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Aujourd’hui, je donne la parole à un de mes lecteurs sur un sujet totalement confidentiel mais qui mérite vraiment un article sur ce blog, je veux parler du Zentaï. Je ne dévoile pas plus ce que c’est, je laisse ce lecteur, expert et blogueur témoigner sur sa passion et son fétichisme. Tout a commencé en […]
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Bosser sous les ordres d’un gay serait – ou devrait être – le rêve de tout employé. C’est du moins ce que prétend Kirk Snyder dans un ouvrage* auquel le magazine américain «Details» a récemment consacré un article. Ce professeur à la Business School de Université de Californie du Sud a étudié pendant cinq ans les performance et les méthodes de travail des managers ouvertement homos aux Etats-Unis. Ils auraient un talent particulier pour optimiser les performance de leurs équipes. Comment? En considérant chaque individu dans leurs capacités uniques. L’auteur a mesuré que les boss gay réalisaient 35 à 60% d’engagements de personnel en plus. Leurs employés montraient des taux de satisfaction et de moral supérieurs dans les mêmes proportions aux collaborateurs de cadres hétéros. Snyder rappelle que ces indices sont cruciaux pour la stabilité d’une entreprise, surtout lorsque l’on sait que la majorité des démissions sont motivées par le comportement des supérieurs hiérarchiques.
Pas d’ego à booster
Mais à quoi ça tient? Aux années du lycée et à l’épreuve du coming-out, selon Snyder: «Les gays sont constamment amenés à soupeser les pour et les contre, à évaluer comment et où se développer. Du coup, ils excellent dans trois qualités essentielles: la faculté d’adaptation, la communication intuitive et la créativité dans la résolution de problèmes.» De surcroît, au moment où ils atteignent leur position, ils sont sûrs de leur identité et n’ont pas besoin d’abuser les gens pour booster leur ego.
Parmi les témoignages recueillis par le chercheur, celui d’un jeune employé straight de 23 ans dans une boîte de relations publiques à Washington. Il ne tarit pas d’éloges sur son supérieur, qui a su l’aiguiller intelligemment, selon lui, après une frustration professionnelle – une promotion qui lui avait échappé. «C’était un grand contraste avec les autres managers que j’avais eu. Depuis, je le considère un peu comme mon mentor. C’est vraiment surprenant que j’aie maintenant ce type gay de 38 ans qui a une énorme influence dans ma vie.»
– Encore un peu de pommade, chef?
Stéréotypes
D’autres gays haut-placés ne sont pas sont pas convaincus par ces théories qui puisent un peu trop généreusement dans les clichés – autant ceux sur les homos que sur les hétéros. Interrogé par «Details», Richard Laermer, boss d’une entreprise de communication new-yorkaise, estime que les talents requis pour être un bon patron sont davantage «d’avoir de l’énergie, d’être sociable et curieux». Et l’orientation sexuelle n’a pas grand chose à voir là-dedans. «J’ai été à l’armée, dans une fraternité estudiantine et dans des équipes de sport, poursuit-il. J’ai l’impression d’avoir passé ma vie à justifier le fait que ce que je dis et ce que je fais n’a rien à voir avec mon homosexualité.»
* «The G Quotient: Why Gay Executives Are Excelling as Leaders . . . and What Every Manager Needs to Know»; Ed. Jossey-Bass.
Attention ! Alerte rouge à Philadelphie !
Un homme déambule dans le voisinage
Le pantalon baissé, à la main du fromage
Et réclamant aux passantes une gâterie !