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Je pense que toute femme est une « fontaine » en dormance, il suffit simplement de se laisser aller et s’abandonner totalement au plaisir, ce que peu de femmes font réellement à mon avis. Qui n’a jamais simulée l’orgasme avec son conjoint en réalité, ou fantasmée sur un autre partenaire pendant les rapports pour arriver à prendre…
Cet article Témoignage d’une lectrice femme fontaine est apparu en premier sur NXPL.
Où se cache l’amour qui dure ? Sur Internet ? Pas vraiment. Dans une enquête de la chercheuse en sociologie Marie Bergström publiée par l’Ined ce mercredi 10 février, on lit :
Opportunités de rencontres plus faibles« Si les sites de rencontres attirent un public nombreux, ils participent encore peu à la formation des couples.
Parmi les personnes ayant rencontré leur partenaire actuel entre 2005 et 2013, moins de 9% l’ont connu via ce type de service. »
La chercheuse note cependant que cette règle varie chez les couples homosexuels. Elle décrit les sites de rencontre comme « le moyen...
Le libertinage est parfois un moyen de se découvrir, d'explorer des territoires vers lesquels on ne serait peut-être pas allé dans une vie de couple exclusif.
C'est aussi parfois se rendre compte (et accepter - d'autant plus facilement qu'on est de toutes façons sorti des conventions) qu'on ne fonctionne pas exactement tel qu'on l'imaginait, ou qu'on le souhaiterait.
A mes débuts je me suis volontiers laissé aller à imaginer que de nouvelles partenaires, de nouvelles pratiques et le champ des possibles qui s'élargit, seraient une source de jouissances faciles et intenses.
Après tout, quel homme pourrait résister au plaisir de nouveaux corps, de situations licencieuses, à des pratiques interdites et délicieuses ?
Et pourtant, les choses ne sont pas si simples... ni automatiques.
Quelles qu'en soient les causes, j'ai dû me résoudre à une réalité : chez moi l'orgasme est loin d'être mécanique.
Surtout lorsque je me retrouve en duo avec une partenaire que je ne connais pas ou peu...
Ce n'est pas sans poser quelques petits soucis, entre autres celui de finir par lasser ces dames qui goûtent assez peu d'être limées au-delà du raisonnable (et de l'agréable).
... ou qui s'évertuent (souvent avec un entrain qui force l'admiration et la reconnaissance) à chercher sans grand succès la clé de ma jouissance.
Je me suis pourtant aperçu qu'il y avait une pratique, certes futile, qui me permettait d'atteindre le nirvana de façon quasi assurée.
Pas une pratique totalement délirante ni d'extrême.
Cela amuse même (ou cela stupéfie, c'est selon) les demoiselles à qui je propose cette alternative.
je l'ai appelé le "Plan B" : celui qui marche à tous les coups quand on semble dans l'impasse.
De quoi s'agit-il donc pour être aussi infaillible ?
Tout simplement : un cunnilingus... mais pas n'importe comment !
En face-sitting, c'est à dire, moi allongé sur le dos, et ma partenaire qui vient offrir son intimité aux caresses de ma langue, face à moi.
Le "Plan B" est d'autant plus efficace que le fruit de mon désir est offert avec entrain voir insistance et même indécence, ouvert si possible, exposé à tous mes sens.
J'ai alors tout le loisir de profiter d'en profiter et de l'explorer, de contempler les courbes de ma bienfaitrice sous un angle inhabituel, voire d'y aventurer une main.
Ainsi gâté, en me caressant j'atteins généralement l'orgasme en une poignée de minutes, même lorsque la situation de départ semblait désespérée.
Ironiquement, il arrive parfois que ce soit ma partenaire qui atteigne l'orgasme avant moi, du fait de mes caresses buccales et de la situation.
Je me pose souvent la question de savoir si l'efficacité du "Plan B" est une forme de soumission, de par la position tenue par la femme notamment.
Sans pouvoir tout à fait écarter cet aspect des choses, avec le recul il demeure secondaire.
Ma perception est plutôt que je suis excité par plusieurs facteurs :
* Etre pourvoyeur de plaisir pour ces dames, même si le "Plan B" est d'abord pour moi.
* L'absence de questionnement sur le consentement (auquel je suis très - trop ? - attaché) .
* Le confort de la position (pour moi qui suis confortablement allongé du moins).
* L'absence de pression liée à la pénétration, car j'ai parfois tendance à m'oublier si je vois que ma partenaire y réagit bien.
* Et surtout... définitivement, j'adore lécher !
J'ai (j'avais ?) parfois des réticences à proposer le "Plan B" en club par peur de la réaction ou du jugement des autres personnes présentes, ou dans des situations plus intimes si ma partenaire n'y est pas habituée.
