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Que se passe-t-il quand une de mes copines bloggueuses décide de mettre en place un concours photos pour fêter la parution de la série érotique Lily ? Et bien il y a une pluie de sextoys, une avalanche de photos érotiques sur le net et ça passe même au journal de TF1 avec Tatie jacqueline…
Cet article Concours de photos « Sexy, mais … », c’est (presque) parti ! est apparu en premier sur NXPL.
Une fois n’est pas coutume, nous avons choisi de délaisser un peu les modèles de Chaturbate pour nous concentrer sur l’un de ses principaux concurrents, Cam4. Pour ceux qui ne le connaissent pas encore, il s’agit d’un site classique de sexcam qui fonctionne sur le principe du freemium dont nous vous avons déjà parlé. Tout les shows sont gratuits, à vous de payer quand vous êtes satisfaits ou que vous voulez un peu plus. Cette semaine, on vous présente les 5 tchatrooms de Cam4 qui vont justement vous donner envie de vous offrir cet extra.
Avant tout soyez rassurés, on ne vous fera pas l’affront de vous présenter VicAlouqua, la reine du site, d’autant qu’on a vous a déjà parlé d’elle il y a un moment.
Sextwoo
Vous êtes les meilleurs chaque jour et vous le savez je vous aime je vous aime je vous aime ❤❤❤❤❤ pic.twitter.com/E6079HWU9N
— Sextwoo (@sextwoo) February 7, 2016
S’il est un couple, un seul, à voir au moins une fois dans sa vie de tipper, c’est Sextwoo. Comme souvent dans les couples, c’est madame qui est la tête d’affiche. Cassie est donc souvent connectée seule dans un premier temps, rapidement rejointe par son chéri pour des parties de sexe en live jamais décevantes. Leur spécialité est la fin de show en éjac’faciale, qu’ils savent patiemment amener en faisant languir les milliers de personnes connectées sur leur room : vous avez peut-être déjà assisté à leur fameux compte-à-rebours, où toute la room compte de 10 à 0 la main dans le pyjama, en attendant le feu d’artifice final comme on le ferait un 31 décembre, mais en mieux.
clique sur ce lien, inscris toi c'est gratuit..et rejoins moi sur mes gars show d'hexib :Dhttps://t.co/7WbvWdOlkY pic.twitter.com/WZEeLOGYFn
— Sextwoo (@sextwoo) January 14, 2016
A-mateurs de sexe en extérieur, vous en aurez aussi pour vos tokens : dès que l’occasion se présente, Cassie et son homme n’hésitent pas à performer hors des murs de leur appartement, pour le plaisir des voyeurs, et peut-être des écureuils ?
LolahoopCamgirl depuis un peu plus d’un an, LolaHoop a vite pris ses marques. Si vous aimez les shows hard, les tags parfaits, vous êtes au bon endroit. Jamais à court d’idées, Lola nous réjouit toujours grâce à sa lingerie sexy, ses multiples jouets (godes, plugs) qu’elle utilise de tous les moyens possibles parfois tous en même temps, et surtout, du squirting en veux-tu en voilà.
#oops pic.twitter.com/RPbWY2rbmu
— Lola Hoop✨ (@Lolahoopxx) November 5, 2015
Chose qui me plaît encore plus, elle est de celles qui n’ont pas la langue dans leur poche. Et quand elle ne s’en sert pas pour lécher son plug, elle en profite pour recadrer les malotrus qui sont malheureusement légion sur la plateforme. Je ne peux que recommander la jolie brune, qui vous fera passer du karaoké à la double pénétration dans le plus grand des calmes. Longue vie à Lola !
CassieJ’ai longtemps hésité à mettre Cassie dans le top 5. Non pas qu’elle ne le mérite pas… loin de là ! Mais elle n’a pas diffusé depuis 15 jours, ce qui dans le monde de la cam est anormalement long. Finalement, je me suis dit que parler d’elle pourrait peut-être la ramener sur nos écrans. Je le souhaite en tout cas pour que ceux d’entre vous qui ne l’auraient pas encore croisée puissent tomber amoureux aussi.
