En entendant les premiers accords de cette chanson tout à l'heure au cinéma, je n'ai pas compris cette bouffée d'excitation qui me venait. La scène du film était drôle, mais pas excitante. Clairement pas excitante, à moins de virer pédo-zoophile... et oui le dernier documentaire animalier de d#sn#y sur les bébés ch#mp#nz#s dans la forêt. Mignon, drôle, et instructif, je le recommande, mais je préfère écrire des noms censurés pour éviter d'attirer sur ce blog le coeur de cible de ce film : les enfants.
Où en étais-je ? Ha oui, cette musique qui m'induit une réaction inattendue. Au générique de fin du film, j'attends et je retiens son nom, pour la retrouver sur le net en rentrant. Je la repasse une fois, deux fois, quand vient le déclic ! Cette chanson je l'entends régulièrement en after work aux Chandelles ! Je me demande si je ne l'ai pas aussi entendue le soir ou dans d'autres clubs aux horaires de dîners, ambiance lounge avant l'ouverture de la piste de danse.
Combiner les sorties en club avec mon goût pour le jazz rétro, chouette !
( bon je rassure ceux qui penseraient que j'ai des goûts musicaux de chiottes, je suis trèèèèèèèèès ouverte d'oreilles ^^ )
Guido Crepax, bien connu de ce blog, adapte Léopold Sacher Masoch qui donnera son nom au masochisme. En bref, Grégor est majordome de la belle et raffinée Wanda. Mais c’est bien plus qu’une simple relation d’employeur/employé. Grégor est l’esclave de … Lire la suite →
Un jour, en conférence de rédaction, alors que nous parlions de fantasmes érotiques originaux, que nos propos voguaient entre le « hentaï » et les « furs » (une communauté de passionnés de peluches, pour résumer grossièrement, au risque de déplaire à l’un de nos riverains lui même furry, pardon, pardon), l’une de mes collègues (qui s’occupe de sujets très sérieux) a pensé tout naturellement... aux enfants.
« Tu ne voudrais pas faire un article un jour sur les fantasmes érotico-amoureux bizarres des enfants ? Quand ils trippent sur des dessins animés ou des livres pas du tout...
Cent mille dollars, certains sont prêts à casquer
Pour pouvoir percer l’hymen de Valentina
Et ce, même si elle n’est qu’une poupée : Ça me rappelle Hoffmann et Olympia.