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Les rois mages espagnols sont passés avec leurs cadeaux vibrants de toutes les couleurs et toutes les formes. Ils doivent bien se la donner après le boulot. Et comme nous avons été bien gentils, nous voilà récompensés par un paquet surprise dans lequel nous découvrons un beau sextoy à mouvement rotatif : le Bonnie and Clyde.
Lors du test du précedent jouet de chez Adrien Lastic, nous avions été épatés par la profusion de formes au catalogue. Et vu la qualité de l’engin, il était clair que nous allions refaire un tour là-bas pour les fêtes. Aurions-nous cette fois un design encore plus fou ? Pour homme ? Pour femme ? Les deux, mon capitaine ? Finalement, plutôt que de risquer une forme plus originale que pratique, ils sont restés sur du classique mais avec un twist. Et en l’occurence, c’est le cas de le dire. Le Bonnie and Clyde fait partie de la grande famille des vibros rabbit popularisée par Samantha dans la série Sex In The City. Leurs caractéristiques principales sont un appendice de stimulation clitoridien et un mouvement rotatif du membre principal. Ça promet.
J’ai dit classique mais chez Adrien Lastic, la notion de classique est différente des autres. Son look de culturiste en slip de combat noir lui donne un coté carrément badass qui impressionne un peu. Comme ses camarades, il est recouvert de silicone 100% sans phtalates avec un toucher super doux. Un corps d’acier dans un gant de velours. Deux moteurs indépendants font vibrer et tourner ses extrémités. Chacun dispose de 10 modes de vibration différents, modifiables via la télécommande universelle ou directement sur l’engin, ce qui est en fait plus pratique. Le terme d’engin n’est d’ailleurs pas usurpé car la bête affiche fièrement près de 23 cm de long pour un diamètre de 3,9 cm. Pour les moins gourmandes, il existe heureusement un modèle plus modeste : le Mini Bonnie qui fait juste 19 cm de long pour 3,1 de diamètre.
La différence entre le Bonnie and Clyde et les rabbits de base se situe dans un axe de mouvement supplémentaire. En plus de la rotation habituelle, les facétieux ingénieurs ont rajouté au membre principal un effet d’ondulation comme une vague. De quoi faire monter au 7ème ciel en deux temps, trois mouvements. Doté d’une batterie rechargeable par USB et waterproof, la norme pour la plupart des accessoires dans cette gamme de prix, il permet au moins de se débarrasser de la corvée de faire mousser son bain à la main.
Alors qu’il est sensé nous apporter joie et bonheur, le déballage rituel nous a plongé dans la frustration. Rien d’imputable au bel outil, il semble génial, mais il est bien trop gros. Minize n’aime pas utiliser les sextoys exagérément grands et préfère ceux à dimension humaine (juste en proportion, hein, il est tellement drôle de jouer avec un objet extraterrestre ou complètement loufoque…). Une impression confirmée avec la mise en route car ses spasmes donnent vraiment envie de l’essayer sur le champ. Après quelques minutes de réflexion, c’est avec désarroi que nous décidons de ne pas tenter le coup. Bien que Minize rêve de sentir cette vague de douceur tournoyante, le jouet est bien trop grand à son goût. Au lieu de l’abandonner dans notre table de nuit, nous l’offrirons à quelqu’une qui en profitera vraiment. Il y avait bien Carmina, la reine du toy, la pro du vibro, mais son tiroir doit sûrement déjà déborder de ce genre de babioles sataniques…
Alors pourquoi ne pas plutôt en profiter pour dévergonder une âme pure dans notre entourage ? Cela tombe bien car après avoir fait le tour des intéressées potentielles nous avons trouvé notre pauvre Justine, innocente, vierge de toute dépravation motorisée : Anna. Nous lui laissons la parole.
