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Lutte contre le système prostitutionnel : Le Syngof dénonce des dispositifs inopérants
et des aides financières insuffisantes pour lutter contre la précarisation des personnes prostituées
Indépendamment de tout jugement moral, le Syngof dénonce la précarisation de la santé des travailleurs et travailleuses du sexe du fait de la clandestinité qu’implique nécessairement l’application de la nouvelle loi visant à lutter contre le système prostitutionnel.
Le Syngof alarme sur les effets pervers d’une loi qui éloigne les prostituées des structures de soins préventifs et curatifs ainsi que des associations qui les soutiennent. Il met en garde les pouvoirs publics sur les risques qu’ils font encourir à ces personnes : augmentation des agressions physiques, des viols, des risques d’infections sexuellement transmissibles, et conséquemment de détresse psychologique.
Le Syngof proteste contre le cynisme du ministère des affaires sociales quand il prétend vouloir sortir les personnes du système prostitutionnel avec des aides financières aussi minimalistes que mal définies et n’y voit qu’une fumisterie politicienne n’ayant rien à voir avec ce que doit être une véritable politique de santé publique.
Bertrand de Rochambeau, Président du SYNGOF – 06 48 20 16 77
Morgane Merteuil, Porte parole du STRASS – 06 63 58 45 23
Contact presse :
Emeline Barbé – 06 87 76 17 23 – emeline@eb-conseil.net
Vu sur A cœur pervers, Octavie Delvaux
Un recueil de nouvelles d’Octavie Delvaux, j’en avais rêvé. Si si, j’étais convaincue que ce…
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Vu sur Infernal n°21 de mai 2016
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Hoooooh, boy. All hail the supremacy of the televisual medium.
George R.R. Martin is a fine writer, but not even a bastard hybrid child of Wordsworth and Sir Mix-a-Lot could conjure up verse that would adequately describe the magnificence of those sweet cheeks.”
* Raven On Game of Thrones Recap: S6E3 “Oathbreaker” (Cheeseburger Gothic, via Ms Naughty)
Main post photo via: These Beautiful Photographs Explore The Wide Spectrum Of Gender Identity (Huffington Post) — from Gender as a Spectrum, a new book from photographer Joseph Wolfgang Ohlert.
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Ce n’est plus un secret pour personne, la Chine est accro à la censure sur Internet. Pour rappel, le porn a disparu des réseaux Chinois depuis 2002, entraînant dans sa chute l’esprit fappeur d’un peuple et aussi quelques webmasters. Si le porn est formellement interdit là-bas, il existe quand même des sites de cams à caractère non sexuel et des plateformes de streaming très populaires où des animatrices et animateurs s’adonnent au karaoké, tout ça dans une ambiance teintée d’une douce ambiguïté. Mais après avoir diabolisé la masturbation auprès de toute une génération, le gouvernement chinois s’attaque dorénavant aux symboles phalliques, comme la banane, susceptibles de corrompre sa jeunesse très friande de streaming.
Le ministre de la culture chinois a annoncé qu’il serait désormais interdit de consommer des bananes pour les streamers du pays pour des raison de « cyber-écologie ». Les sites concernés par cette mesure se nomment YY, Douyu ou encore Panda.tv, les équivalents respectifs de Twitch, Periscope et Ustream. Une affaire similaire à la croisade dans laquelle Instagram s’était engagé contre le hashtag #eggplantfriday en 2013, sous l’égide duquel les utilisateurs se photographiaient affublés d’une énorme aubergine. Puis deux ans après à l’emoji aubergine lui-même.
Il est difficile d’imaginer qu’une mesure aussi absurde puisse être totalement respectée. Dire à quelqu’un – et tout particulièrement aux rejetons d’Internet – de ne pas regarder quelque chose, c’est s’attendre à ce que le contraire se produise. « Comment décident-ils de ce qui est provocant quand quelqu’un mange une banane ? » se demande d’ailleurs un utilisateur de Weibo (équivalant de Twitter en Chine, lui aussi interdit). Il est vrai que la portée symbolique d’une banane n’est pas plus sexuée que celle d’un concombre ou encore d’une sucette.
Cette décision fait écho aux propos du secrétaire général du Parti communiste Chinois Xi Jinping qui appelait récemment à « purifier l’Internet » : « Internet est un important vecteur d’idées et doit permettre au meilleure de la culture de se propager et de promouvoir l’énergie positive » déclarait-il à la dernière World Internet Conference en décembre dernier.
