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Ce numéro spécial des Cahiers de la femme mettra l'accent sur les crises sociales et environnementales qui menacent la conservation de la vie sur notre planète. On aura intérêt à consulter les féministes, pour expliciter les dynamiques du patriarcat et du capitalisme, et plus aptes à éclairer les "réponses" et les "fausses solutions" qui compliquent la situation actuelle.
- Femmes, développement, environnementDear Followers, it is the fifth time IRÈNE has to delete her nude photos from Facebook… From now on, extra care must be taken and we’ll have to hide the most beautiful part of our photos…
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Take care
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Picture by IRÈNE
C’est à n’y rien comprendre. Alors qu’il y a seulement quelques semaines, nous nous réclamions tous d’un certain Charlie dont l’humour potache n’avait d’égal que son irrévérence et la certitude d’intentions non haineuses mais essentiellement politico-socialo-humoristico-anar, voilà que le monde médical se déchire pour une histoire de fesses sur une fresque… L’histoire commence en réalité...
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Dans un avis rendu public le 2 février, le Conseil national du sida (CNS) demande la garantie du droit au secret des personnes mineures dans le cadre de la prise en charge du VIH.
Le Conseil national du sida (CNS) vient de publier un avis sur « La garantie du droit au secret des personnes mineures dans le cadre de leur prise en charge médicale » après avoir été alerté par le comité de coordination de la lutte contre le VIH (COREVIH) Languedoc-Roussillon sur la situation d’une personne mineure séropositive au VIH.
Mercredi 11 Février 2015Les femmes, tout au long de leur vie, sont amenées à prendre grand soin de ce qu'il y a entre leurs jambes. Elles sont éduquées très tôt à apprendre que les hommes veulent du sexe, par à peu près tous les moyens possibles et qu'il faut s'en préserver à tout prix.
Ainsi elles sont éduquées dés leur plus jeune âge à avoir peur du monde extérieur et à faire attention aux fameux prédateurs ; elles apprennent à avoir une peur panique des violences sexuelles et l'on n'hésite pas parfois à leur apprendre qu'il vaudrait mieux mourir que d'être violées, que la mort serait préférable à la souillure.
Ainsi elles sont éduquées à considérer leur virginité comme un trésor à préserver à tout prix. Il ne faudrait pas la donner à n'importe qui, sans qu'on sache bien définir le n'importe qui, ni n'importe quand, ni n'importe où. Les termes ne sont d'ailleurs pas anodins ; on "perd" sa virginité comme s'il y avait quelque chose à regretter ou à vouloir retrouver.
Ainsi les femmes sont éduquées à se laisser désirer car on ne désire que ce qui est rare. Elles ne doivent surtout pas coucher avec trop d'hommes, sans qu'on sache exactement ce que ce "trop d'hommes" signifie, elles en seraient salies et ne vaudraient plus grand chose.
Ainsi les femmes ne doivent pas être violées mais la responsabilité de leur viol leur ait couramment mise entre les mains ; sont-elles sorties ? Sont-elles jolies ? Ont-elles bu ?
Ce qui est assez paradoxal est la réaction sociale face à une femme qui a couché avec "beaucoup" d'hommes et une femme qui a été violée. Dans les deux cas, on peut observer des réactions similaires où les deux femmes seraient comme souillées. Ce qui devient important dans le viol n'est pas que la femme ait été victime d'un crime, mais qu'on puisse l'imaginer ayant eu un rapport sexuel. Le sexe des femmes serait tellement précieux que, lors du viol, cela n'est pas le violeur qui est souillé de son propre acte mais la femme qui en est victime ; elle est donc doublement victime et du crime subi et des regards qui la voient comme salie par cet acte.
Les femmes violées ne sont souvent pas considérées très différemment de celles qui ont eu "beaucoup de partenaires" ; dans ce cas là la femme est salie par les actes commis et rien ne peut, semble-t-il lui rendre la dignité perdue.
On observe donc que globalement le sexe des femmes est un trésor - trésor d'où sortent d'ailleurs les enfants, c'est dire s'il faut qu'il reste propre - dont elles doivent prendre soin. Les femmes peuvent, semble-t-ils, être assez facilement salies, comme des étoffes blanches fragiles.
Et puis au final on se rend compte que le sexe des femmes n'est pas si précieux.
