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Pour tenter d'expliquer le phénomène de l'islamophobie, de savants auteurs occidentaux, se considérant comme des spécialistes de l'islam, insistent sur l'histoire des croisades et des guerres coloniales.
- Laïcité, démocratie, droits, égalité des sexes, intégrismeLes marques Fleshlight et Kiiroo viennent à nouveau de s’associer pour sortir un masturbateur pour homme MASSIF. Après le Onyx, c’est au tour du Launch de faire son apparition. Cette énorme machine futuriste permet à votre antique Fleshlight de s’articuler autour de votre engin grâce à la puissance de la mécanique.
S’il peut s’utiliser en mode solo, il est avant tout conçu pour se connecter en Bluetooth à tout un tas de programmes interactifs en partenariat avec la marque hollandaise : vidéos, réalité virtuelle, cams et jeux vidéo qui vous permettront de vous approcher toujours plus près de « vraies » sensations sexuelles tout en étant devant votre ordi comme un bon nerd. Le sextoy s’active en fonction de ce qui défile à l’écran (jusqu’à 180 mouvements par minute !) et adapte sa course pour des sensations plus ou moins profondes. En gros, c’est une sorte d’assistant à fap, vous n’avez qu’à le tenir entre vos mains et vous accrocher au siège.
La largeur du Launch est vraiment très impressionnante, à vue de nez le double d’un Fleshlight classique, son prix aussi (comptez environ 188€ sur le site de Fleshlight) mais le résultat semble très prometteur, surtout si on est déjà équipé de tout l’arsenal du fappeur du futur avec un Stamina STU, un casque de VR et la plateforme Feelme qui centralise tout le contenu compatible avec l’objet.
Dans l’optique de partager avec vous ces sensations nouvelles, je vais tenter d’en gratter un et vous faire un retour rapidement. Et pourquoi ne pas essayer de le contrôler par la pensée ? Ou bien de mettre un pied dans le futur et ne plus jamais revenir ? Ou peut-être finir comme ce brave homme proche de l’infarctus. J’ai hâte.
Vous allez rigoler, mais je vais me plaindre de mon taf. Quel culot tout de même d’écrire dans cette rubrique les lamentations d’un pauvre fappeur qui passe son temps à mater des timelines d’actrices pornos pour en sélectionner la substantifique moelle. Quel culot ! Il existe quand même plus compliqué que lâcher des likes sur des tweets.
Je n’exprime pas vraiment de plaintes en vérité, mais plutôt une difficulté que je découvre au fur et à mesure de mon expérience de curateur sur les réseaux sociaux. Passons de l’autre côté du rideau et levons le voile ensemble sur les petits secrets et les vices cachés de ce boulot peu commun.
Je dispose de plusieurs comptes pour ne rien rater des tweets du monde fabuleux du porno. En termes de quantité, je dépasse aisément les 1 000 comptes suivis. Ça en fait des paires de nichons et des doigts qui entrouvrent les fentes humides du désir. Vous comprenez bien qu’il n’est pas possible de tout voir. Quand bien même je passerai mes journées à ça, la plupart des actrices, acteurs et producteurs habitent aux USA et s’expriment donc au milieu de la nuit pour le Français que je suis. Tâche compliquée.
Twitter a eu la bonne idée dernièrement de sélectionner, avec un algorithme, les tweets manqués qui pourraient nous plaire. Un sacré coup de pouce pour mon boulot. C’est vraiment super, car les tweets intéressants remontent le plus souvent dans cette section. Grâce à ça, je passe rarement à côté d’un buzz ou d’une histoire bizarre qui a fait réagir du monde.
Cependant, cette méthode de curation n’est pas entièrement satisfaisante. Pas de panacée pour le fappos. Le phénomène des bulles filtrantes court jusque dans le porn et j’en suis victime. À force de liker les tweets de Janice Griffith (comme la semaine dernière), je me retrouve avec un maximum de ses pensées sur la vie. Certes, elles sont intéressantes, mais j’ai besoin d’explorer d’autres actrices et acteurs. Alors si Twitter me sort toujours les mêmes ou des proches du même cercle, je ne suis pas rendu. Je ne peux pas me satisfaire de Janice et Lance Hart.
Voilà, c’était ma petite vie de curateur. Je tenais à vous expliquer ça au cas où vous trouviez que trop de gens revenaient en permanence. Sachez que je fais mon possible pour varier les personnes mises ici en avant et vous donner le plus large éventail de ce qui se fait dans le X et la cam actuellement.
