Joy, la quarantaine, cadre supérieur dans le secteur bancaire, département 34 témoigne de ce que représente pour elle l’aman idéal.
Avec près de 25 ans de libertinage derrière elle, Joy assume totalement ses désirs et ses fantasmes. Les hommes, c’est son péché mignon. Surtout s’ils sont grands ( 1m80 et plus), plutôt classe, sans baskets, ni jogging, avec de l’humour : « Et bien membrés, sinon, je m’ennuie vraiment. »
Autre exigence : pas d’hommes mariés qui trompent leur femme en cachette et envahissent le milieu libertin. Des amants de moins de 50 ans, aimant pratiquer le cuckolding ou le candaulisme, à la fois directs et « cash ». Pour vraiment la séduire, ils doivent être imaginatifs, joueurs et, pourquoi pas, un poil pervers. Si elle est inscrite sur les réseaux libertins en tant que « femme seule », ses amants doivent parfois accepter la présence de son mari en tant que voyeur ou donneur d’ordre, chose qui l’excite beaucoup.
De temps en temps, elle aime participer à des parties de sexe complètement dépravées et débridées avec un amant qui organise pour elle des soirées pluralité masculine : « Je suis très cérébrale et dans ces cas-là, je ne cesse d’en redemander. Mais, hélas, les hommes avec un véritable esprit libertins sont assez rares. Mais lorsque je tombe sur un vrai libertin, la relation va être très intense avec lui.
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