Le docteur Meloy veut mettre au rancart nos godes
Grâce à sa fabuleuse machine à orgasmes,
Mais qui d’entre vous s’enfoncera l’électrode
Dans la moelle épinière avec enthousiasme ?
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Le docteur Meloy veut mettre au rancart nos godes
Grâce à sa fabuleuse machine à orgasmes,
Mais qui d’entre vous s’enfoncera l’électrode
Dans la moelle épinière avec enthousiasme ?
A quickie: model Chiaki, looking beautiful.
Content copyright © 2013 Violet Blue ® (R) permitted for use on tinynibbles.com only.Donc, Stabilo a eu la brillante idée de sortir un stabilo pour les femmes seulement, apprend-on sur aufeminin.com, aujourd’hui. C’est vrai que ceux qui existent déjà ne tenaient pas vraiment entre nos doigts frêles et féminins. Il nous fallait une gamme particulière de stabilos. Des articles agacés sur le sujet ont déjà été bien faits, chez nos confrères de l’Express ou chez Sophie Gourion.
On se contentera donc juste de re-regarder ce sketch d’Ellen DeGeneres qui déjà en 2012 se foutait de Bic et de sa gamme de stylos pour femmes.
« Je croyais qu’on avait les mêmes droits. On...
Quarks continue d’explorer ces personnalités qui font la fierté de la France ; après Pierre Woodman, c’est au tour de King Micko Black de faire l’objet d’un reportage intitulé Micko Black : sa bite, son histoire. King Micko Black, c’est ce pétulant rappeur de Haute-Normandie dont la chanson Ma bite (son histoire) avait fait rire tout l’Internet français il y a environ deux ans. Rappelez-vous l’objet que nous vîmes, ce beau matin d’hiver 2012 ; ce clip léché, cette instru à faire pâlir Clams Casino et surtout ces paroles lourdes de sens : « on fait frotti, on fait frotta, et tralali, et tralala. » Quarks a ravivé la flamme en allant rendre visite à King Micko Black à domicile, dans sa Ville Nouvelle du Val-de-Reuil.
Et là, stupeur : King Micko Black a beau se vautrer avec bonheur dans toutes les formes de cliché qu’il a pu trouver, il est clairement loin d’être stupide. Jogging Yves Saint-Laurent, bonnet Gucci, excursions à la salle de sport et checks élaborés avec les petits du quartier, King Micko Black a bien rôdé le truc et Ma bite en fait partie, sans aucun doute. Devant la caméra de Quarks, il tient le rôle tant bien que mal, terrifié comme un môme quand l’équipe interroge son père, à la street crédibilité dévastatrice, au sujet de son chef-d’oeuvre pénien. Oui, le côté sale gosse, la gentillesse et l’humour de King Micko Black nous ont complètement séduit, tout comme cet incessant souci de bonne compréhension – la marque des grands. Un poète et un gentleman, assurément.
Sa B**e, son Histoire -King Miko Black – Quarks… par quarks
Sa bite, son histoire est strictement biographique. Ceci dit, ce douzième épisode de Quarks est accompagné de deux bonus intéressants. Dans le premier, King Micko Black explicite pour nous la dimension subtextuelle profonde de Ma bite ; une sorte de commentaire du réalisateur version art de rue, qui apporte un nouvel éclairage précieux à notre compréhension de l’oeuvre. Micko Black nous donne également sa définition du rap, une vision radicale et novatrice entièrement articulée sur l’idée de flow – l’influence de Doseone est, ici, particulièrement sensible.
Miko Black s’explique sur son buzz – Bonus… par quarks
L’autre grand bonus de Sa bite, son histoire est aussi notre préféré ; le Roi Micko Noir y livre ses impressions concernant la fameuse Liza Monet : « Franchement je te mens pas elle rappe bien, mais…il faut qu’elle arrête le délire sexe, ça c’est pour les mecs. La France n’est pas prêt (sic). » Par ailleurs, c’est aussi la conscience géopolitique aiguisée et le profond sens de l’égalité du rappeur qui nous a marqué.