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Les Transgender Erotica Awards ont eu lieu la semaine dernière et il y a une tripotée de gagnants. Sans doute un coup de ma bulle filtrante perso, mais j’ai surtout vu Chanel Santini sortir du lot. Elle a gagné la « Best New Face ».
Best New Face ❤️🤗 pic.twitter.com/hy28dfJZfD
— Chanel (@CCSantini) March 7, 2017
Aubrey Kate est la daronne des TS, elle gagne tout apparemment et ne manque pas de nous le rappeler.
— Aubrey Kate (@AUBREYKATEXXX) March 6, 2017
Il y avait vraiment du beau monde. C’est moi ou il y a eu une demande en mariage ?
Highlights from last night's @TGEroticaAwards at @AvalonHollywood! pic.twitter.com/ybShyzVg6k
— TS Jelena Vermilion✨ (@IsisIntrepid) March 5, 2017
Some TEA show winners highlights! @AUBREYKATEXXX @NATASSIADREAMSX @kylieluvsyouuu @HoneyFoXXX! credit: @ReelSeduction @AVNMediaNetwork pic.twitter.com/4oA1gh56CW
— The TEAs (@TGEroticaAwards) March 9, 2017
So many great memories from #TEA2017 @TGEroticaAwards here one with @CCSantini Great girl, great vibes!! #ART pic.twitter.com/LlrE7bzd2D
— TS Tatiana Summer ♚ (@TatianaSummer) March 8, 2017
Three gorgeous young ladies: Jane Marie (I call her Ms. Kitty), @CCSantini, & @TSYasmin pic.twitter.com/t03WBjyWLw
— Otola Photography (@OtolaPhoto) March 7, 2017
Il semble que Chelsea Poe ait un avis divergent sur les cérémonies.
I really feel like there needs to be less competition in porn industry events rather its film fests or awards shows.
— Chelsea Poe (@ChelseaPoe666) March 8, 2017
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Il est arrivé un truc pas banal à Lance Hart. Pour gérer ses réseaux sociaux, il fait appel à des bots. Malheureusement, ils se sont mis à liker de la pédopornographie. Ce qui est plutôt intolérable en général et en particulier pour Lance qui défend un porno éthique et responsable.
I will never use a bot again. Sorry for the confusion and drama this caused. I hope this clears this up. pic.twitter.com/qhwGKScALO
— Lance Hart (@lancehartfetish) March 7, 2017
Sans transition, Lance, le seul et l’unique, lance un concours un peu bizarre avec pour premier lot : une scène avec lui. La meilleure façon de lui tâter la bite, les fans sont en ébullition.
fuck it. let's just get weird :)https://t.co/lgNGkXrnZN@PervOutPay pic.twitter.com/oRajapzUGK
— Lance Hart (@lancehartfetish) March 7, 2017
Veronica Chaos, la ventriloque du X, parle de sa maladie, mais surtout du fait qu’elle travaille dur pour ne pas que les spectateurs s’en rendent compte. Encore une fois, une leçon d’étiquette à l’intention des malotrus.
Getting frustrated at people saying I don't look sick. I work hard to make sure I don't so I can make $ when I do feel good enough to work.
— Veronica Chaos (@VeronicaChaos) March 8, 2017
Encore un peu d’étiquette pour corriger le comportement des Twittos. Adria Rae nous explique qu’il ne faut pas toujours sexualiser l’image des femmes, même des actrices, même si elles postent de l’explicite sur leur compte. Tout n’est pas matière à fap. Calmez-vous et hydratez-vous !
@adriaraexx I wasn't even trying to show my ass like just because you've seen me naked doesn't mean you have to sexualize everything I do.
— ADRIA RAE ✨ (@adriaraexx) March 8, 2017
Sachez-le, le X rend tolérant ! Eh oui, ça peut vous paraître étonnant, mais c’est vrai.
Being in porn, I've become so understanding and non judgemental
— Emma Hix (@emmahixxx) March 12, 2017
C’est un mouvement naissant, mais qui devrait continuer. La migration des cam models sur de nouvelles plateformes pour vendre leurs contenus. Vu l’immensité des blaireaux masculins qui font chier les filles pour une remarque ou un harcèlement plus prononcé, elles cherchent à se mettre à l’abri des indélicats et font perdre au reste de la communauté les moments sympas partagés à la cam. Un exemple : Sultry Sinns fuit le direct. Elle préfère Snapchat, les plateformes vidéos et OnlyFans. Ce dernier étant un Twitter payant pour contenu explicite. Moins d’agression et plus d’argent, les filles cherchent le calme. Et l’opportunité de nouveaux défis avec Youtube.