On espère que cette mesure anti-banane ne servira pas le projet de purification culturel d’Internet que le président chinois s’est mis en tête, tout comme la croisade anti-aubergine n’a pas fait trembler la jeunesse américaine.
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L’un des plus grands noms du porno espagnol, le réalisateur Ignacio Allende Fernández, est sous les verrous depuis le 25 avril dernier. Plus connu sous le pseudonyme de “Torbe”, il est suspecté de distribution de pédopornographie, d’abus sexuels sur mineurs et de traite d’êtres humains. Il a été arrêté aux côtés de cinq autres personnes, dont un citoyen ukrainien, après qu’une mineure a affirmé à la police qu’elle avait été droguée puis contrainte de tourner des scènes pornographiques pour le célèbre spécialiste du X amateur.
En menant son enquête, la police espagnole a retrouvé plusieurs vidéos dans lesquelles apparaissent des mineures sur le serveur de l’une des sociétés de Torbe. Ces jeunes filles auraient été victimes d’un réseau qui envoie des Ukrainiennes en Espagne pour qu’elles y tournent des films pornographiques, souvent contre leur gré. “Ils attiraient des filles qui avaient des problèmes financiers et leur donnaient les documents nécessaires à leur entrée en Espagne, indique le site de la police espagnole. Une fois arrivées, elles étaient enfermées, souvent dans le bureau dans lequel les tournages ont eu lieu.”
Les autorités espagnoles ont lancé un appel à témoins le 10 mai dernier dans l’espoir d’identifier les victimes de Torbe. Il y a quelques années, le réalisateur s’était vanté de trouver facilement des actrices grâce à la crise économique qui a frappé l’Espagne en 2008 : “Ce sont elles qui viennent me voir.” En 2006, il avait déjà été arrêté après la diffusion d’un film dans lequel figure une actrice de 17 ans. Ignacio Allende Fernández s’en était tout de même tiré en affirmant qu’il avait été trompé sur l’âge de la jeune fille. Cette fois, ce ne sera sans doute pas aussi facile – et c’est tant mieux.
Si vous disposez de la moindre information sur cette affaire, contactez la police espagnole à l’adresse trata@policia.es.
L’ILGA Europe a publié aujourd’hui sa nouvelle carte du continent reflétant les lois, politiques et pratiques affectant les personnes homosexuelles, bisexuelles, trans et intersexes (LGBTI) dans les 49 pays. Elle montre un fossé toujours plus large entre des Etats qui fixent la norme et ceux qui s’enfoncent dans le rejet de ces minorités.
Pour la première fois, c’est Malte qui obtient la meilleure note, 88%, devant la Belgique et le Royaume-Uni. A l’opposé, l’Azerbaïdjan ne réalise que 5% des réformes souhaitables pour les LGBTI, derrière l’Arménie et la Russie. A noter le fort rattrapage de l’Irlande, de la Grèce et de l’Autriche, et à l’opposé, le recul sensible de la Pologne.
La Suisse distancée
Avec plusieurs réformes toujours en cours d’examen, comme l’adoption de l’enfant du conjoint de même sexe, la pénalisation de l’homophobie ou le mariage pour tous, la Suisse continue de végéter dans la partie inférieure du classement (33%), très loin de ses voisins français (67%), autrichien (62%) et allemand (55%). La stagnation est encore plus forte en Italie, lanterne rouge des pays occidentaux avec 20%.
«A elles-seules, les lois ne veulent pas dire automatiquement que la vie est facile – ou même sûre – pour les personnes LGBTI», rappelle toutefois l’ILGA à propos de cet index. Son calcul est le produit d’une pondération des lois et pratiques d’Etat sur les sujets de l’égalité/non-discrimination, de la reconnaissance des familles arc-en-ciel, de la prise en compte des crimes et discours de haine; de la reconnaissance juridique du genre et de l’intégrité physique, des libertés fondamentales, ainsi que du droit d’asile.
Vu sur Julia, BD pornographique d’Olson
Les éditions Dynamite rééditent en un volume de 144 pages intitulé Julia les trois BD…
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Rassemblement mercredi 11 mai à 18H30 en face de l'Assemblée nationale Place Edouard Herriot
Lundi 9 mai, une enquête parue sur France Inter et Mediapart a révélé des faits de harcèlement et d’agressions sexuelles, perpétrés par Denis Baupin, député et vice-président de l’Assemblée Nationale. Grâce au courage des victimes qui ont osé témoigner, Denis Baupin a été poussé à la démission de son poste de vice-président en quelques heures seulement.