Cassie est une superbe trans française, au regard émeraude et à la fine silhouette. J’espère qu’elle reviendra parmi nous pour égayer notre écran. Vous pouvez toujours lui déclarer votre flamme sur Facebook, en attendant.
LeaxcamLeaxcam est sans conteste une des figures phare de la scène webcam française. Dans sa chambre avec un lit à barreaux qui nous inspire déjà des idées cochonnes, elle se déhanche sur des rythmes latinos tout en s’effeuillant pour le plus grand plaisir de ses nombreux fans. Chaque show est l’occasion de redécouvrir son corps sensuel dans une nouvelle tenue sexy. Bas nylon, robes moulantes, talons aiguilles… Si le glamour est sur Cam4, c’est dans la room de Lea.
Pour ne rien louper sur la jolie blonde, suivez son Twitter, qu’elle alimente toujours avec ses photos les plus hot. C’est aussi le meilleur moyen de savoir quand elle sera en ligne la prochaine fois, car croyez-moi vous ne voulez pas louper ça !
Ava MooreSi l’exhib avait une présidente, ce serait sans aucun doute Ava, également connue sous le nom de Chiennette. Elle ne manque jamais une occasion de se prendre en photo pratiquement nue dans des endroits insolites, sous le soleil ou dans le froid peu importe, tant que le plaisir est là. Son dernier exploit ? Une double faciale en extérieur qui m’a laissée rêveuse… moi et les 4 500 autres personnes connectées dans la room.
Un grand merci au "proprio"!! Et à vous mes voyeurs!! Un aprèm au frais où vous avez réussi à me réchauffer pic.twitter.com/Znu59PNGE6
— Ava Moore (18+) (@AvaMoorex) January 16, 2016
Adepte du dirty talk et des positions dignes des plus grands pornos, Ava vous emmène pour un tour sur le grand 8 de la webcam. Elle veut vous faire bander, et elle va forcément y arriver. Guettez sa prochaine apparition, c’est un spectacle à ne pas louper !
Vidéo gratuite, show privé, snapchat, récits coquins, viens vite visiter mon site officiel> https://t.co/vnW9O9zmET pic.twitter.com/PNyjn3OwwI
— Ava Moore (18+) (@AvaMoorex) February 7, 2016
https://www.letemps.ch/societe/2016/02/11/senegal-interdit-sacs-main-un-homme|«Cette polémique a nui à mon image mais j’essaie de faire face, parce que je n’ai pas le choix. Quand on joue les premiers rôles, on laisse parler les gens», a déclaré Waly Seck. Ce rappeur a été accusé de promouvoir l’homosexualité après avoir été photographié avec un cabas, jugé trop féminin. Lui se dit «victime de la mode». La polémique est devenue une affaire d’Etat.
Qui l’aurait cru? Au beau milieu des éphèbes dénudés du photographe allemand Wilhelm von Gloeden, des clichés de l’activiste lesbienne Petra Gall, qui a documenté l’underground lesbien à Berlin-Ouest dans les années 1970-1980 ou d’une affiche du film-culte de Rosa von Praunheim (1), se trouve un portrait de Lénine. Alors que la Russie fait aujourd’hui la chasse aux gays et aux lesbiennes, Wolfgang Theis, le curateur de l’exposition Tapetenwechsel (2) (changement de tapisserie), inaugurée à l’occasion du 30e anniversaire du Schwules Museum, a trouvé bon de rappeler qu’il y a près d’un siècle le père de la révolution bolchevique avait légalisé l’homosexualité. «J’ai trouvé le tableau au marché aux puces il y a quelques semaines», s’amuse Wolfgang Theis, qui n’est autre qu’un des fondateurs du musée. «Le premier au monde», précise-t-il avec une étincelle de fierté dans ses yeux malicieux.