OnlyFans & YouTube have both been a big part in those steps. Live cam has been a massive negative headspace for me for a long time
— BISHHH for YouTube (@sultrysinns) March 12, 2017
so 'offline' work & snapchats is where I'm focusing myself. This has meant a considerable drop in income but that stress is so different
— BISHHH for YouTube (@sultrysinns) March 12, 2017
Et puis, Vex est allé à la Fête du Slip, festival de porno indépendant plutôt qualitatif que notre envoyée spéciale Carmina a couvert avec grâce et sérieux. Si jamais vous n’avez pas suivi ses stories sur Snapchat, l’article ne devrait plus tarder.
MERCI & AU REVOIR @LaFeteduSlip
✖️ pic.twitter.com/mNjyC0u2BE— Vex Ashley (@vextape) March 6, 2017
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Sinon, c’était la journée des droits de la femme. Plusieurs manières de montrer son soutien à la sororité.
Samantha Bentley invite à se soutenir et à prendre conscience de son corps, de son esprit et de son pouvoir en tant que femme.
Happy #InternationalWomensDay embrace your body, your mind and the power you hold as a woman. Lift each other up instead of down. 🦄 pic.twitter.com/cLSzD8xGCD
— Samantha Bentley (@TheBadBentley) March 8, 2017
Jenna J. Fox, elle, salue l’amour que lui portent ses fans féminines, car il est moins facile d’assumer son amour du porno quand on est une femme.
Happy #womensday to all my #ladyfans❤️❤️ pic.twitter.com/QByUYrXmiU
— Jenna Foxx(18+) (@RealJennaFoxx) March 8, 2017
Les cam models font ça à plusieurs. Quoi de mieux que de créer du contenu ce jour-là ?
Happy #InternationalWomensDay ✨ pic.twitter.com/EEliYt3ROK
— ✨Holly Beth✨ (@LittleHollyBeth) March 9, 2017
Et chez les amatrices de strapon, on fête ce jour dignement et dans la bonne humeur.
https://t.co/KrfOqIQfXA @AidenStarr @MaitresseM #LoreleiLee #strapon #gangbang #pegging #femdom pic.twitter.com/5VZ8MwHYCa
— Her Strapon (@herstrapon) March 12, 2017
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La vidéo de la semaine vient de Mocha Puff. Elle est dédiée à Trump et il est visible qu’elle ne le porte pas dans son cœur. Elle nous donne un cours extrait de son twerk anti-Trump qui finit dans les souillures de la pisse et de la merde (sans le caca sur le tweet ci-après). Oui, elle chie littéralement sur une photo du président des États-Unis de l’Amérique.
NEW UPLOAD
FUCK DONALD TRUMP by xMochaPuffx *GRAPHIC*
Putting this fucking asshole in his place, beneath my https://t.co/AFptSq9cos pic.twitter.com/jlbdFrTwzj— Yung QTPI #BLM (@xMochaPuffx) March 10, 2017
Cette audace lui a valu la censure sur Pornhub et ManyVids, qui n’acceptent pas les fèces sur leur plateforme. Mais, Mocha soulève un point de leur CGU. Les insultes raciales sont également interdites et pourtant, les vidéos sur le N-Word ne sont pas supprimées. Deux poids, deux mesures.
Let it be known that @pornhub and @ManyVids both find my poop to be more offensive than white women calling black men nigger pic.twitter.com/UViKS5EXEV
— Yung QTPI #BLM (@xMochaPuffx) March 11, 2017
Manyvids LOVES racist content though!!! THANK YOUO THOSE WHO BOUGHT IT BEFORE IT WAS REMOVED. Y'ALL THE MVP's !! FUCK YOU @ManyVids pic.twitter.com/eXcb8LUEMc
— Yung QTPI #BLM (@xMochaPuffx) March 10, 2017
Évidemment, Janice s’en est mêlée.
hey @ManyVids instead of taking the time to DM me you should just search "the n word" on your own website and remove those videos :) https://t.co/ELWEpFZgLH
— janice hates trump (@thejanicexxx) March 10, 2017
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Si vous n’étiez pas encore fan de Janice Griffith, vous l’êtes maintenant.
I wish @Nick_Offerman was my dad
— janice hates trump (@thejanicexxx) March 6, 2017
Ce truc de modifier le corps des actrices, c’est fou. Même délire avec les effaceurs de tatouages. C’est quoi le problème ?
I really appreciate the companies that DON'T edit my fat pussy lips.
— Elsa Dream Jean (@ElsaJeanxxx) March 6, 2017
On n’y pense pas quand on fappe, mais le métier d’actrice est un vrai métier. Il faut jouer le plaisir, c’est une performance physique en plus. Et pour être au top, il faut pratiquer. Lana Rhoades ne manque aucun entraînement : inspirez, expirez, inspirez, étirez, bloquez. Le gaping nécessite beaucoup de discipline.