DSK, en 2011, a eu à répondre des faits suivants : agression sexuelle, tentative de viol et de séquestration. Il y a eu abandon des poursuites et plus tard un arrangement financier entre Nafissatou et DSK. On ne sait donc pas s'il y a eu tentative de viol ou non dans cette chambre d'hôtel. Voici ce qu'écrivait un journaliste il y a quelques jours : "Le cliché avait été pris le soir même de l’audience qui fit d’elle une femme riche, au Union Square Café, à Manhattan, lors d’un dîner où elle fêtait l’événement. J’espère que ce souvenir va lui arracher un sourire." Cette réaction n'est pas isolée et sans aucun doute totalement sincère. On se souvient d'émissions de radio, de réactions sur les réseaux sociaux où au fond, les gens se moquaient bien qu'il y ait eu viol ou non ; tout ce qui était noté est qu'elle avait gagné de l'argent. certains ont même parlé de "la chance de sa vie". Son sexe n'avait donc plus tant de valeur que cela finalement puisqu'elle aurait du se considérer comme chanceuse d'avoir gagné quelques millions. Il y aurait donc des circonstances où le sexe d'une femme n'a pas beaucoup de valeur, où la possibilité d'un viol soit totalement effacée si elle en tire un profit financier.
Récemment une tribune a dénoncé certaines pratiques médicales où des touchers vaginaux seraient pratiqués par des étudiant-es sans que les patientes en soient informées. Les pétitionnaires demandaient donc à être préalablement informées de cette possibilité ; les médecins en ont tout logiquement conclu qu'elles souhaitaient les empêcher de se former par "pudibonderie".
Il y aurait donc là aussi un moment où le sexe des femmes cesse d'être précieux, d'avoir une valeur quelconque ; on demanderait aux femmes d'exercer une surveillance de tous les instants sur leur sexe... sauf quand il cesse de leur appartenir au moment où il passe entre les mains d'un médecin. Un sexe ne serait plus un sexe mais un organe à examiner au milieu d'une masse d'autres organes et la formation de nos futurs médecins serait bien supérieure au consentement des femmes à être touchées.
Enfin cet article qui concerne DSK - c'est à se demander s'il n'y aurait pas un problème avec DSK pour qu'il revienne aussi souvent lorsqu'on parle de violences sexuelles - et qui évoque le témoignage d'une prostituée.
La prostituée déclare : "J’ai montré mes réticences par des gestes. Qui faisaient comprendre que je n’acceptais pas cette pratique." et quand on demande à DSK son point de vue : "«Je n’ai pas senti de sa part une dénégation ferme. Elle a sans doute manifesté par des gestes qu’elle ne voulait pas trop. Même dans les relations sexuelles en couple il y a des rapports de domination. "
Arrêtons nous un instant sur DSK, homme qui a été accusé de tentative de viol, qui a reconnu une agression sexuelle pour laquelle il n'avait pas été condamné à cause de la prescription et qui est maintenant accusé de proxénétisme aggravé en réunion. Ces affaires suscitent sur tous les réseaux sociaux des blagues graveleuses alors qu'on parle de violences commises sur des femmes. Au moment même où une femme témoignait des violences subies, les réseaux s'enflammaient pour la plaque minéralogique comportant les lettres "SM" de la voiture emmenant DSK au tribunal. Beaucoup de gens n'ont cessé de me dire au fil des années qu'ils ne voyaient pas du tout pourquoi je parlais autant des violences sexuelles dans l mesure où tout le monde est contre ; qu'il me soit permis de relativiser cette parole au regard des milliers de réactions paillardes face aux violences commises par DSK.
Mais revenons donc au témoignage ; une femme dit avoir signifié son refus et un accusé, en plein tribunal dit qu'il a constaté ce refus. On a presque envie de dire qu'il est rare de voir quelqu'un avouer avec autant de naturel un viol puisque les faits décrits correspondent exactement à la définition légale du viol. Et pourtant alors qu'on a sous les yeux un viol avoué, personne - à part les féministes - ne l'évoque comme tel. Il y aurait donc là aussi des circonstances où le sexe des femmes ne serait plus si précieux et où l'on pourrait tranquillement évoquer des violences qui leur sont faites sans susciter la moindre réaction chez quiconque ; pire certains persistant à voir en DSK un parfait présidentiable.
Ces exemples, en apparence éloignés, témoignent des règles sociales schizophréniques auxquelles sont soumises les femmes ; elles doivent en permanence faire attention à se préserver, à préserver leur sexe et dans le même temps, alors qu'on leur apprend que leur sexe a une immense valeur, les faits démontrent qu'il y a des moments où leur sexe ne vaut rien et ne doit rien valoir.
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http://www.romandie.com/news/Soutenu-par-sa-paroisse-le-cure-de-Burglen-UR-refuse-de-partir_RP/564412.rom|Wendelin Bucheli, curé de Bürglen, a entamé un bras de fer avec son évêque, Mgr Vitus Huonder. Celui-ci l’avait renvoyé après la bénédiction d’un couple de lesbiennes de cette commune uranaise. Le conseil de paroisse a décidé qu’il resterait à son poste, avec un large soutien au sein des 3000 habitants de la bourgade. «Je me sens à l’aise à Bürglen. Mon travail n’est pas encore accompli et je ne vois aucune raison de quitter maintenant la communauté», a ajouté l’intéressé dans la presse locale. L’ultraconservateur évêque de Coire avait estimé que la bénédiction constituait une «violation des enseignements de l’Eglise» et avait prié l’évêque de Fribourg de reprendre la brebis galeuse dans son diocèse d’origine.