Anna et Clyde Grey
Like a virgin…
J’ai un peu honte de l’avouer mais c’est vrai, je n’ai jamais utilisé de sextoy auparavant. Je sais pourtant que je suis loin d’être la seule femme dans ce cas mais je ne peux pas m’empêcher de culpabiliser un peu, c’est comme ça. Beaucoup de personnes en parlent ouvertement et même ne se cachent pas d’en utiliser en couple ! Cette idée ne m’a jamais traversé l’esprit. A quoi bon si l’on a déjà un partenaire pour profiter de ces moments-là ? D’ailleurs même célibataire, je n’ai jamais cherché non plus à me toucher toute seule. Ce n’est pas que je n’en ressentais pas le besoin quelques fois, juste que l’idée de le faire seule ne me convenait pas. Alors regarder des films porno, vous imaginez. Vous pouvez parler d’une vraie débutante. Pourtant de plus en plus de femmes en utilisent et j’en entends tellement parler qu’il fallait que je saute le pas, ne serait-ce que pour me faire ma propre opinion sur ces effets que l’on me décrit comme formidables.
Touched for the very first time
Préparation mentale. L’appréhension est immense. Ce n’est qu’un objet censé me donner du plaisir pourtant je tremble simplement en ouvrant la boîte dans mon lit. Je prends l’objet convoité d’une main peu assurée. Un bon point, il est extrêmement agréable au toucher. Par contre, mon Dieu, comme il est grand. Je suis impressionnée par la taille du « sexe ». En le parcourant de mes doigts, ma première réaction fut : « Oh bordel, je vais jamais y arriver !« . Mais pas question de m’arrêter là. La deuxième partie pour le clitoris est parfaite par contre, je suis un peu rassurée. Avant de passer à l’action, je fais d’abord connaissance avec mon nouveau camarade en testant les différents modes de puissance, histoire de voir ce que cela donne sans pour autant le mettre tout de suite sur mon sexe. Un premier rendez-vous en quelque sorte, la partie curiosité de l’engin.
Maintenant que les présentations sont faites, je suis plus à l’aise pour me jeter à l’eau. Je m’installe confortablement et lance 50 Nuances de Grey. J’étais sérieuse quand je disais que le porno n’était pas vraiment une source d’envie pour moi. Je me retrouve plutôt dans le côté inexpérimenté de la vierge qui va dépasser ses limites auprès d’un homme qui la fait physiquement rêver, même si je fais l’impasse sur son côté sado. J’ai beau être novice, je connais mon corps et c’est avec la partie clito que j’ai voulu commencer mon aventure. Cette première fois fut aussi intense que rapide. J’ai été impressionnée par la rapidité des effets que cela a eu sur moi avec un premier orgasme atteint en moins de deux minutes. Je ne m’attendais carrément pas à des stimuli aussi efficaces. Ne voulant pas arrêter en si bon chemin et tellement satisfaite de mon jouet, j’ai retenté l’expérience encore six fois en commençant à jouer avec les puissances et les variations pour faire durer ces moments et prendre encore plus de plaisir. Inutile de dire que les résultats furent tout aussi concluants. J’ai fini la tête dans la couette et les cheveux emmêlés. Je ne pensais vraiment pas devenir accro au Bonnie and Clyde en quelques minutes alors qu’il ne faisait pas partie de mon existence jusqu’à présent. Terrassée et n’ayant de toute façon pas de lubrifiant sous la main, je décide de remettre à plus tard la suite de de la découverte de mon nouveau meilleur ami.
J’ai laissé passer plus de temps que je ne le pensais entre le test final en interne et ma première fois. Non pas que je sois déçue de l’expérience, c’est même plutôt l’inverse, juste que la partie clito me satisfait tellement que je n’ai pas ressenti le besoin d’aller plus loin. Je crois même que j’ai développé une sorte d’addiction à mon BFF rose. Ah elle est belle la novice qui tombe amoureuse de son toy. Pas question de m’arrêter là vu le chemin parcouru, ce soir j’y met un bon coup, histoire de finir le test dans les règles. Enfin bon, c’est ce que j’avais prévu avant de faire ma truffe et d’acheter mon lubrifiant sans bien regarder l’étiquette. Oh, j’ai bien fait attention à prendre à base d’eau pour ne pas abimer mon Bonnie avec un lubrifiant à base de silicone. Par contre le coup du spécial mentholé, je ne l’ai pas vu venir… Après l’application généreuse que vous pouvez imaginer, il a bien dû se passer 2-3 secondes avant qu’il n’agisse et que l’information ne parvienne à mon cerveau. S’ensuit saut + course dignes des olympiades en direction de la salle de bain, nettoyage à grande eau mais le mal est fait. Je suis juste en état de sangloter dans mon lit en serrant très fort mon doudou sur batterie.