Practing gaping… don't watch if you don't like gapes & buttholes lol pic.twitter.com/agmACZYxeY
— Lana Rhoades (@LanaRhoades) March 8, 2017
Mercy West parle de ses idées de scénario. Je suis pas mal intéressé par voir ce que ça donnerait.
I would love to do a Hooters girl humiliation scene. I want to be the new girl that is desperate for the job but has no "Hooters". #UseMe
— Mx. Mercy West (@xXxMercyWestxXx) March 8, 2017
C’est vrai qu’elle est jolie Chloe Couture. Faut que je trouve une chouette vidéo d’elle à mettre sur Le Bon Fap.
You're pretty and I like touching your face @chloecouturexox pic.twitter.com/AIQDM3rcZx
— JennUGH (@jenna_valentine) March 9, 2017
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Rions un peu avec les porn stars !
Les CMs commencent à créer leur propre mème, c’est pas trop tôt.
So you want to be a pornstar… pic.twitter.com/kXeif2ZLZS
— PervCity (@ThePervCity) March 10, 2017
Je veux le même. Ils l’ont au téléshopping ?
Look at this magnificent thing pic.twitter.com/t3lEar2nzn
— Blaze Fyre (@BlazeFyre) March 11, 2017
The next time someone I barely know asks "How's LA" I'm just gonna send them this: pic.twitter.com/Sgf3yyn82s
— Kasey Warner (@doesnteatmeat) March 7, 2017
August Ames peut prendre sa retraite. Elle est dans un mème. Accomplissement indépassable de toute une vie.
Yay I made something pic.twitter.com/IwEFiaGGSR
— August Ames (@AugustAmesxxx) March 8, 2017
Les résultats sportifs avec Charlotte Sartre. Stade 2 pourrait en prendre de la graine.
Giants 4 – Dodgers 2 pic.twitter.com/ebexiPWYqt
— charlotte sartre (@GothCharlotte) March 8, 2017
Bonne ambi sur les tournages de Madeline.
Wonder what REALLY goes on @HCGBSite? @RileyReyXXX @TommyPistol @DamonDice8 @willhavocxxx @thesmallhands_ @protarzan77 directed this 2 day! pic.twitter.com/ptRIBZJka4
— Madeline Marlowe (@MaitresseM) March 8, 2017
La mélodie des vagues, le rythme des marées. On sentirait presque les embruns sur son visage.
If you put your ear to my @TheOriginalDoc pocket pussy, you can hear the ocean https://t.co/QR2BpElYp8 pic.twitter.com/9bUIo617Gv
— Missy Martinez (@MissyXMartinez) March 11, 2017
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Le saviez-vous, le porno aime beaucoup les chats. Mais les chats aiment-ils le porno ? Sans doute pas, ces créatures n’aiment que les gratouilles et dormir.
なかょしさん( ͡° ͜ʖ ͡°) pic.twitter.com/08HwZtqf58
— Marica Hase xxx まりか (@marica_1029) March 11, 2017
This is the real king of our house. My 15 yr old mane coon cat runs our house all he does is eat, sleep & get high. #thegoodlife #retirement pic.twitter.com/CSm3QkCQbZ
— Frosted™ (@LucasFrostxxx) March 6, 2017
Thought I'd take a break from all my bomb ass pictures to show you my lil kitten
A post shared by Kendra Sunderland (@therealkendrasunderland) on Mar 10, 2017 at 12:52pm PST
Ready for @Wood_Rocket production week. Lots of new Porn Star stuff coming up soon! In the meantime, here's a picture of Road House the cat. pic.twitter.com/5kkSLd8Vw3
— Lee Roy Myers (@leeroymyers) March 10, 2017
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Bien entendu, les Koi2Neuf ne seraient rien sans la partie finale, celle qui m’évite d’écrire une conclusion fine et raffinée.