En présence de la ministre aux Droits des femmes, Najat Vallaud Belkacem, et de Maria Arnholm, ministre suédoise à l'Égalité, plusieurs associations internationales alertent sur les réalités du système prostitutionnel, dans le cadre de la 58ème Commission de la condition des femmes des Nations Unies.
"Reaching Out to the « the last girl »" (Atteindre jusqu'à la dernière fille) réunit Ruchira Gupta, présidente d'Apne Aap (Inde), Viviane Teitelbaum, présidente du Lobby européen des femmes, Sarah Benson, Présidente de CAP International (Coalition internationale pour l'Abolition de la prostitution, dont le Mouvement du Nid fait partie), Virginia Wangare Greiner, Vice-présidente du Réseau européen des femmes migrantes, Cherry Smiley, co-fondatrice des Femmes indigènes contre l'industrie du sexe.
L'événement a pour invitées d'honneur Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes (France) et Maria Arnholm, ministre à l'Égalité (Suède).
Dans le cadre de travail de la 58ème Commission de la condition des femmes des Nations Unies, l'événement s'inscrit dans la problématique de cette Commission : Défis et réalisations dans la mise en œuvre des Objectifs du Millénaire pour le développement des femmes et des filles.
Lors des 20 dernières années, ces Objectifs du Millénaire se sont révélés insuffisants pour transformer les conditions d'existence des femmes et des filles du monde entier. Les associations organisatrices partagent une conviction très forte : la nouvelle plate-forme d'Objectifs développée en 2015 devra englober l'ensemble des droits des femmes tous domaines confondus, et proposer des mesures qui ne laisseront personne sur le chemin, particulièrement les plus vulnérables.
Dans le contexte actuel de mondialisation néo-libérale, le problème de la prostitution est au cœur des inégalités entre les femmes et les hommes : c'est un système qui mêle la domination masculine, la vulnérabilité économique et sociale, la discrimination des minorités.
C'est pourquoi nos associations veulent aborder ce problème, et ce, depuis la perspective des femmes et des filles les plus vulnérables, vivants dans différents continents, pour alimenter les débats concernant l'agenda des Nations unies dans les années à venir.
Cet événement est une occasion unique d'entendre des associations de femmes, représentant des minorités ou des femmes migrantes, exprimer les réalités dont elles sont témoins en matière de prostitution.
Sun is shining! And IRÈNE can show a bit more of herself everyday…
Today we introduce you to Mara Zampariolo’s work… before discovering the serie she made with Ylva Falk for our next issue!
La réalisatrice Tatia Pilieva a rassemblé 20 personnes ne se connaissant absolument pas pour les faire s’embrasser. Le résultat : une tension omniprésente au départ et des émotions ensuite!
Dans un arrêt rendu le 7 mars dernier, un juge de New Kingston a estimé que les jeunes homos et transsexuels ne pouvaient être chassés des égouts où ils ont trouvé refuge. La décision fait suite à plusieurs raids visant à déloger les squatteurs, sous le prétexte qu’ils «attirent les criminels». Les plus jeunes d’entre eux ont 12 ans. Ils survivent le plus souvent en se prostituant, après avoir été jeté à la rue par leur famille et exclus des foyers d’accueil.
«Énervés à juste titre»
Les jeunes présentés au juge comparaissaient pour s’être opposés à l’intervention des policiers et pour avoir proféré des jurons – un délit, selon la loi jamaïcaine. «Ils étaient énervés à juste titre, comme ils n’ont nulle part ailleurs où aller, a expliqué la militante Yvonne McCalla-Sobers au site britannique Gay Star News. La police les a déjà chassé de tout leurs squats.»
En octobre dernier, des policiers avaient évacué et incendié une maison occupée par des homosexuels à New Kingston – brûlant les maigres possessions des squatteurs. Un mois plus tôt, quatre hommes avaient échappé à une foule qui avaient bouté le feu à leur refuge, à Montego Bay. La maison avait hébergé Dwayne Jones, l’adolescent transsexuel poignardé à mort au mois de juillet.