Mais le temps et l'expérience se sont montrés globalement bienveillants, même si je ne doute pas que cela puisse étonner ceux qui en sont témoins au détour d'un coin câlin.
Au point de vous livrer ce billet assez personnel...
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Billet : Le Plan B
Tout commence par un coup de foudre entre Laurel Hester, brillante inspecteur de police quadragénaire très respectée des habitants mais cachant son homosexualité, et Stacie Andree, une mécanicienne de vingt ans sa cadette qui assume crânement sa différence. L’amour entre ces deux femmes, qu’opposent en outre leur grande différence d’âge et leur condition sociale, choque dans l’Amérique encore frileuse du début des années 2000.
Mais peu importe les préjugés, même s’ils sont durs à vaincre à Ocean County, New Jersey. Elles décident d’habiter ensemble, concluent un contrat de partenariat domestique (un pacs à l’américaine) et vivent intensément la vie ordinaire d’un couple qui s’aime et bâtit des projets d’avenir. Mais leur quotidien bascule le jour où Laurel apprend qu’elle est atteinte d’un cancer des poumons en phase terminale.
Un dernier souhait qui met le feu aux poudres
Alors qu’elle s’est donné corps et âme à son métier pendant 23 ans sans jamais rien réclamer, Laurel a un dernier souhait. Que sa pension revienne à sa compagne pour lui permettre de rembourser la maison. Les élus locaux refusent catégoriquement. Bien qu’ils en aient le pouvoir, ils craignant les réactions négatives de leurs administrés et n’entendent pas traiter les pacsés comme les mariés.
C’est mal connaître la farouche détermination des intéressées. Soutenues par des activistes, Laurel (qui mourra en 2007) et Stacie se battront envers et contre tout pour faire plier les autorités et finalement obtenir la reconnaissance de leurs droits. Ce premier pas décisif vers l’égalité, conduisit la Cour suprême américaine à décréter l’ouverture du mariage pour tous le 26 juin 2015.
Révélateur d’une société coincée
«Free Love», adaptation d’une réalité vécue signée Peter Sollett, raconte la passion, le désespoir et le courage face au cancer, la lutte acharnée de ces deux figures emblématiques, devenues presque malgré elles les porte-paroles d’une communauté discriminée.
Révélateur d’une société coincée dans un passé pourtant si proche, Free Love vaut toutefois davantage par son sujet, la défense du mariage homosexuel que par son traitement et sa mise en scène. N’est pas Todd Haynes qui veut. Vu l’incroyable impact politico-social de cette simple histoire d’amour, on reprochera à l’auteur un trop plein de romance, un flirt poussé avec les clichés, notamment dans les scènes où Steve Carrell en fait des tonnes en activiste gay, ainsi qu’une insistance maladroite à montrer les ravages de la maladie pour mieux émouvoir les foules.
En revanche, les comédiennes assurent en se révélant à la fois justes, sobres, touchantes, naturelles. A l’image de la toujours excellente Julianne Moore (en dépit d’un redoutable brushing…) dans le rôle de l’inspecteur et de la benjamine Ellen Page, qui a fait son coming-out l’année dernière.
Se sentant proche du combat de ces deux êtres aux rêves et aux ambitions modestes qui ont néanmoins significativement contribué à l’avancée de la cause, elle s’en est expliquée ainsi: «Faire connaître cette histoire, ça signifiait beaucoup pour moi qui suis lesbienne. J’admire ces femmes qui se sont révoltées alors qu’elles vivaient des moments si difficiles. Elles ont osé se battre jusqu’au bout pour défendre la justice et l’égalité pour tous »
» En salles dès aujourd’hui
Actuellement en France, l’inceste n’est pas un crime «en soi», pas tout à fait. Le 18 février 2016, le Sénat examinera une nouvelle proposition de loi sur la «protection de l’enfance» dont l’article 22 pose problème : si l’on qualifie d’inceste un acte consenti entre consanguins de 15 ans ou plus, quelles pourraient en être les conséquences ? Frères et sœurs, désormais, devront-ils se cacher bien plus profondément encore dans les ténèbres de l’ignominie à quoi ce mot les voue ?
Eliminé de la liste des «crimes» à la Révolution française, l’inceste revient dans les textes de loi, sans que l’on sache encore très bien à quoi s’en tenir. Ce terme avait été supprimé du Code pénal en 1791 : «Les révolutionnaires considéraient qu’il relevait, au même titre que le blasphème, la sodomie, et la bestialité, d’un interdit d’ordre moral non nuisible à la société et, par conséquent, relégué à la sphère familiale.» Interrogée par Le Figaro la présidente de l’association internationale des victimes (Aivi), Isabelle Aubry, se félicite que l’Etat ait maintenant la possibilité de s’immiscer dans les «affaires de famille». «Il s’agit là d’une avancée symbolique importante qui n’apporte rien au niveau judiciaire», précise-t-elle. La loi a en effet toujours puni les viols, ainsi que les relations sexuelles avec des mineurs de moins de 15 ans. Dans les faits, l’abus des enfants a toujours été sanctionné (1). Quand l’abus avait lieu au sein d’une famille, la sanction était plus lourde encore. Mais le mot «inceste» ne figurait pas dans les textes de loi.
