Pratique humiliante ou honorifique ?
Qui croire ? Certains sexologues jugent la pratique du bukkake comme une manière d’humilier la personne qui se fait éjaculer dessus. D’ailleurs, une croyance populaire et moyenâgeuse japonaise la décrivait déjà comme un acte de punition pour une femme adultère. Elle devait se tenir à genoux et la totalité des hommes du village se masturbait tout à tour face à elle pour ensuite l’arroser de leur sperme.
Celles qui le pratiquent aujourd’hui parlent plus facilement d’un honneur et d’une grande fierté de se retrouver entourées d’hommes désireux et excités et d’être totalement maîtresse de leur jouissance. Plutôt que d’humiliation, Catherine, 46 ans, ressent au contraire une forme de pouvoir sur ses partenaires : « L’éjaculation finale, c’est ma récompense, c’est le moment où les hommes s’abandonnent sur mon corps et me font le don de leur semence. Je suis la reine de leur désir et de leur plaisir. Plus ils éjaculent longuement et plus je suis heureuse. »
Libertine depuis une quinzaine d’années, elle a déjà vécu de nombreuses fois cette situation, que ce soit en clubs mais surtout dans des soirées privées organisées par son mari qui n’a aucun mal à trouver des complices masculins sur des sites de rencontres : « Il n’y a quasiment jamais de...Lire la suite sur UnionCet article Le bukkake : zoom sur une pratique très humide est apparu en premier sur Union.