À l'heure où le procès Carlton illustre définitivement la violence et l'obstacle à l'égalité femmes-hommes que constitue la prostitution, le Mouvement du Nid se réjouit de l'inscription à l'ordre du jour du Sénat de la proposition de loi renforçant la lutte contre le système prostitutionnel.
En accédant à la demande du Gouvernement, le président Gérard Larcher et les présidents de groupe honorent le travail effectué depuis quatre ans par des parlementaires de tous bords dont Guy Geoffroy (député UMP), Maud Olivier (députée PS), Chantal Jouanno (sénatrice UDI), Laurence Cohen (sénatrice communiste) ou encore Eva Sas (députée EELV).
Aux côtés des quatre femmes, parties civiles au procès Carlton, et accompagnant chaque année plusieurs milliers de personnes prostituées dans 32 départements, le Mouvement du Nid enjoint les Parlementaires à adopter au plus vite un texte global et cohérent dont les mesures protectrices sont attendues depuis 14 mois sur le terrain : renforcement de la lutte contre le proxénétisme, alternatives et protection offertes aux personnes prostituées, y compris aux victimes étrangères de la traite des êtres humains, interdiction de l'achat d'un acte sexuel, mobilisation pour la prévention.
L'adoption et la mise en œuvre rapide de ses mesures permettraient de franchir un cap historique pour l'égalité réelle entre les femmes et les hommes. C'est d'ailleurs ce à quoi nous invite le Parlement européen qui, pour la première fois en février 2014, a solennellement qualifié la prostitution d'obstacle à l'égalité femmes-hommes et par conséquent de violation de la charte européenne des droits fondamentaux.
Le Mouvement du Nid salue enfin la volonté et l'unité du Gouvernement qui, par la voix de sa Secrétaire d'Etat aux droits des Femmes, Pascale Boistard, s'était engagé à ce que la proposition de loi soit inscrite à l'ordre du jour du Sénat.
Contact presse : Elise Guiraud – 01 42 70 77 79
Les communicants de la superstars n’en ratent pas une. Pour rajeunir l’image de la Ciccone, ils sont prêts à explorer toutes les nouvelles plateformes. Après Snapchat, c’est donc logiquement au tour de Grindr, l’application de drague gay bien connue, de recevoir Madonna herself. Après tout, le web c’est moins casse-pieds qu’une séance de dédicaces qui tourne à l’émeute, ou une invitation sur un plateau télé.
L’application a ainsi ouvert un concours où les usagers de Grindr sont encouragés à reproduire la couverture de l’album «Rebel Heart» avec leur photo de profil. Les premiers fans ont déjà commencé à s’étrangler dans leurs cordons électriques. Six d’entre eux gagneront le CD (dont trois signés par la star, quelle générosité!) et cinq le droit de s’entretenir (virtuellement) avec la reine de la pop, ce samedi de Saint-Valentin. On imagine déjà le dialogue passionnant: Salu? Keski te branche? Act/pas? Pics?
Au Théâtre du Jeu de Paume d'Aix-en-Provence, la compagnie Interlude joue "Les petits moyens", vaudeville pétillant en un acte d'Eugène Labiche. Des éclats de rire pour la bonne cause, puisque cette représentation organisée par le Zonta Club est au profit du Mouvement du Nid.
Infos pratiquesEntrée 20 € / 12 € (- de 12 ans)
Réservations : 04 42 51 39 26 (Cie Interlude) ou au 08 2013 2013 (Théâtre du Jeu de Paume)
Les militantEs de notre délégation des Bouches-du-Rhône seront présents et interviendront à l'issue de cette représentation pour présenter leurs actions, en particulier leur grande campagne consacrée à la prévention de la prostitution étudiante et au soutien des personnes prostituées.
Online Romance – flickr/Don Hankins
La sacro-saint Valentin arrive à grand pas, et si vous ne succombez pas au merchandising 50 nuances de Grey ou au film qui promet d’être un flop faramineux, les entreprises de sites de rencontres ne manqueront pas de vous suggérer de vous y abonner contre espèces sonnantes et trébuchantes. Dimanche dernier, sur France Info, le directeur de Meetic s’affirmait d’ailleurs comme le leader de la rencontre entre célibataires cherchant une relation exclusive. « Meetic est fait pour les célibataires, ce n’est pas un positionnement moral, c’est un choix de cible« .
