les 3 étapes indispensables à respecter pour mettre toutes les chances de son côté. Après avoir vider tous les stocks de mouchoirs, il est temps de se ressaisir et de passer à l’action !
Etape 1 : le silence radio« Après une rupture, on recommande toujours une période de silence total, c’est-à-dire pas de SMS, de mail, de sortie commune etc., sur une durée d’environ 3 semaines. » explique notre expert des relations amoureuses. Cette période permet à l’ex en question de mesurer l’ampleur du manque et le poids de sa décision. « Parfois, au bout de deux ou trois ans de vie de couple, on ne sait plus ce que c’est d’être seul. Le silence permet de créer une véritable prise de conscience. »
Attention à ne pas commettre « d’interdits » comme du harcèlement ou du chantage affectif (« tu me manques », « je ne peux pas vivre sans toi ») ou pire encore, les menaces de suicide. Aussi extrême soit-il, certains ont la menace du suicide facile. Si ce silence n’est pas respecté d’emblée, la période se rallonge jusqu’à ce qu’elle soit efficace. Elle...Lire la suite sur Union
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Un épisode sponsorisé par l’Agence de la biomédecine. Pour en savoir plus sur le don de sperme, je vous invite à aller voir le site www.dondespermatozoides.fr et le compte @jedonnemesspermatozoides sur Instagram
Cette semaine, je reçois Benoît, qui est papa de deux enfants, et dont la femme Isabelle a reçu un don de sperme pour concevoir Mahaut et Marceau il y a 12 et 8 ans. Benoît nous offre une magnifique vulnérabilité dans cet épisode, de son envie d’enfants qui est arrivée dès le plus jeune âge, jusqu’à la découverte de sa stérilité un an après qu’ils aient décidé d’avoir des enfants avec Isabelle.
Il raconte le choc de cette annonce, les émotions que ça a généré chez lui, et dans l’entourage de leur couple, et comment, il a reconstruit à travers des lectures une autre conception de la filiation, qui les a amenés à opter pour le don de sperme. Il détaille aussi le parcours qui les a amenés vers une PMA, la découverte de sa fille, puis quelques années plus tard, l’envie d’avoir un deuxième enfant, et un parcours un peu différent. Sans oublier la grande question : est-ce que ses enfants sont au courant de la façon dont ils ont été conçus ?
Benoît fait preuve d’une grande transparence et je crois que son témoignage est très précieux. Vraiment un très très grand merci à Benoît pour son accueil, je mesure la chance que j’ai de pouvoir vivre de mes podcasts, et d’avoir la possibilité dans le même temps de rencontrer un mec comme Benoît, qui est venu me chercher à l’aéroport, qui m’a préparé à manger après l’interview, vraiment une super rencontre et j’espère que vous apprécierez notre discussion.
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Christian Bouchet, éditeur et essayiste proche du Rassemblement national, sera jugé ce mardi 14 septembre 2021 à 13h30 devant 17ème chambre du Tribunal judiciaire de Paris. Il est poursuivi pour un tweet homophobe de septembre 2018 dans lequel il visait Ian Brossat, adjoint à la maire de Paris en charge du logement, et son mari. …
L’article Affaire Ian Brossat : un militant d’extrême droite jugé pour son tweet homophobe est apparu en premier sur Association STOP HOMOPHOBIE | Information - Prévention - Aide aux victimes.
Il est 22h30, je suis en ligne depuis une petite demi-heure, et je vois s’afficher dans mon chat, pour la 3e fois de la soirée : « Tu squirt ?« , lancé par un viewer.
Je ne sais pas si vous l’aviez remarqué, mais c’est une demande très fréquente dans le monde des shows webcam. Personnellement, avant de commencer à en faire, je n’avais même jamais entendu ce mot… vous non plus ? Pas d’inquiétude, je vais tout vous expliquer. « Squirter » vient en fait du verbe anglais « to squirt« , francisé pour l’occasion. C’est, si vous n’êtes pas anglophone, l’action de « gicler » ou la fameuse éjaculation féminine. J’ai essayé de comprendre l’engouement pour cette pratique dans le monde de la webcam.