So @jenna_valentine has perfect skin and will also devour your soul. pic.twitter.com/U1KTiC0E0r
— Nikki Hearts (@NikkiHeartsx) March 6, 2017
Looking for a Pay Pig. Now, who thinks they're worthy? @alexharpermodel pic.twitter.com/EvCsBZyMyA
— AlexHarper (@alexharpermodel) March 6, 2017
how was your day? pic.twitter.com/okCwWxVnsE
— xjalbx (@jalbxxx) March 9, 2017
Playing with a beautiful girl @LunaCorazonA pic.twitter.com/eMwJHuMq9k
— Mary Kalisy (@MaryKalisy) March 7, 2017
I have the most beautiful friends ever @MissAsheGrey @Lula_mfc pic.twitter.com/rb5vXB9Nqv
— ✨Infinite_T✨ (@TheInfinite_T) March 7, 2017
Pony girl play time. @Kinky_Alexandra can ride me any day pic.twitter.com/Febr2uQ48r
— Oh, Margot (@slitsville) March 11, 2017
Does under boob beats side boob ? I say yes. My latest shots of @therealkendrasunderland
A post shared by Greg Lansky (@greglansky) on Mar 8, 2017 at 11:31am PST
Squeezing into clothes pic.twitter.com/AkmJk3csF1
— Ana Foxxx (@AnaFoxxx) March 10, 2017
"Don't worry, baby"
See the full, uncensored prettiness on Patreon now! https://t.co/Y2HpgAW3B3 pic.twitter.com/KpdxxEymt5— Xöe (@Xoetrope) March 8, 2017
buns in the sun. pic.twitter.com/NFW1wWiDtZ
— Riley Reid (@rileyreidx3) March 11, 2017
La très belle Ana, toujours présente, merci les bulles filtrantes.
I took way too long trying to taking photos today. logging on soon! pic.twitter.com/pAGF5yWHJr
— ANA (@anamercury_) March 9, 2017
— Ariel (18+) ANGEL (@Ariela_Angel) March 10, 2017
About last night… @BlackmanFanClub #xtasia pic.twitter.com/TKbRP5q6Jg
— Harmony Reigns 18+ (@XHarmonyReignsX) March 11, 2017
Un calvo ✨ de maridas @elianasilla
A post shared by Susy Gala (@oficialsusygala) on Mar 9, 2017 at 10:23pm PST
Renversante cette Kylie Page. Trop la finesse du jeu de mots, ça ne sent pas du tout que je suis à bout d’inspiration depuis des semaines. Quel artiste ce Saint-Sernin !
follow my new ig! kyliepxrnslut pic.twitter.com/4IiXJXLqSx
— Kylie Page (@KyliePageXXX) March 11, 2017
Image en une : anamercury_
Récemment, Laurence Rossignol déclarait face au père Hervé Grosjean vouloir interdire les sites pornographiques pour (entre autre) protéger les plus jeunes. La question de l’impact négatif de la pornographie sur les jeunes est une inquiétude récurrente pour nos médias. Cette inquiétude véhicule très souvent des interrogations d’ordre moral. Que vont devenir ces millions de jeunes ayant accès massivement à de la pornographie ? Des pervers ? Des agresseurs ? Des déçus de l’amour ? Des garçons obsédés par la taille de leur sexe ? Des filles prêtes à tout pour plaire aux garçons ? Est-ce qu’un∙e jeune fan de porno sera plus instable qu’un∙e jeune fan de James Bond ?
Une chose est sûre, la pornographie est une production culturelle consommée en masse, y compris par les jeunes. Différentes études établissent qu’environ 80% des 14-19 ans ont déjà vu des images pornographiques.
Extrait du documentaire Pornocratie d’Ovidie
Avant d’entrer plus dans le détail, il est nécessaire de poser le cadre de ce qui va suivre. À aucun moment cet article n’a pour but de nier que certaines sociétés de production pornographique – comme d’autres entreprises capitalistes – ont pour objectif premier la rentabilité, faisant fi des conditions de travail en exploitant leurs travailleuses. C’est le cas des sociétés présentées dans le documentaire Pornocratie. Il n’est pas non plus question d’excuser les productions pornographiques véhiculant des représentations problématiques (sexiste, raciste, classiste, transphobe…).
Ensuite, il faut voir ici la pornographie comme un genre de productions multiformes. Il suffit de faire un petit tour sur Le Bon Fap pour se rendre compte que la porno n’est pas un ensemble lisse et hétérogène de films identiques. Et parce que les médias ont tendance à présenter la pornographie de façon binaire et hétéro centré (c’est à dire « pénis dans vagin »), cet article empruntera la même vision.
Et enfin, cet article n’a pas but de nier que la pornographie, comme toute production culturelle, puisse avoir un impact sur ses consommateurs et consommatrices, l’excitation sexuelle est bien la preuve d’effets. Mais il me semble nécessaire d’apporter quelques petites précisions et grosses nuances.
Cela étant dit, penchons-nous sur les « effets néfastes » de la pornographie sur les adolescents.