Vulnérabilité
«Bien que le commissaire à la police de Jamaïque a émis une directive exigeant que les LGBT ne fassent pas l’objet de discrimination, il est clair qu’il y a encore beaucoup à faire pour que les agents respectent et soutiennent les droits humains des gays vulnérables dans ce pays», a estimé Maurice Tomlinson. Cet avocat et activiste LGBTI a récemment réalisé une vidéo sur la vie des jeunes gay et trans dans les égouts (voir ci-dessus).
Il est un secret bien gardé pour la plupart d’entre nous, qui fait trembler les lobbies de tampons et autres protections périodiques. Un secret qui pourrait changer votre rapport à vos règles: la coupe menstruelle (parfois appelée coupelle, ou pour les plus hype la cup).
Qu’est-ce que la coupe menstruelle ?
Il s’agit d’une protection hygiénique réutilisable, alternative au tampon périodique et à la serviette hygiénique. Ce réceptacle en silicone médical, en forme de cloche, se place à l’entrée de votre vagin durant vos règles, et recueille vos menstruations.
Pour l’insérer il vous suffira de la refermer sur elle-même, de la placer et de la laisser s’ouvrir. La coupe vient faire ventouse contre les parois de votre vagin et recueille votre sang. Au bout de 8 à 12h vous la retirer, vous la videz dans les toilettes, vous la rincez, et vous la replacer.
Les 10 raisons de passer à la coupe
#1 – Vous faîtes des économies
Vous dépensez en moyenne 84€ par an dans vos protections périodiques. Avec la coupe, vous dépensez en moyenne 20€. Et c’est tout ! Vous la nettoyez à chaque utilisation, vous la désinfectez entre deux cycles, et elle peut vous durer en moyenne une dizaine d’année (ce qui représenterait 840€ de tampons et autres serviettes). Pour pousser un peu plus loin le raisonnement, on estime qu’au cours de sa vie une femme dépense environ 2 400€ en protections périodiques, alors qu’à raison d’une à trois coupes pour toute une vie vous dépenserez entre 20 et 60€. A vous le shopping !
#2 – Vous prenez soin de votre flore
La silicone médicale est, sauf cas extrêmement rares, sans danger pour le corps humain. Elle est hypoallergénique, sans phtalates, sans bisphénol A, sans latex et sans parfum. Parmi les différents exemples de son utilisation, sachez notamment qu’il s’agit du composant principal des tétines de biberons.
A l’inverse l’utilisation répétée de tampons (ou l’utilisation de formats « super absorbants +++ » non appropriés) peut entraîner des risques de sécheresse vaginale ou d’infections diverses, notamment le syndrome du choc toxique, le SCT, rare mais d’une grande dangerosité.
#3 – Vous protégez l’environnement
Au lieu des 12 000 tampons et/ou serviettes utilisés en moyenne au cours de la vie d’une femme (et donc les 12 000 emballages en plus), vous réduisez considérablement, que dis-je extraordinairement, vos déchets. En d’autre terme, la coupe fait de vous une vraie Greene Lady.
#4 – Vous faites un gain de place
Dans votre salle de bain et dans votre sac à main ! Fini l’époque où vous dédiez un tiroir entier à votre réserve de tampax. La coupe prend très peu de place. Et pour remplacer le joli porte-serviettes nana que vous aviez pisté dans tout monoprix, votre coupe, elle, est vendue avec un joli sachet en soie (bio la plupart du temps). Discrétion et élégance assurées.
#5 – Vous découvrez votre corps
La manipulation de la coupe vous entraine à la découverte de votre corps, puisqu’elle se place à l’entrée du vagin. Outre la manipulation de l’objet, cela vous oblige à palper votre intérieur. A l’aide d’un doigt, ou deux, vous ouvrez d’abord la voie. Puis une fois la coupe en vous, vous en faites le tour, toujours avec vos mimines, pour vérifier qu’elle s’est bien ouverte. En effet si les gynécologues nous enseignent très vite la palpation mammaire, plus rares sont ceux qui viendront se planter face à vos cuisses ouvertes en vous présentant un miroir et en vous apprenant à ausculter votre vagin. Avec la coupe, chaque mois vous aurez l’occasion de vous assurer que « tout va bien ».