Eldorado
Alors qu’il était étudiant en sociologie, il monte avec quelques camarades une exposition sur l’histoire du mouvement gay dans la capitale allemande au musée municipal de Berlin en 1984, baptisée Eldorado, du nom d’un cabaret mythique des années 1920. «À cette époque nous n’avions rien», se souvient Wolfgang Theis. «Nous avons lancé un appel pour demander à ce que les gens nous envoient des objets qui témoignent de l’histoire des gays. Et il y a plein de gays qui nous ont envoyé leurs films porno!», se souvient-il, amusé.
Le Schwules Musuem a ouvert ses portes l’année suivante, d’abord dans une salle prêtée par une association gay, qui devait régulièrement être vidée quand des événements étaient organisés, puis à Mehringdamm, à Kreuzberg, au-dessus d’un club gay non moins mythique, le SchwuZ. En 2013, les deux établissements ont dû déménager: la discothèque s’est installée dans le quartier populaire de Neukölln, tandis que le Schwules Museum a pris ses quartiers à la lisière du Tiergarten, le poumon vert de Berlin, où il dispose désormais d’un espace collant plus à ses ambitions.
Rattrapés par le marché de l’art
«Nous avons très envie d’avoir à nouveau une exposition permanente pour répondre aux attentes des touristes qui se rendent à Berlin et visitent notre musée», explique Jan-Claus Müller membre du comité directeur du musée. «Cette exposition sur l’histoire du musée constitue déjà un grand pas dans cette direction».
En 30 années d’expositions, le Schwules Museum est parvenu à se constituer un fond important, notamment en posant comme condition que chacun des artistes exposés offre une de ses œuvres au musée. Mais Wolfgang Theis regrette que les moyens financiers limités du musée l’empêchent d’enrichir sa collection: «Nous n’avons pas assez de Hockney, nous n’avons pas un seul Tom of Finland, c’était trop cher. À nos débuts, nous pouvions à peu près tout nous offrir, mais plus nous sommes devenus célèbres, plus l’art gay a pris de la valeur sur le marché de l’art. Autrefois nous trouvions beaucoup d’œuvres sur les marchés aux puces».
«A chaque fois que nous nous sommes retrouvés dans une situation délicate, nous avons organisé une exposition sur le porno.» Wolfgang Theis
Les 250’000 euros de subventions annuelles que reçoit le musée depuis quelques années ne suffisent souvent pas à couvrir les dépenses et permettent seulement de financer une poignée d’emplois. La grande majorité des personnes qui travaillent au Schwules Museum sont bénévoles, souligne Jan-Claus Müller. «Beaucoup d’entre-elles ont envie de faire quelque chose en retour pour la communauté, de s’engager, que ce soit par amour pour l’art ou pour rencontrer d’autres gens». Avec le temps, l’équipe du musée a d’ailleurs trouvé une formule magique pour redresser la barre quand les finances sont mauvaises: «A chaque fois que nous nous sommes retrouvés dans une situation délicate, nous avons organisé une exposition sur le porno» s’esclaffe Wolfgang Theis, qui cite l’exemple de l’exposition Porn that way, qui a attiré en 2014 de nombreux visiteurs, y compris un public hétérosexuel. Les prochaines expositions que s’apprête à accueillir le musée cette année porteront sur les superhéros de BD queer, les dandies et les enfants terribles Klaus et Erika Mann.
(1) «Nicht der Homosexuelle ist pervers, sondern die Situation, in der er lebt» («Ce n’est pas l’homosexuel qui est pervers mais la société dans laquelle il vit»), 1971
(2) Exposition «Tapetenwechsel», jusqu’au 12 mai
» Schwules Museum, Lützowstraße 73. Ouvert tous les jours de 14h à 18h sauf le mardi, jusqu’à 20h le jeudi et 19h le samedi. Entrée: 7,50€.