Avance rapide jusqu’à aujourd’hui, Oldchap m’a dépanné avec le produit adéquat et je m’y remets. Histoire de me mettre en condition et d’activer mes fonctions lubrificatrices naturelles, je commence gentiment par une petite session externe. Elle se révèle d’ailleurs plutôt difficile à interrompre pour passer au plat de résistance. Avec une entrée comme celle là, j’ai tendance à me resservir sans toucher au reste du repas. Au bord du précipice, je passe à la suite et prépare la zone et l’outil comme il faut. Position allongée sur le dos, un bon gros coussin derrière la tête et c’est parti. Ça passe avec un peu de difficulté mais ça passe quand même. Un petit instant de repos pour me décontracter et m’habituer au volume, j’allume le sextoy et le voilà qui commence à faire ses tours à l’intérieur de moi. La sensation est agréable et plutôt originale. Je n’ai jamais ressenti ça avant, les hommes font rarement l’hélicoptère dans mon vagin pendant l’amour, dehors oui mais dedans non. Pour autant, rien de formidable ou de nature à me faire approcher d’un orgasme, dommage.
Pas question de rester sur ma faim alors je décide de lui donner un petit peu d’aide en lui faisant faire en même temps de longs mouvements de va-et-vient. Une plutôt bonne idée vu les gémissements que je m’entends lancer à travers la chambre. Je continue comme cela pendant plusieurs minutes sans parvenir à atteindre le point de non-retour. J’ai beau essayer de l’emmener assez loin en moi pour mettre en contact sa petite partie charnue avec la mienne, rien à faire, il est bien trop gros et long pour que cela soit possible. Cela aurait pourtant été le feu d’artifice garanti. Tristesse. En fait le seul avantage d’avoir un calibre pareil, c’est que je peux le lâcher complètement et il continue à tourner tout en restant bien en place. Malheureusement je suis maintenant en sueur, je commence à fatiguer et ressentir une légère gêne. Il ne m’a pas emmené tout en haut mais il a quand même eu de l’effet. Il ne me reste plus qu’à repasser en stimulation externe pour me finir en beauté, j’ai bien pris le coup de main de ce côté-là.
Lavée, coiffée et au chaud dans mon gros pyjama, je fais le bilan de ces expériences. J’ai définitivement appris des choses sur moi-même grâce au Bonnie and Clyde. L’imagerie un peu crade et vulgaire que j’avais de ce genre d’engin a vibré en éclat. Alors oui, il ressemble à un gros sexe prêt à vous exploser mais en fait il est capable de beaucoup de douceur. Attention quand même, pour celles qui aiment, il peut aussi vous bousculer bien comme il faut. Ce n’est juste pas mon truc. Bizarrement, la partie que l’on pourrait considérer comme principale ne l’est pas pour moi. Elle est utile et efficace mais tout de même secondaire. Du moins en solo. Avec un partenaire pour le piloter et s’occuper de moi en même temps, ce sera sûrement différent. Je repasserai peut-être ici pour vous en parler, qui sait ? En attendant de le trouver, j’ai de quoi patienter sans m’ennuyer avec mon jouet préféré.
Le Bonnie and Clyde est en vente sur notre boutique pour 84,50 €
Le vendredi 10 mars est un beau jour pour le porno. Aujourd’hui, XConfessions a révélé le premier court-métrage gay de son catalogue, Refugee’s Welcome. Le célèbre photographe et réalisateur Bruce LaBruce y raconte l’histoire d’un réfugié syrien qui trouve l’hospitalité en Allemagne malgré la barrière de la langue.