Squirt VS orgasmeTout d’abord, il faut se rappeler la très large marjorité des modèles webcam sont des femmes cis seules en cam. La finalité d’un show cam est souvent l’orgasme, et un orgasme féminin, ce n’est pas aussi “visuel” qu’un orgasme masculin. Quelques contractions de périnée, des tremblements de cuisses, des gémissements, et c’est plié, merci bonsoir. Alors, même si c’est bien sûr particulièrement agréable à voir, ce n’est pas aussi impressionnant qu’un cumshot qui en met partout ! On rappelle au passage que le moment de l’orgasme masculin dans un porno est appelé le « money shot« , le plan qui rapporte. Celui sans lequel la plupart des spectateurs auront l’impression que le film n’est pas fini, ou qu’ils ont été un peu floués quelque part. Du coup, on peut supposer qu’une belle éjac féminine remplace élégamment le cumshot manquant.
L’amour du squirt en est à un tel point dans ce monde que, au gré de conversation avec des amies modèles, il nous arrive de nous donner des conseils pour arriver à squirter, comme si c’était un Saint-Graal à atteindre ! Moi-même d’ailleurs, en découvrant la demande autour de cette pratique – pour certains, c’est même un passage obligé, sans squirt, adios les tokens – je me suis renseignée et me suis entraînée telle une athlète du cul pour y arriver. Cela me semblait faire partie de starter kit de la camgirl, et j’avais l’impression qu’il manquait quelque chose à ma vie ! Rien que ça.
La vidéo squirt (18 min) est en train de charger…
— foxy_c (18+) ETSY Shop open (@foxyy_cam) June 24, 2020
Je vous montre juste le résultat…
Viens vite la mater : https://t.co/LsxO6Cede0 pic.twitter.com/2JXg3Oj7eg
L’autre aspect qui fait la demande de cette pratique, à mon avis, tourne autour d’une autre thématique : la recherche de vérité. En effet, une des choses que les viewers me rapportent aimer dans les shows webcam, c’est le côté amateur et « vrai » (par opposition aux actrices qui tournent pour des prod). En effet, comme la camgirl décide elle-même de ce qu’elle fait ou pas, on peut s’attendre à ce qu’elle prenne du plaisir à ce qu’elle fait ! Et c’est d’ailleurs tout l’intérêt du principe : une plus grosse proximité, ou sincérité. C’est aussi pour ça que sur les sites de tubes, la catégorie « amateur » est particulièrement appréciée : en s’affranchissant de côté « professionnel », on suppose que les gens prennent vraiment du plaisir.
Pour en revenir au squirt, contrairement à un orgasme sans éjaculation, celui-ci ne semble pas possible à simuler ! On peut donc être assez convaincu que la camgirl a réellement eu un orgasme grâce à vos tokens. Et c’est probablement vrai ! Mais malheureusement, si un orgasme « normal » est relativement facile à simuler, eh bien… un squirt aussi, en fait. Je vous laisse imaginer comment, je suis sûre que vous avez votre petite idée. Désolée de détruire vos espoirs de la sorte, mais j’aimerai aussi rajouter que… un squirt ne veut pas forcément dire orgasme. Quand je squirt, c’est parce que j’ai suivi le mode d’emploi, que je connais maintenant, et même si c’est agréable, ça ne ressemble en rien à un orgasme ! Cela dépend des modèles bien sûr, mais n’allez pas vous imaginer nécessairement un plaisir inouï et incontrôlable. En plus après il faut changer les draps, et il y a toujours la hantise d’asperger le clavier ou la webcam…
Simuler ou ne pas simuler, telle est la questionNous avions déjà parlé du fait de surjouer son plaisir dans notre précédent article sur le Lush. Aujourd’hui, j’ai voulu m’interroger un peu plus sur ce que cherchent exactement les viewers… j’ai lancé un petit sondage sur mon compte Twitter pour demander à mes followers si, quand ils regardaient un show webcam, ils cherchaient :
