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Cher Docteur, j’aime jouer avec l’anus de mon compagnon.
Je sens bien qu’il est un peu gêné, mais il se laisse tout de même faire lorsque j’introduis un doigt… Mon idée est de le pénétrer comme si j’avais une verge. Je pensais lui offrir un gode-ceinture pour la Saint-Valentin, pour lui faire comprendre mon plan. Pensez-vous que ce soit une bonne idée ?
La réponse de notre sexologuePour répondre à votre question, je dirais que je ne suis pas sûre que ce soit le moyen le plus délicat de lui faire comprendre ce dont vous avez envie… Mais c’est certainement le moyen le plus direct.
Vous y prendre aussi brutalement risque de le choquer et vous expose à un refus de sa part. Sauf, bien sûr, s’il y a déjà pensé et n’ose pas vous en parler.
Mais dans la mesure où vous ressentez que vos caresses le gênent encore… Qu’il se contente de vous laisser faire je ne pense pas que ce soit le cas. Pour ma part il me semble qu’il serait préférable d’y aller de façon plus progressive. Vous pourriez lui parler de vos fantasmes de pénétration où vous joueriez le rôle de l’homme.
Vous pourriez, par exemple, lui dire que vous aimeriez comprendre ce qu’il ressent quand c’est lui qui vous pénètre. Ou qu’il vous arrive d’avoir envie d’inverser les rôles à l’aide du cadeau que vous avez envie de lui offrir.
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Craint·e·x·s, respecté·e·x·s, souvent méprisé·e·x·s, les membres de la communauté hijra ou «3e genre» et les autres femmes trans* tentent de (re)trouver une place dans la société indienne.
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Nous sommes nombreuses à considérer le célibat comme une fatalité, un échec, une malédiction parfois. On se remet en question, on s’interroge sur ce qui peut en être la cause, sans réellement trouver la solution. On pense parfois qu’il est illusoire de trouver un équilibre dans sa vie lorsqu’on est célibataire. Le bonheur des femmes doit-il être enchaîné à la présence d’un homme dans leur vie ? Peut-on être heureuse sans homme ? Peut-on être heureuse sans sexe ?
Il y a quelques années, suite à une rupture amoureuse, j’avais décidé de ne plus rencontrer un seul homme et de vivre sans sexe. Ça a été difficile, mais cela l’a-t-il été plus pour moi ou bien pour eux ? Le printemps venant, avez-vous remarqué, mesdames, que c’est la période durant laquelle les nouvelles conquêtes arrivent et les ex reviennent ? La sève ne monte pas que dans les plantes, durant le mois de mars… Accepter toutes les propositions reviendrait à approuver les histoires sans lendemains. Les histoires sans lendemains sont les plus difficiles à vivre, car souvent, un seul des deux amants a décidé qu’elle le soit et c’est généralement l’homme !
Est-il bénéfique de vivre sans sexe ?Est-ce que vivre sans sexe peut nous protéger contre les prédateurs de l’amour ? Tout le monde connaît la célèbre organisation d’entraide contre l’alcoolisme « les alcooliques anonymes », s’il en existait une nommée « les amoureux anonymes », combien serions-nous à nous y inscrire ? Nous sommes nombreuses à ne pas rechercher seulement le sexe mais à l’associer avec l’amour. Lorsqu’un homme nous propose de vivre une histoire, elle inclut bien évidemment le sexe, mais parfois, ils ne souhaitent rien d’autre et essayent de nous faire croire le contraire par des « je t’aime », « je ne te quitterai jamais »… Ils sont nombreux à y parvenir hélas ; est-ce que s’interdire toute relation sexuelle peut nous préserver d’une nouvelle souffrance amoureuse ? Ne plus faire l’amour avec ces hommes, parfois si tentants, nous préserve-t-il d’une nouvelle déception sentimentale ? Si on décide de ne plus vivre de nouvelles relations, elles n’existeront jamais. Ça nous permet de ne souffrir d’aucune rupture mais nous pouvons être frustrées de ne pas savoir ce que cette histoire aurait donné. C’est un dilemme !
Le célibat engendre-t-il systématiquement la solitude ?J’ai souvent attendu sans espoir, que le téléphone sonne, qu’un SMS ou un E-mail arrive et je ne suis pas la seule, c’est certain. Nous avons de nos jours, de nombreux moyens de communication et de réseaux sociaux, certains hommes semblent les connaître au moment de la rencontre et les oublient au bout de quelques jours, quelques mois ou parfois, quelques années ! Doit-on pour autant considérer le célibat comme une fatalité ? Malgré le succès que je peux avoir auprès des hommes, toutes les fois où ils se sont joués de moi, où ils ne sont pas tombés amoureux et n’ont pensé qu’au sexe, je ne suis demandé si j’étais « aimable », au sens littéral du terme. Vivre sans sexe peut être une solution pour éviter les désillusions amoureuses…
Comment vivre seule ?Les religieux catholiques vivent sans sexe, ils se disent tous aimés d’un seul et même être : « l’être éternel », Dieu, sans jamais aucune jalousie ou rivalité entre eux. Dans certaines histoires d’amour, on compare notre homme, à un dieu, mais si nous étions aussi nombreuses à l’aimer que ces fidèles religieux aiment le leur, il n’y aurait plus aucune fidélité… Vivre sans sexe peut nous permettre de nous retrouver nous-même, apprendre à nous redécouvrir, à nous aimer, à nous chouchouter, ne pensant à personne d’autre qu’à la seule personne avec qui nous vivons depuis la première seconde de notre naissance et qui nous suivra chaque instant jusqu’à la fin de nos jours : nous-même… La chercheuse en psychologie américaine Bella DePaulo a écrit dans une de ses études, que vivre seule est bénéfique, que vivre seule peut permettre « une vie meilleure, qui possède plus d’authenticité et de sens ». Elle a rajouté qu’elle pense que les conditions de vie des femmes célibataires sont supérieures, que leurs initiatives en rapport avec leur propre vie leur permet une continuelle amélioration personnelle. Elles peuvent également se comporter sans avoir de compte à rendre à personne, s’habiller et vivre comme bon leur semble… Elles redécouvrent leur féminité en rapport avec leur propre personnalité.
Il faut penser à soi, sans faire passer les choix d’un homme avant les nôtres. Il faut arrêter de se prendre la tête et en prenant leur sexe ! Malgré tout, on peut vivre sans sexe, mais il est impossible de vivre sans amour, qui que l’on soit et quelque soit notre âge…
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