Recontextualisons la production de pornographiePublicité de Depiltech
Si on considère que la pornographie est sexiste et a un impact, alors il faut considérer que toutes les productions culturelles sont sexistes et ont un impact. Du dernier James Bond aux pubs utilisant le corps des femmes pour vendre des produits qui n’ont rien à voir entrecoupés d’articles expliquant que la fellation (le plaisir de l’homme) est le ciment du couple ou encore comment perdre trois kilos avant l’été. Cela vaut également pour les vêtements, livres, musiques… Et soyons fous, mentionnons également ces hommes accusés d’agressions sexuelles et faisant toujours partie du gouvernement. Vous l’aurez compris, la société est sexiste dans son ensemble. La pornographie – produite dans un système sexiste – offre également des représentations sexistes, mais elle n’est que le reflet de notre société. Il serait en fait très étonnant que la pornographie ne soit pas sexiste, au contraire du reste de la société.
Le fantasme de la soubrette chez Marc Dorcel
Le but est ici de remettre la pornographie dans son élément, c’est-à-dire une société véhiculant déjà des représentations problématiques. Mais le problème dépasse la simple pornographie, le problème est plus grand et concerne l’ensemble de la société.
Pourtant, les médias et notre société ont tendance à présenter les films X comme exclus du système dans lequel ils sont produits. Comme s’ils échappaient aux influences du monde, une sorte de bulle hermétique, un monde déconnecté du nôtre. Enfin pas tout à fait. Hermétique au monde extérieur, la pornographie déverserait ses mauvaises influences dans notre société. Influente dans un sens, hermétique dans l’autre. De plus, ce raisonnement illogique va totalement à l’inverse de la façon dont nous considérons les autres productions culturelles.
Mais est-ce qu’un porno peut nous influencer ?Pour le fun, supposons qu’une production culturelle soit influente mais pas influencée. Je ne parle pas des effets corporels que peuvent produire des images, mais d’impacts psychologiques et comportementaux, de la reproduction des comportements vus dans des films pornographiques. Existe-t-il des théories expliquant qu’un contenu a un effet ? Il y a effectivement une théorie disant que les gens sont directement influencés par le média consommé [Théorie béhavioriste de Watson, 1913, tirée des travaux de Pavlov, 1890]. Mais cette théorie fut contredite et complexifiée [Entre autre par la théorie des effets limités de Katz et Lazarsfeld en 1955] considérant non pas les gens comme passifs et inertes mais bien actifs face aux médias consommés. Si influence il y a, c’est dans une certaine mesure. En définitive, ce débat de l’influence d’un média sur ses consommatrices et consommateurs est vieux de plus de 70 ans et il n’y a à ce jour toujours aucun consensus.
Don Jon de Joseph Gordon-Levitt
Il faut garder à l’esprit que les gens possèdent une grille de lecture avant même de consommer un média. C’est-à-dire qu’au moment où une personne se place devant un film porno, elle a déjà un avis, un point de vue, un sentiment, un ressenti. C’est la raison pour laquelle, par exemple, deux individus devant une même œuvre artistique dans un musée peuvent avoir deux interprétations diamétralement opposées. Cela vaut pour un tableau, une sculpture, un film d’action ou encore un porno. Le spectateur ou la spectatrice consomme et réinterprète le porno armé·e de sa grille de lecture, cette dernière étant façonnée par la société et l’éducation.
Accuser la pornographie de produire des effets néfastes sur ses spectateurs et spectatrices, c’est donc considérer ces dernier∙e∙s comme vierges de toute représentation du monde, sans aucune grille de lecture. Désigner la pornographie comme seule responsable de comportements problématiques, c’est oublier que notre éducation, notre socialisation ont façonné notre vision du monde. C’est oublier que toutes les productions culturelles – de James Bond aux chansons françaises comportent aussi ce que nous reprochons à la pornographie.
Résumons. La pornographie toute seule peut-elle inciter les gens à avoir des comportements sexistes et violents ? La réponse est non. La pornographie, ainsi que l’ensemble de la société violente et sexiste peut-elle inciter les gens à avoir des comportements violents et sexistes ? Oui, mais dans ce cas il n’est pas simplement question de débattre sur la pornographie mais sur l’ensemble des productions culturelles de notre société, ainsi que notre société toute entière.
Qu’en est-il des plus jeunes ?Est-ce qu’on peut considérer de la même façon un adulte et un∙e adolescent∙e, alors que ce∙tte dernièr∙e est en pleine période de préparation et d’apprentissage de la sexualité ? Prennent-ils et elles la pornographie comme source d’information sur la sexualité ?