Mardi 10 Mai 2016Que vous l’utilisiez en tant que particulier ou professionnel, Facebook ne vous permet pas de partager n’importe quoi. Les conditions d’utilisation du réseau social interdisent la publication de contenus “incitant à la haine ou à la violence, pornographique, ou contenant de la nudité ou de la violence gratuite.” Soit. Le problème, c’est que la créature du Dr. Zuckerberg proscrit aussi la promotion des “produits et services pour adultes”, sextoys compris.
Cette politique anti-sexe est partagée par bon nombre de grands représentants du web populaire. Instagram et Twitter interdisent eux aussi les publicités pour des produits destinés aux adultes, Amazon les écarte tant que possible de ses résultats de recherche, Kickstarter refuse d’accueillir des projets liés au sexe. Tout ceci embête beaucoup les vendeurs de sextoys.
Dans un article publié à la fin du mois d’avril par BuzzFeed News, la journaliste Caroline O’Donovan mène l’enquête sur les petites astuces qui permettent aux vendeurs de sextoys de promouvoir leurs produits malgré les règles de Facebook, Amazon et consorts. “Les vibromasseurs – même les vibromasseurs qui se positionnent comme des produits de découverte sexuelle, contrairement à des produits pornographiques – ont du mal à s’en sortir”, concède Liz Klinger, directrice de la startup de sextoys Lioness.
La jeune femme n’a d’autre choix qu’user de moyens détournés pour se rendre visible sur les réseaux sociaux. A l’aide d’un spot dans lequel des jeunes femmes lisent des messages de clients satisfaits, Liz Klinger est parvenue à introduire Lioness sur Facebook et Instagram. Habile, mais peu fructueux : pour renvoyer les internautes vers son site officiel sans se faire attraper pour publicité interdite par le réseau social bleu, la startup a dû jongler avec les liens. La page Facebook officielle de Lioness, qui a diffusé la vidéo, renvoyait d’abord au compte YouTube de la startup. Là, les plus courageux ont trouvé un lien vers lioness.io.
D’autres commerçants spécialisés dans les sextoys ont trouvé des moyens plus directs d’envoyer du trafic vers leur site officiel depuis Facebook. La startup Comingle, par exemple, a fait l’objet d’une publication d’Indiegogo pour le lancement de son nouveau vibromasseur personnalisable. Parce qu’Indiegogo est une plate-forme de crowdfunding et pas un vendeur de jouets pour adulte, Facebook n’a rien trouvé à redire.
Pour déjouer les conditions d’utilisation de Facebook et Twitter, on peut aussi les mettre à contribution. C’est ce qu’a fait Robert Rheaume en achetant une entreprise qui commercialise des préservatifs sans produits chimiques, Sir Richard. Les deux réseaux sociaux n’interdisent pas la promotion de moyens contraceptifs ; grâce à sa nouvelle acquisition, M. Rheaume peut facilement renvoyer leurs utilisateurs vers ses autres sites, y compris celui de sa marque de sextoys Jimmyjane. “J’ai acheté cette société pour en faire mon cheval de Troie !” a-t-il avoué en riant à Caroline O’Donovan.
Reste à déjouer Amazon. Aux Etats-Unis, le géant du commerce en ligne prend soin de ne renvoyer que les internautes les plus décidés vers son rayon sextoys. Si vous cherchez un nouveau vibromasseur, taper votre nom dans le moteur de recherche d’Amazon ne suffira pas : il vous faudra orienter votre recherche vers la bonne catégorie. Le problème, c’est que tous les gens qui souhaitent acheter un gode ne sont pas au courant. Pour rendre leurs produits plus facilement accessibles sur le géant du commerce, les vendeurs de sextoys font appel au maquillage. C’est ainsi qu’un vibromasseur devient un outil de massage sportif, vendu accompagné de sa bouteille d’eau. Une tactique qui n’est pas sans rappeler l’époque des catalogue La Redoute. Un jour, peut-être, Internet dépassera son moment puritain.
Après l’article sur la double pénétration, Stella Tanagra nous fait le plaisir de partager avec notre belle communauté une partie de ses photos érotiques afin d’alimenter la section dédiée aux photos érotiques des lectrices ou des lecteurs (et oui, bien entendu, c’est aussi ouvert aux belles photos érotiques de mes lecteurs, n’hésitez pas 🙂 ). Voici…
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S’il y a beaucoup d’articles sur la masturbation féminine et les godemichets, en revanche, et dieu sait qu’ils en utilisent sous forme de mouchoir,...