#6 – Fini l’angoisse
La peur de la tâche, l’impression de porter une couche qui vous fait un postérieur énooorme, la ficelle qui dépasse de votre maillot (pire, le tampon qui se gorge d’eau chloré à la piscine), la peur d’en mettre deux, les odeurs gênantes (et oui, le sang macère dès lors qu’il est en contact avec l’oxygène), l’inconfort d’un tampon qui redescend, … Avec la coupe oubliez tous ces désagréments : elle est confortable, une fois en place elle ne peut absolument pas bouger et jamais elle ne déborderas.
#7 – Vous pouvez vivre pendant vos règles
Tout d’abord parce que la coupe, vous vous en occupez une fois le matin, une fois le soir, et entre les deux vous faites votre life ! En effet vous pouvez garder votre coupe jusqu’à 12h en vous.
Mais aussi :
Vous pouvez dormir toute nue. Une coupe bien placée ne vous fera jamais défaut, donc pas de risque de tâcher votre literie !
Vous pouvez profiter de votre lingerie fine pendant vos règles!
#8 – Vous pouvez pratiquer une activité sportive
Vous pouvez pratiquer n’importe quel sport, et à n’importe quel niveau, avec votre coupe. Celle ci ne bougera pas, ne vous gênera pas, et ne fuira pas.
Mieux : vous pouvez avoir « une certaine sexualité » pendant vos règles (avis à celles dont la libido décuple durant cette période). Bien sûr votre partenaire ne pourra pas vous pénétrer à moins de retirer votre coupe ! Néanmoins, les caresses et baisers vaginaux peuvent tout à fait être pratiqués. Par d’odeurs, pas d’écoulements de sang, vous n’avez plus qu’à apprécier !
#9 – Vous vous réconciliez avec vos règles
En plus de tous les avantages techniques que présente la coupe vous allez prendre plaisir à choisir la votre. En effet, quitte à partager 10ans de menstruations avec, autant que l’objet vous plaise ! Il y a différentes marques sur le marché, toutes au nom plus doux les uns que les autres : la mooncup, la lunacopine, la divacup, la fleurcp… Tout est fait pour vous rassurer, jusqu’au packaging souvent très féminin. Sachez ensuite que vous aurez le choix entre 2 tailles : règles peu abondantes, jamais enfanté / règles abondantes, déjà enfanté. Viennent enfin les formes et les couleurs (bien sûr les couleurs utilisées sont aussi issues du domaine médical), là encore c’est à vous de trouver le modèle qui vous convient le mieux et surtout avec lequel vous serez le plus à l’aise !
#10 – Vous oeuvrez pour la recherche
Bon, là ça risque de sonner un peu Science Fiction. Néanmoins ! Des recherches très sérieuses ont actuellement lieu dans le domaine médical afin d’étudier les cellules souches issues du sang menstruel, notamment dans la lutte contre le cancer du sein. Une société américaine propose d’ores et déjà de récupérer votre sang et de le cryogéniser en attendant l’avancée des recherches (à raison de 490$ / an). Bon, tout ça paraît dingue mais quand on y réfléchi bien….
Or le meilleur moyen actuellement pour recueillir vos pertes menstruelles est incontestablement la coupe (vous vous voyez essorer vos tampons usagés vous ??)
Ce que vous devez tout de même savoir
- Vous aurez du sang sur les doigts, voire un peu sous les ongles (que je vous conseille vivement de couper ! True story….)
- Vous devrez être le plus détendue possible pour la manipulation. Parfois le moment de la douche se révèle assez opportun. Dans tous les cas je vous recommande de prévoir au moins 5 vraies minutes.
- La coupe menstruelle est très peu vendue en pharmacie car pas assez lucrative face aux protections périodiques jetables. Au point d’être complètement stigmatisée par certains (pour ma part je me suis entendue dire par UNE pharmacienne que je me trouvais dans « un établissement sérieux » avant de me faire jeter. Sans parler de tous ceux qui ne connaissent tout simplement pas ce produit…pourtant la première coupe menstruelle est apparue sur le marché en 1930 !)
Vous pouvez généralement la trouver dans les magasins bio, ou tout simplement sur internet.