La pornographie est effectivement considérée comme une façon de découvrir la sexualité, mais ce n’est pas le canal d’information exclusif. L’enquête CSF (Contexte de la Sexualité en France), une grande étude sur la sexualité des français réalisée en 2005-2006, montre que les principaux canaux d’information sont massivement l’école puis la télévision et la radio. Comme le fait remarquer Virginie De Luca Barrusse, Internet n’est pas proposé comme réponse dans ce questionnaire, mais l’accès facilité à Internet aujourd’hui permet de penser qu’il prendrait au moins la même place que les médias télévision et radio. [« Usages d’Internet et représentations de la sexualité chez les jeunes : quels liens ? ». Dans « Éducation à la sexualité, du social à l’intime : l’émergence d’Internet et des réseaux sociaux », La Santé de l’homme, n°418 – mars-avril 2012]
Si la porno permet aux jeunes (entre autres) de répondre à certaines de leurs questions, de fournir une nouvelle source d’informations concernant la sexualité, ce n’est pas une source exclusive, mais bien complémentaire du reste de la société.
Mais s’ils et elles se servent (partiellement) de la pornographie pour faire leur éducation sexuelle, savent-ils et elles vraiment différencier les films de la réalité ? Oui, les jeunes semblent parfaitement savoir que la pornographie n’est pas la représentation du réel. De la même façon qu’ils et elles savent que les comédies romantiques ne sont pas représentatives de la vie réelle. Parce que les productions ont un scénario, des caméras, des projecteurs…
Equipe de tournage d’une production Badoink © Nick Melillo/Badoink
Une enquête belge qui a demandé à 319 adolescent.e.s s’ils et elles étaient d’accord avec « les films pornographiques montrent des relations sexuelles réalistes ». Il en ressort que 60% des consommateurs/trices et 72% des non-consommateurs/trices (garçons et filles confondus) ne sont pas d’accord avec cette affirmation. Ils et elles ne sont que 13% – consommateurs/trices et non-consommateurs/trices confondus – à être d’accord avec cette affirmation. Ce dernier chiffre est particulièrement intéressant puisque consommer (ou pas) de la pornographie ne semble pas entrer en jeu dans leur perception de la pornographie.
C’est peu ou prou ce qu’on retrouve dans l’enquête pornresearch.org : les jeunes semblent conscients des préoccupations dont ils font l’objet, et surtout font preuve de réflexion et d’analyse critique concernant leur consommation pornographique.
La plus grande enquête menée sur les jeunes et Internet a interrogé 25 000 enfants ainsi que leurs parents dans 25 pays entre 2009 et 2011. Il s‘en dégage qu’un quart des enfants a vu des images sexuelles explicites et que 4% des interrogé∙e∙s ont été bouleversé∙e∙s par ces images. Les enfants les plus vulnérables psychologiquement semblent être les plus choqués par les images pornographiques, ce qui démontre l’importance d’une éducation aux images et à la sexualité.
Que reproche-t-on à la pornographie ?D’ailleurs, si l’on applique ce raisonnement de l’effet direct à une autre production culturelle, l’on peut se rendre compte de l’irrationalité de la chose. Si un individu a pour passion d’assister à des tragédies grecques, et si cet individu venait à tuer, mettrait-on la faute sur les tragédies grecques ? Cela paraîtrait insensé que de désigner pour unique responsable un divertissement. Quand bien même la consommation de cette production culturelle serait quotidienne, on pointerait certainement d’autres raisons du doigt ou un manque d’éducation à ce genre de production culturelle.
Alors pourquoi désigner la pornographie comme unique responsable des comportements problématiques des consommateurs et consommatrices de porno – alors qu’il nous paraîtrait insensé de le faire pour une autre production culturelle ? Pourquoi considérer la pornographie comme un simple divertissement ? Qu’est ce qui dérange à ce point la société et les médias ? Voyons ensemble quelques pistes.
Affiche contre la pornographie (USA)
La première raison est liée à la pornographie en elle-même et à ce qu’elle représente : la sexualité. Il serait long et fastidieux de faire une revue historique de la sexualité à travers les époques et les civilisations (et ce n’est pas le propos de l’article), mais pour faire court, il y a en Occident une représentation morale de ce que serait une « bonne » sexualité. Tout ce qui ne correspondrait pas à cette « bonne » sexualité est moralement et socialement déprécié.
Entre le XIIème et le XIIIème siècle, l’instauration du mariage chrétien monogame et indissoluble en Occident a délimité l’activité sexuelle légitime. Bien que l’activité sexuelle non reproductive était déjà déconseillée et réprimandée, l’église a en quelque sorte légiféré cette vision de la sexualité. La pornographie est tout le contraire de la sexualité reproductive : elle montre une sexualité récréative, comportant des pratiques non reproductives, exécutées par des professionnel∙le∙s payé∙e∙s pour avoir une sexualité non reproductive. Il n’est donc jamais question de faire des enfants, mais de luxure, l’un des sept péchés capitaux. La pornographie peut donc être considérée comme mettant en péril l’ordre moral en mettant en scène des actes amoraux.