Signe des temps, le 12 mai 2015, l’Assemblée Nationale réintroduit le mot inceste dans le code pénal… tout en affirmant qu’il ne s’agit pas en soi d’une infraction (2). Parallèlement, se pose la question de savoir si l’on peut qualifier d’inceste les «atteintes sexuelles» commises entre enfants du même lit… Le 18 février 2016, après moult relectures, le Sénat examinera une nouvelle proposition de loi sur la «protection de l’enfance». L’article 22 pose problème : si l’on qualifie d’inceste un acte consenti entre consanguins de 15 ans ou plus, quelles pourraient en être les conséquences ? Frères et sœurs, désormais, devront-ils se cacher bien plus profondément encore dans les ténèbres de l’ignominie à quoi ce mot les voue ?
Croyant venir au secours des victimes d’abus, les défenseurs de cette loi affirment qu’il faut renforcer la puissance du tabou. Mais suffit-il de durcir la loi pour faire baisser les crimes ? Pas si sûr. Dans son livre Pervers. Nous sommes tous des déviants sexuels, le scientifique Jesse Bering, spécialiste des comportements humains, note avec beaucoup de justesse que ce n’est pas en stigmatisant l’inceste qu’on empêchera des viols. En stigmatisant l’inceste, dit-il, on ne fera que renforcer le dégoût que la majorité des gens éprouvent pour certains types de relations amoureuses et sexuelles qui ne font pourtant de mal à personne. Il en veut pour preuve l’étonnante histoire d’amour (?) qui lie Milo et Elijah Peters.
«Prenez les frères Élie et Milo Peters, par exemple, deux jumeaux identiques praguois d’une vingtaine d’années jouant ensemble dans des films pornos gays où ils se pénètrent analement l’un l’autre. Non seulement les jumeaux Peters ont des relations sexuelles ensemble depuis leurs quinze ans, mais ils se considèrent également comme un couple, tout comme n’importe quel autre couple dont les gènes ne correspondent pas parfaitement. Ils se disent monogames hors caméra. «Mon frère est mon petit ami, et je suis son petit ami, dit l’un de l’autre. C’est ma force vitale et mon unique amour.» De leurs vrais noms, Michal and Radek Cuma, ces deux acteurs de X se font connaître sur le site hongrois BelAmi dans les années 2009-2010, entraînant un boom des productions estampillées twincest. Grâce à eux, la fréquentation du site BelAmi augmente de 1,5 million d’utilisateurs par mois. Au début très timides, les deux frères se contentent de co-baiser un partenaire dans les orifices duquel ils se succèdent sagement. Les mois passants, encouragés à se rapprocher toujours plus, ils finissent par s’embrasser puis se prendre par tous les orifices avant de… disparaître au terme d’une carrière éclair.
Dans un article publié sur Salon.com (intitulé «Le plus choquant des tabous gay porno»), le journaliste Thomas Rogers, décrit ainsi une de leurs plus mémorables vidéos : «Cela commence par une confession, durant laquelle les deux allongés sur un matelas parlent de l’attraction qu’ils éprouvent l’un pour l’autre.
“Rien qu’à voir mon frère se regarder dans un miroir me fait bander“. Rapidement, ils se déshabillent et se retrouvent en monokini, assis sur les genoux l’un de l’autre, puis entament un slow tout en se rappelant des souvenirs (“C’est comme cette nuit au club disco… »). Ensuite, les choses deviennent plus intenses : ils s’embrassent passionnément, se masturbent réciproquement, se sucent et finalement ont une relation sexuelle non-protégée. La scène est perturbante non seulement parce que la vision de deux hommes parfaitement identiques qui s’enlacent est déconcertante, mais parce que ces jumeaux sont soit d’excellents acteurs, soit aiment vraiment le sexe à deux.» Thomas Rogers cite à ce sujet Jack Shamama, rédacteur en chef du Gay Porn Blog : «Ce qui les rend en partie si choquants, c’est qu’ils s’investissent totalement, quand ils baisent, ils le font de tout leur coeur».