Comme tous les films diffusés par XConfessions, Refugee’s Welcome est basé sur un témoignage anonyme. Cette fois, c’est celui d’un certain QuentinQueer : “Il y a quelques années, j’ai été déplacé de mon pays natal à cause de guerres qui n’ont rien à voir avec moi et qui sont hors de mon contrôle. J’ai été contraint à voyager pendant des mois jusqu’à ce que je finisse dans un pays si différent du mien que je n’aurais jamais cru pouvoir le considérer comme ma maison. Et puis j’ai rencontré un homme”.
Erika Lust, la créatrice de XConfessions, n’est pas peu fière de Refugee’s Welcome. Dans un petit billet rédigé spécialement pour l’occasion, elle écrit : “brutal, doux, sexy, romantique et terriblement émouvant, ce film raconte comment nos différences peuvent devenir des similarités ; comment, dans un monde sans dessus dessous, l’amour et le désir restent les plus grandes forces qui soient”. Le court-métrage est disponible ici.
Au début de l’année 2017, le Mari a déclaré : Allez, on va faire une exégèse de tous les albums de notre discothèque sortis en 1967. Et Dieu sait qu’il y en a pléthore dans icelle discothèque, si bien que je pense que nous n’aurons pas le temps de tout écouter. Pour vous dire, il doit y avoir la même proportion de disques de 1967 dans notre discothèque conjugale que de personnes nées en 1984 dans mon entourage proche. Malgré tout, je vais essayer de vous faire un petite sélection de disques que j’ai écoutés ou que j’ai envie d’écouter avec le millésime de 1967.
Ce qui est encore désolant, c’est qu’il n’y aura encore une fois pas beaucoup de place pour la musique française. Pas que je puisse trouver des albums français de qualité enregistrés cette année-là, mais force est de constater qu’il faut trier le bon grain de l’ivraie. Et comme mon univers des années 1960 est très marqué par la pop anglaise et le rock américain, avec quelques infidélités au jazz et à l’afro-samba, je risque de ne pas être aussi aventureuse que je ne le souhaiterais dans cette sélection de dix albums.
1 – The Doors, The Doors (janvier)
Le premier album du groupe mené par Jim Morrison, enregistré durant le mois de septembre 1966, frappe fort. Les claviers psychédéliques de Ray Manzarek, les thématiques abordées (le voyage, les errances psychologiques…) ont très vite élevé l’album au rang de culte. Même si les sonorités sont très ancrées dans leur époque, ce disque a tellement imprégné ma vie que je n’arrive même pas à croire que le temps a passé depuis que cet album existe. Il existe ainsi des œuvres au parfum d’éternité qui se sont pourtant inscrits dans une certaine temporalité. Les mystères de la création.
2 – The Byrds, Younger Than Yesterday (février)
Premier album après le départ du co-compositeur du groupe Gene Clark, si les reprises de Bob Dylan y font toujours légion (My Back Pages), David Crosby prend de plus en plus de place dans l’écriture des chansons originales aux côtés du compositeur principal Roger McGuinn. Moins psychédélique que l’album précédent Fifth Dimension(1965), plus empreint du country-rock inscrit dans l’ADN du groupe, il ne parvient pourtant pas à faire remonter la côte du groupe auprès du public.
3 – The Velvet Underground & Nico, The Velvet Underground & Nico (mars)
Album que j’ai beaucoup écouté l’an dernier suite à son achat par le Mari lors de l’exposition New York Extravaganzaà la Philharmonie. Je l’avais découvert à l’époque où mon oncle numérisait ses vinyles et où j’ai récupéré les fichiers numériques. Le groupe fondé autour de Lou Reed et de JJ Cale a eu une gestation assez lente, mais à la faveur d’un « mécénat » d’Andy Warhol, ce premier album a vu le jour. Et quel album détonnant par rapport à l’esprit de l’époque, mais quelle belle préfiguration du punk new-yorkais qui s’est développé par la suite. Bref, un classique qui peut parfois mettre mal à l’aise les oreilles non-averties.