Si l’on ajoute à ça que la pornographie rime pour beaucoup avec masturbation – qui est une forme de sexualité, mais toujours non reproductive – rien ne va plus.
La deuxième raison est liée à la façon dont est considérée et traitée la pornographie par la société. Production culturelle consommée en masse et jugée vulgaire, beaucoup refusent de voir la pornographie comme un art ou même faisant partie de la culture (bien que cela tende à changer avec différentes initiatives : festival, webzine, émissions…). On retrouve ici un mépris de classe vis-à-vis de la pornographie, une distinction entre ce que serait le mauvais goût (dont fait partie la pornographie, un truc du peuple) et le bon goût (qui exclut la pornographie et qui serait une pratique d’élites).
En définitive, il semblerait qu’en désignant la pornographie responsable de divers maux sociétaux, on ne s’interroge pas sur notre société et notre système dans laquelle la pornographie est produite. On peut aller jusqu’à penser qu’utiliser de tels arguments ne sert pas le bien commun, mais une vision morale de la pornographie et de la sexualité.
En attendant une véritable réflexion sur le porno, il s’avère que notre société, les médias et Madame Rossignol s’enferment dans une vision moraliste de la sexualité et de la pornographie, empêchant une réflexion plus générale sur notre société et plus approfondie sur le sexisme, le racisme, l’homophobie, la transphobie, le classisme, le validisme ou encore le non-consentement, la violence et le viol. Elles omettent ainsi tout un pan de la pornographie, un pan militant et politique. Certaines productions intègrent un consentement clair et explicite ; d’autres œuvrent à faire avancer les droits des actrices tout en offrant une représentation plus éclectique des genres et des sexualités, à l’instar de la pornographie féministe.
La huitième édition de la Queer Week a commencé ce vendredi et se prolongera jusqu’au 18 mars. Née dans les locaux de Science Po Paris et soutenue depuis cette année par Paris 8, la Queer Week est une manifestation indépendante qui se veut espace de réflexion libre autour des genres et des sexualités. Cette année encore, vous pourrez assister à des conférences, ateliers, débats, projections, expositions et rencontres. Une précision cependant : dans le contexte politique actuel, la Queer Week se veut « toujours plus militante, toujours plus solidaire ».
Ce dimanche, la journée était consacrée à de portraits de femmes, avec notamment celui d’Audre Lorde, poétesse américaine noire, militante féministe, lesbienne, engagée contre le racisme, à travers le documentaire « Audre Lorde, the Berlin years »
Si vous avez manqué le début, pas de panique, le programme reprend dès demain avec des thématiques quotidiennes qui donnent envie : « Exploration de la santé sexuelle », « Sorcières », « Kink », « Image, langage et mondialisation », et enfin « R-assemblage décolonial ». Mon coup de coeur se porterait sur la journée Kink, qui propose initiation au Shibari, conférence sur le shokushu ero – « érotisme du tentacule » avec Agnès Giard, puis une initiation au SM et au Dogtraining.
Notez également que le collectif féministe Garçes Sciences Po propose aujourd’hui des conférences/tables rondes autour de la pornographie et que vous pourrez m’y retrouver à 19h aux côtés de Sam Bourcier et François Ronan-Dubois.
Ember Stone, Van Wylde – Coming For You
Ginger Fox, Neeo – Hot Afternoon Fuck
Azazai, Matt Denae – My Muse
New fetishy indie porn site: Studio Darkness:
Lily Cade, Amarna Miller – Everything is for you (pics)
Nenetl Avril – Harpsichord (pics)
Maria Riot – Dacryphilia (pics)
New site: Butt Formation! Cute girls being pushed by thir trainers, with a focus on butts :)
Frida’s Workout (pics)
Carla Pons’ workout video (pics)
Squats
Cassie Fire’s workout
Lunges
Megan Sage, Johnny Castle – Waiting Game
Alexis Brill, Kristof Cale – Come And Get It
Alexis Adams, Kirsten Lee, Brad Sterling – Three Lovers
Go look: Pink Label website has relaunched and it’s like Netflix for indie porn filmmakers with 500+ movies!
Jill Kassidy, Ryan D. – Hello Lover
Jillian Janson, Brad Sterling – Cum In Me Now
Lily Rader, Brick Danger – Dirty Girl
Melissa Moore, Johnny Castle – Put Some Panties On
Megan Sage, Tyler Nixon – Return The Favor
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