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On n’a pas toujours le temps de tout lire, tout écouter, tout regarder, sur le net ou ailleurs. Voici un rapide tour d’horizon d’infos en tout genre que nous avons trouvées intéressantes. Bon sexorama… Culture du viol Le 2 mars dernier, l’association Mémoire traumatique et Victimologie révélait les résultats d’une enquête réalisée avec l’institut...
The post Sexorama : ce que vous avez (peut-être) loupé ces dernières semaines appeared first on Le Cabinet de Curiosité Féminine.
http://www.lecourrier.ch/138928/quand_la_defense_des_lgbt_sert_la_xenophobie|Création d’une section homo à l’UDC, promotion du tourisme gay en Israël, islamophobie instrumentalisée… les milieux LGBTIQ dénoncent les politiques xénophobes et impérialistes menées au nom de la défense de leurs propres droits. Sous l’égide du parti de gauche romand Solidarités, un atelier sur ce sujet a récemment réuni militants et chercheurs à Lignerolles (VD). «L’homo-nationalisme sert à justifier l’impérialisme et la néo-colonisation, sous prétexte d’un choc sexuel des civilisations», relève Tarik Safraoui responsable de la commission LGBT du Nouveau Parti anticapitaliste français. Il y aurait donc à nouveau deux blocs. D’un côté, l’Occident civilisé, homophile et respectueux des libertés individuelles et, de l’autre, les pays du Sud autoritaires et rétrogrades.
«Fille de» ou «fils d’une machine à fantasmes», cela signifie-t-il forcément être né sous une bonne étoile? Pas si sûr. Si la question revient régulièrement dans les colonnes de la presse people, elle n’en demeure pas moins brûlante de vérité pour celles et ceux qui ne se remettent pas du fardeau de parents célèbres. Qu’importe la cuillère en argent dans la bouche à la naissance si le destin vous rappelle sans cesse que vous n’êtes à jamais qu’une pâle copie de l’original(e)… Le dernier en date à relancer le débat, c’est Rocco bien sûr.
Sous ses dreadlocks, l’ado de 15 ans est visiblement un peu à côté de ses pompes. Normal à son âge. Mais si en plus, cette transition houleuse vers l’âge adulte se fait sous l’œil des médias du monde entier, rien ne va plus. Surtout que lorsqu’elle ne fait pas de zèle avec son éducation trop stricte, son icône gay de mère n’hésite pas à dégainer sur les réseaux sociaux en exposant son fiston dans les pires postures.
Hache de guerre
Vu sous cet angle-là, être le fils de Madonna ressemble en effet plus à un cauchemar qu’à un cadeau. Saoulé par le comportement de sa mère, l’enfant terrible avait fini par se réfugier chez son père Guy Ritchie à Londres en décembre. Refusant tout contact avec elle, il s’estampillait «son of a bitch» sur son compte Instagram. Autrement dit, un compliment pour l’éternelle dévergondée du showbiz, dont le dernier hit s’intitule justement, «Bitch I’m Madonna». Une fois son Rebel Heart Tour terminé, elle s’est empressée d’aller le rappeler à la raison entre quatre yeux. Chronique d’une querelle familiale ultra-médiatisée, la hache de guerre serait en passe d’être enterrée entre le fils et la mère rebelle.
D’autres ne peuvent malheureusement pas en dire autant. Si on ne déplore aucun nuage dans le ciel des familles Spears et Beckham pour l’instant, certains ne se remettent pas de leur enfance fracassée. On pense immédiatement à Ludovic Chancel, le fils de Sheila qui n’existe médiatiquement qu’à travers le récit de son enfance volée, abandonné selon lui par sa mère au profit de son public. «Après mon enfance passée dans une bulle isolée du monde, cette prise de contact avec la réalité est pour le moins brutale. Je fais connaissance avec la violence des autres, leur jalousie haineuse, la férocité avec laquelle ils s’attaquent aux plus faibles. Les jours heureux de ma prime enfance ne sont plus qu’un lointain souvenir», écrit-il dans son livre exutoire «Fils de», paru aux Editions J’ai Lu en 2005. Evidemment, l’ouvrage n’a rien arrangé aux difficultés de leur relation.
«J’aurais préféré accoucher d’un petit chien.» Brigitte Bardot
Dans le registre des mamans qu’il vaut mieux avoir en photo qu’en pension, il en est une autre qui a toujours plus brillé par ses déclarations chocs et grossières que par ses talents d’actrice. Il s’agit de Brigitte Bardot bien sûr. «J’aurais préféré accoucher d’un petit chien»: l’ex-sex-symbol des années 60 Brigitte Bardot ne fait pas dans la dentelle lorsqu’elle évoque sa grossesse et son accouchement qu’elle compare à «une tumeur» dans ses mémoires, «Initiales B.B.» parues chez Grasset en 1996. Aussitôt dit, aussitôt son fils Nicolas lui colle un procès aux fesses depuis la Norvège, où il construit sa vie loin de son illustre maman.