– Du vrai plaisir, pas surjoué, quitte à ce que la modèle n’arrive finalement pas à jouir (eh oui ça arrive, c’est très impressionnant et beaucoup de pression, de devoir jouir devant des centaines de personnes, en réalité)
– Un spectacle, des cris, peu importe si c’est simulé tant que le viewer s’éclate en regardant
Pour écrire un articles, j'aimerai savoir: pdt un show cam, vous preferez :
— foxy_c (18+) ETSY Shop open (@foxyy_cam) June 15, 2021
1= un vrai orgasme/squirt, quitte à ce que la personne n'y arrive pas, mais qu'elle ne surjoue pas
2= du spectacle, avec cris et humidité, peu importe si c'est simulé, tant que ça donne envie
Et bien plus de 90% des répondants qui ont voté pour le « vrai » ! Je ne m’attendais vraiment pas à une réponse aussi tranchée, car il m’arrive souvent d’avoir des tipeurs me demandant de crier plus fort, d’en rajouter, de gigoter plus, bref, d’en faire des tonnes pour montrer mon (ou pas) plaisir. Mais il semble donc qu’ils fassent partie d’une minorité.
Je comprends tout à fait que l’on cherche du vrai plaisir dans un show webcam. Seulement, même si on a tendance à qualifier les camgirl d' »amateures », on peut s’interroger sur ce terme : peut-on vraiment l’utiliser pour des filles dont c’est le métier ? Qu’y a t il encore d’amateur là dedans ? Certes, durant les shows webcam, les modèles font en général tout pour que vous vous sentiez comme à la maison, cosy, avec une voisine que vous aimeriez bien pécho… N’oubliez pas que tout est codifié. Ces shows restent, à mon sens, un spectacle, une prestation. Quand je suis en show, je suis avant tout là pour VOUS faire passer un bon moment, donc je vais faire de mon mieux pour y arriver. Eh oui ! Par exemple, sucer un gode en théorie ne me fait pas pousser de petits cris de délectation. Pourtant, je le fais, car je sais que vous aimez vous imaginer à la place du bout de plastique ! Et, parfois, je fais certaines choses que je ne pratique pas forcément dans ma vie privée, car je trouve qu’elles rendent bien à l’écran. Cela n’empêche absolument pas que le plaisir ressenti soit réel, attention ! Simplement, le plaisir s’exprime d’un tas de manières, pas forcément toujours très visuelles. Et pour que les viewers se rendent bien compte que l’on prend son pied, on peut être amenée à en rajouter un peu niveau vocalises ou attitude. C’est un peu comme avec un partenaire finalement, même si on est d’un naturel assez peu bavard, on va peut être avoir envie de lui faire comprendre que là, c’est vraiment bon, pour l’exciter et lui montrer notre appréciation.
Mais du coup, si on me demande de squirter, alors là on perd complètement le côté spontané : je sais qu’il va falloir que je boive un litre d’eau, et utilise un jouet particulier, dans une position particulière, pour que la magie se produise. J’ai plus l’impression de réaliser une prestation que de me faire réellement plaisir, ce qui est un peu contre productif, si on considère que les gens veulent voir un squirt pour ne pas douter de la véracité du plaisir…
Un show, c’est, pour moi, un savant mélange entre contrôle et lâcher-prise : je sais quelles poses prendre pour me mettre en valeur, comment parler, et quoi faire, comment installer une ambiance chaleureuse. Mais j’adore aussi me laisser porter aux moments ou je prends du plaisir, et un peu moins être dans le côté “spectacle”. C’est pourquoi, je trouve qu’en essayant de codifier le plaisir féminin pour le rendre plus expansif, grâce à des squirts, un cri au bon moment et des litres de cyprine, on perd peut-être un peu l’esprit de la cam : prendre son pied ensemble en faisant ce qu’on aime.