Lorsque Milo et Elijah disparaissent du circuit, emportant avec eux leur secret (étaient-ils amoureux ?), le fantasme seul suffit parfois à ressusciter le parfum de leurs sulfureuses étreintes. Les amateurs de twincest se régalent de photos «à la limite de l’érotisme transgressif». qui se contentent parfois tout juste d’évoquer le frisson d’un contact consanguin. D’autres jumeaux reprennent le flambeau. «Les Américains ont Max et Charlie Carver, les Portugais Kevin et Jonathan Sampaio, les Brésiliens ont désormais David et Daivis Fernandes», s’enthouasisme un journaliste de la revue Queerty.com face aux photos finalement très pudiques de deux frères et mannequins de mode posant côte à côte dans des tenues déshabillées. On est loin des étreintes torrides des jumeaux Peters. Mais qu’importe. En matière de twincest, c’est l’intention (parfois même le procès d’intention) qui compte.
L’inceste est à ce point bouleversant, surprenant, scandaleux qu’il suffit de faire semblant pour exciter les foules. Sur Google quand vous tapez twincest, ce sont les photos des frères du groupe allemand Tokio Hotel qui apparaissent maintenant, photos généralement retouchées, accompagnées de phrases suggestives, parfois même de fan-fictions pornographiques ou sado-masos inspirées du manga OHSHC (Ouran High School Host Club, «Le Lycée de la séduction»), dans lequel deux jumeaux – les frères Hitachiin – s’enlacent à qui mieux mieux.
L’amour fraternel a le goût délicieux de l’interdit. Vu de loin, sous des formes fantasmatiques, il fait même puissamment rêver. Mais de près ? Les réactions habituelles à l’inceste sont celles du dégoût. Nous sommes culturellement déterminés à considérer l’inceste comme une déviance horrible et répugnante.
«Considérons les éléments suivants, plaide Jesse Bering : le consentement sexuel enthousiaste et mutuel des jumeaux Peters, leur absence surprenante de honte sur le sujet et leur évident bonheur à être l’un avec l’autre.» Si l’on examine tout cela, il en ressort que ce couple incestueux n’est pas «aussi manifestement «mauvais» qu’on nous a appris à le penser. Faut-il se laisser toucher par leur apparence de félicité conjugale ? Ou rejeter avec violence toute forme d’empathie pour eux? Le point de vue de Jesse Bering est le suivant : «Nos facultés mentales sont aisément obscurcies par nos réactions émotionnelles qui ne peuvent permettre une juste détermination du préjudice, c’est ce que l’on pourrait appeler «le facteur de dégoût». Les sentiments de répulsion ont une façon de saper notre intelligence sociale qui va jusqu’à compromettre notre propre humanité. En réalité, s’il y a une seule chose que les chercheurs ont apprise sur le raisonnement moral et le sexe depuis ce XXIe siècle, c’est que le dégoût est le moteur viscéral de la haine. La bonne nouvelle, c’est qu’une fois que vous comprenez comment tout cela fonctionne, vous pouvez neutraliser ce moteur. Le meilleur espoir de résoudre ce problème si profondément enraciné de dégoût sexuel est d’en déconstruire les fonctions». Autrement dit : il faut désapprendre le dégoût qu’on nous a enseigné à avoir pour certains comportements sexuels et/ou amoureux. Parce que ce dégoût n’a… aucune raison d’exister ?
LUNDI PROCHAIN : l’inceste met-il en danger les humains ?
A LIRE : «Host Club. Le Lycée de la séduction», de Bisco Hatori, éditions Panini. Pervers. Nous sommes tous des déviants sexuels de Jesse Bering, aux éditions H&O (sortie le 12 février 2016).
NOTES
(1) Les peines encourues étaient aggravées lorsque l’agresseur sexuel était «un ascendant ou toute autre personne ayant sur la victime une autorité de droit ou de fait».
(2) Note de synthèse du Sénat : «En France, l’inceste, c’est-à-dire le rapport sexuel entre deux personnes qui sont parentes
à un degré où le mariage est interdit, ne constitue pas une infraction
spécifique. Si la relation est librement consentie et concerne deux
personnes qui ont dépassé l’âge de la majorité sexuelle, fixé à quinze
ans dans notre pays, elle ne tombe pas sous le coup du code pénal». Source : http://www.senat.fr/lc/lc102/lc1020.html
Pour célébrer cette Saint-Valentin 2016, je vous propose un rendez-vous coquin où nous pouvons tous nous retrouver : un chat en direct sur Twitter pour échanger ensemble sur des sujets sexo. Tous au rendez-vous pour le premier #ASV !
#ASV, qu’est-ce que c’est ?Ca fait plusieurs semaines que j’ai cette petite idée en tête, alors ça y’est je me lance ! Je suis toute excitée et inquiète à la fois, car j’espère que ce rdv vous plaira ! ASV, pour les vieux d’entre nous qui ont connu les premiers chat en ligne sur Internet, ça veut dire “Age, Sexe, Ville”.… Lire la suite
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