4 – The Jimi Hendrix Experience, Are You Experienced? (mai)
Autre album qui a marqué mon adolescence et celle du Mari, si bien qu’il se retrouve en deux exemplaires dans notre discothèque. Et encore un premier album qui frappe très juste, entre blues psychédélique et vraie guitare virtuose. Pour autant, les oreilles non-averties auraient tendance à y voir du pur guitar heroismbourrin et ce ne serait pas rendre justice à toute l’âme blues contenue tant dans le jeu de Hendrix que dans l’orchestration choisie.
5 – The Beatles, Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band (juin)
J’ai personnellement un énorme problème avec cet album : alors que la doxa Beatles admet que c’est le plus grand album, le plus fou et le plus avant-gardiste du groupe, je trouve d’une part qu’il n’est pas au niveau d’Abbey Road et de Revolver (bien plus abouti techniquement, bien qu’étant enregistré avant), et d’autre part qu’il est justement trop ou pas assez fou pour que j’en comprenne l’essence ou la structure. Il y a juste cette anomalie qu’est A Day In The Life, ma deuxième chanson préférée des Beatles, que j’aurais davantage vu conclure Revolver en termes de cohérence.
6 – The Bee Gees, Bee Gees 1′st (juillet)
Suite à la claque que j’ai prise un jour en écoutant Holiday à la radio, je me suis dit que je ne connaissais pas assez cette partie de carrière des frères qui méritent davantage que la caricature de disco dans laquelle la postérité les a enfermés. Je me dis qu’un jour, j’achèterai ce troisième album du groupe pour en comprendre l’essence dans leur jeunesse.
7 – Claude Nougaro, Petit taureau (novembre)
Un album qui contient Toulouse, s’il est cohérent, ne peut que contenir de vrais moments de grâce. Encore un album que je me tâcherai de découvrir prochainement pour me pardonner de n’avoir compris la portée de Nougaro que post-mortem.
1 – The Rolling Stones, Their Satanic Magesties Request (décembre)
Album adoré du Mari qui me l’a fait découvrir dans le cadre de l’exégèse des albums mono des Stones, c’est pourtant un album mal aimé du public, du fait d’une structure encore une fois psychédique et d’une supposée similitude avec Sgt. Peppers, dans le cadre d’une rivalité médiatique avec les Beatles. De rivalité et de similitude, il n’en est en fait pas grand chose : en effet, Johnny et Macca ont assuré les chœurs sur certains titres et ils apparaissent de dos sur la pochette. D’autre part, les deux albums ont été enregistré dans le même temps et si Their Satanic Magesties Request est sorti postérieurement, c’est à cause de la peine de prison qu’encouraient Mick Jagger et Keith Richards pour détention de stupéfiants.
9 – Bob Dylan, John Wesley Harding (décembre)
Si cet album est surtout connu pour être celui qui contient la version originale de All Along The Watchtower, il est surtout un album de transition philosophique pour Robert Zimmermann, suite à son accident de moto survenu en 1966. Si à la maison, nous avons essentiellement ses albums, voire certains exemplaires en double, jusqu’à cet accident, nous avons quelque peu décroché à partir de Blonde On Blonde. Nous procurer John Wesley Harding serait une bonne résolution pour avoir une vision un peu plus complète de sa carrière.
10 – Leonard Cohen, Songs of Leonard Cohen (décembre)
Encore un artiste que je connais de nom, dont je visualise la signature musicale, mais dont je n’ai pas exploité la carrière plus qu’il ne le faudrait. Si je devais un jour me concentrer dessus, je commencerais par ce premier album, qu’il a écrit alors qu’il avait déjà bien entamé sa carrière de poète. J’ai un bon a priori sur cette album, qui contient quand même les perles Suzanne et So long, Marianne, et j’ai clairement envie d’en savoir davantage.
A bientôt pour de nouvelles aventures musicales.
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