L’ombre du gigantesque Depardieu n’aura pas contribué à atténuer le mal de vivre de son écorché de fils Guillaume, décédé des suites d’une pneumonie à 37 ans. Quant à Maria Riva, fille unique de Marlene Dietrich, elle se souvient d’une mère abusive et jalouse aux colères homériques. Violée à 20 ans par une amie lesbienne de ses parents, elle ne reçoit aucun soutien et déclare avoir été d’une certaine façon formée pour ça: «toujours consentante, conditionnée à ce qu’on se serve de moi, sans identité propre». Courage, Rocco!
La journée de lundi fut placée par mon Maître sous le signe de l’humiliation.
1ere étape : alors qu’un besoin physiologique important me poussait à me rendre aux toilettes, Maître m’a demandé de l’attendre et d’enlever mon peignoir (lorsque N/nous sommes chez N/nous, si je n’ai pas eu d’ordre contraire, je dois être totalement nue et Maître m’autorise un peignoir lorsqu’il fait un peu plus frais). Il a fixé les bracelets en cuir à chacun de mes poignets puis les a réunis dans mon dos, ainsi attachée, j’ai dû m’assoir sur la cuvette des toilettes en écartant mes cuisses le plus possible et c’est dans cette position humiliante, alors qu’il usait de sa cravache sur mes nichons de femelle que j’ai été obligée de faire mes besoins. C’est toujours dans cette même position que Maître a enfourné sa queue dans ma bouche et empoigné mes cheveux pour m’obliger à le sucer, puis il m’a doigté et j’ai joui ainsi sur la cuvette des toilettes comme la dernière des trainées…
2éme étape : un peu plus tard dans la matinée, alors que N/nous parlions de ce qui était arrivé le matin, j’expliquais à Maître combien j’avais du mal à accepter tous ces changements en moi. Cette impression de passer des limites que je m’étais toujours imposées depuis 10 ans que je suis sa soumise et notamment tout ce qui tourne autour de l’anal (évidemment pas en ce qui concerne mon corps, mon trou plissé lui appartient depuis le début). Le sujet n’avait jamais été abordé clairement mais le fait que Maître ne m’ait jamais rien demandé d’explicite m’avait toujours arrangé.
Mais ça c’était avant, comme Il venait de sortir de sous la douche, Il a pensé que c’était le meilleur des moments pour remédier à cette grosse lacune dans mon éducation, c’est ainsi que je me suis retrouvée à lécher l’anatomie de mon Maître dans les moindres replis pendant qu’Il me défonçait à l’aide de son Gode préféré. C’était la première fois que je le faisais, et même si dans ma tête je me refusais totalement à ce genre de pratique, il faut reconnaître que j’y pensais très souvent, et ceci expliquant certainement cela, ma jouissance fut si puissante, si intense que je me suis mise à pleurer tout en continuant à explorer de ma langue l’intimité de mon Maître.
J’étais dans un tel état qu’Il a dû tout arrêter afin de me prendre dans ses bras et d’attendre que je me calme. Comme quoi, les barrières les plus fortes sont parfois celles qui amènent le plus de plaisir lorsqu’on les franchit. Serais-je capable d’aller plus loin ?
3éme étape : mais la journée « humiliation » ne s’est pas arrêtée là, car en début de soirée Maître avait décidé de bien appuyé sur le fait que je ne suis qu’une esclave, une chienne ne méritant qu’une chose, être rabaissée selon son désir et son envie. Ainsi, alors que je lui disais qu’il fallait que je me rende aux toilettes, Il m’a demandé de me déshabiller et de me mettre à 4 pattes. Il a fixé la laisse à mon coller et c’est ainsi qu’Il m’a conduit jusqu’au bac à douche dans lequel j’ai dû me mettre accroupie, cuisses bien ouvertes afin qu’Il voie tout. Retour à 4 pattes dans la pièce principale, où Il m’a asséné quelques coups de ceintures bien sentis (comme Il me l’a précisé, je n’avais rien à me reprocher mais cela fait partie du dressage, dans ces cas-là Il me console toujours en me prenant contre Lui). La séance s’est terminée à genoux dans le bac à douche, où j’ai servi d’urinoir à mon Maître qui s’est ainsi vidé sur moi et dans ma bouche…
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