J’ai interviewé à ce sujet la sociologue Marie Bergström, dont la thèse s’est intéressée aux rencontres en ligne : « Au bonheur des rencontres : Sexualité, classe et rapports de genre dans la production et l’usage des sites de rencontres en France ». Elle nous explique pourquoi la rencontre en ligne « sérieuse » se transforme souvent en rencontre charnelle, au grand dam de monsieur Meetic?
Pourquoi avoir choisi ce sujet de thèse ?
Je voulais travailler sur la sexualité et l’entrée dans la conjugalité. J’ai commencé ma thèse en 2008, peu après la publication en 2007 des premiers résultats de l’INED et l’INSERM sur la sexualité des français. Cette enquête montrait qu’environ 10 % de la population avait déjà fréquenté un site de rencontres, chiffre qui montait à 1 personne sur 3 chez les jeunes de 18 à 24 ans. Cela m’a semblé un bon terrain pour mon sujet : les changements induits par la diffusion de l’usage des sites de rencontres étaient un bon prisme.
Votre thèse s’est basée sur une « recherche empirique originale », de quoi s’agit-il ?
J’ai mêlé des entretiens qualitatifs à une étude quantitative. J’ai contacté Meetic qui m’a autorisée à accéder à sa base de données, qui plus est j’ai aussi réalisé un questionnaire qui a reçu plus de 7000 réponses. Je me suis aussi intéressée aux plateformes de rencontres en elles-mêmes, en interviewant des concepteurs de sites.
Vous parlez d’ailleurs de « standardisation des plateformes »…
Oui, les concepteurs de sites distinguent fortement les sites « sérieux » des sites « pas sérieux ». Ils ont une vision très différenciée de la sexualité homme/femme : les hommes auraient une sexualité débordante, les femmes rechercheraient des histoires d’amour. Aussi ils cherchent à créer des sites aseptisés et pudiques susceptibles de plaire aux femmes, qui deviennent la matière première du site.
Tous les entrepreneurs de sites de rencontres se positionnent par rapport à Meetic, qui est l’archétype du site « sérieux ». Adopteunmec se positionne comme décalé, comme une exception qui confirmerait la règle en affichant un site destiné aux femmes qui seraient les consommatrices d’hommes. Mais c’est un positionnement de façade, la conception différenciée de la sexualité des femmes et des hommes persiste. Par exemple, les profils féminins contiennent un encart « sexo » qui ne figure pas dans les profils masculins. La description des goûts sexuels est censée attirer les hommes mais faire peur aux femmes, comme me l’a expliqué un responsable de site. Dans les profils masculins, l’encart est donc remplacé par un volet où les hommes peuvent détailler le confort de leur appartement.
Donc Adopteunmec est un site standard déguisé ?
L’originalité de ce site est de fluidifier ce que j’appelle la division sexuelle du travail de séduction. Sur les sites de rencontres, c’est aux hommes d’écrire aux femmes. Celles-ci, surtout jeunes, reçoivent énormément de messages. Adopteunmec permet aux femmes de filtrer les messages, car tout le monde ne peut pas vous écrire. On fluidifie donc l’inégale charge de travail, tout en jouant avec cette idée de « monde à l’envers » alors que le schéma reste très standardisé.
Internet est-il devenu un lieu principal où se forment les couples ?
Aujourd’hui le travail, les études et les soirées restent la source première de rencontre de couples au long terme. Les jeunes ont toujours plus d’opportunités de rencontres dans la « vraie vie », et les couples de jeunes se créent finalement peu sur internet. En réalité la mise en couple sur internet concerne surtout des gens plus âgés ou séparés.
Est-ce que maintenant que des sites plus frivoles ont vu le jour (Gleeden ou AshleyMadison pour les rencontres extraconjugales), les sites « sérieux » sont maintenant plus générateurs de rencontres au long terme ?
Pas vraiment. Même si les gens se présentent sur les sites « sérieux » avec l’intention de faire des rencontres sérieuses, elles deviennent beaucoup plus rapidement sexuelles que dans le monde réel. Quand on rencontre quelqu’un au travail, ou dans une activité extra-professionnelle, on prend le temps, de se renseigner, de voir si la personne est célibataire ou non, de voir si on se plaît… Alors que quand on se rencontre après des échanges sur un site, on sait pourquoi on est là, il y a une connotation sexuelle très forte, donc ça va beaucoup plus vite. La temporalité des relations est similaire à une rencontre dans une boîte ou dans un bar, qui sont des lieux de rencontres chargés sexuellement. Quant aux sites de rencontres extra-conjugales, ils ont un nombre d’utilisatrices très faible, et donc génère un nombre de rencontres beaucoup plus faible que les sites « sérieux ».
Voici des articles et des communiqués publiés en février dans le site Sisyphe.
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