EDITING IRÈNE#5, CHECK!
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EDITING IRÈNE#5, CHECK!
Corine Mauch, rempilera pour un troisième mandat. Dimanche, la socialiste a fini avec une confortable avance sur son rival libéral, l’ex-vedette de la télévision alémanique Filippo Leutenegger. Elue à la tête de la capitale économique suisse pour la première fois en 2009 lors d’une complémentaire, cette ingénieure de formation – rockeuse à ses heures perdues – a été l’une des premières femmes ouvertement lesbiennes à accéder à la tête d’une grande ville européenne.
Alternatifs en progression
L’élection a été marquée par le recul de l’UDC, et par l’érosion du PS et des Verts au profit de la Liste alternative (gauche radicale). «Nous sommes les grands gagnants de ce dimanche, a commenté l’élu et militant trans Alecs Recher pour «20 Minuten». Cela montre qu’une politique raisonnablement de gauche, ça paie.»
L’UDC valaisanne n’en finira jamais de nous étonner. Après les provocations de l’inénarrable Grégory Logean, une nouvelle étoile est née au firmament de l’homophobie. Son nom: Jörg Meichtry. Cet informaticien de 26 ans, ancien candidat au Grand Conseil, s’est méchamment lâché sur Facebook, comme le relève le «SonntagsBlick» paru ce dimanche.
«Chevalerie, honneur et discipline»
«Les criminels, les pilleurs de tombe, les homosexuels et les abuseurs d’enfant ont fait de notre société un fatras qui nous fait honte», a lancé le jeune politicien, actuel secrétaire de la section UDC de Loèche. Ses «amis» sur le réseau social, où il vocifère régulièrement contre le «patriotisme perdu» de la Suisse et chante les louanges de la «chevalerie», de l’«honneur» et de la «discipline», ont trouvé qu’il allait cette fois un peu loin, et le lui ont fait savoir. Mais Meichtry en a rajouté une couche: «Les anomalies n’ont pas leur place dans notre société, et je trouve que quand on est aussi malade que les homosexuels, mon expression est correcte.» C’est que, d’après le jeune UDC, les gays sont atteints d’une «maladie psychogique» (psychosche Krankheit, sic).
Le «SonntagsBlick» est naturellement allé chercher une réaction du côté de l’organisation suisse des gays Pink Cross, qui a comparé les déclarations à un «appel nazi» et a suggéré à l’UDC de sanctionner son militant. Jörg Meichtry n’a pas l’air impressionné, et se drape dans la liberté d’expression. D’ailleurs, selon lui, son post homophobe a suscité plein de réactions positives. Sur Facebook, l’hebdomadaire alémanique n’en a trouvé qu’une: celle de sa grand-maman: «Bravo Jörg, nous sommes fiers de toi!»
Alors que nous venons récemment d’être témoin de débordements malheureux en France suite à l’acceptation du mariage pour tous, pas étonnant que le festival bisannuel Everybody’s Perfect (Festival du film LGBTIQ&A de Genève) invite Sébastien Lifshitz, cinéaste Français césarisé, en prélude à sa troisième édition, prévue en septembre. Et pour cause ! De la question LGBT, le cinéaste en a fait son art. Des fictions aux documentaires, les films de Lifshitz mettent à l’honneur des personnages homosexuels (Les Corps Ouverts, Presque Rien, Plein Sud, Les Invisibles) ou transsexuels (Wild Side et Bambi), en s’écartant avec intelligence de la militance pour révéler des trajectoires captivantes, originales et riches, parfois lumineuses, parfois tragiques, toujours réalistes et propices au questionnement.
Des aînés épanouis
C’est ainsi qu’avec son précédent documentaire Les Invisibles (César du meilleur film documentaire en 2013), on partait à la rencontre d’homosexuels épanouis de 70 à 90 ans, hommes et femmes, en couples ou seuls, scénarisés comme des personnages de fiction. De parfaits inconnus qui témoignent en photos et face caméra de ce que fut leur vie entre les années 50 et 70, quand on ne parlait pas encore de ces minorités sexuelles. Soit, avant l’impact des revendications de 1968, et avant encore le sida des années 1980, qui «ont tout changé».
«C’était important pour moi de raconter l’homosexualité du prolétariat à la bourgeoisie, de la ville à la campagne. Je voulais vraiment essayer d’étendre le spectre social du film le plus largement possible pour sortir du cliché de l’homosexualité forcément à la ville, forcément dans des types de professions libérales et forcément douloureuse. Je voulais vraiment raconter l’homosexualité de façon démocratique», explique Lifshitz, qui pose un regard bienveillant sur les événements récents en France et se souvient que l’acceptation du Pacs avait aussi donné lieu à des réactions vives de la part de l’opposition.
Dans son nouveau moyen métrage (58 min), Bambi (voir ci-dessous), le cinéaste poursuit brillamment la démarche entamée dans Les Invisibles, à savoir celui d’amener à la lumière un témoignage précieux. Mais cette fois-ci, c’est celui d’une transsexuelle accomplie. Belle manière de dissiper l’incompréhension sur un autre sujet LGBT.
Une oeuvre polymorphe
Le cinéma ? Au départ, Lifshitz ne s’y destinait pas. Spécialisé en photographie et peinture contemporaine, il y est arrivé par hasard. Son intérêt pour la photographie ne quitte toutefois pas le cinéaste qui collectionne depuis toujours les images amateurs – souvent des portraits d’inconnus – « dont les couples homosexuels et les gens que j’identifie comme homosexuels dans ces images ». Aux Puces de Vanves à Paris, il raconte un jour être tombé « sur l’album de deux vieilles dames bourgeoises aux allures de couple », une supposition qui se révèle exacte. De cet album naît l’idée du film Les Invisibles. Et en octobre dernier, Sébastien Lifshitz publie un recueil de photos éponyme qui met en scène des couples d’aînés LGBT, «réels ou imaginés», issues de vieilles images accumulées sur une vingtaine d’années. Un témoignage de plus pour restituer une mémoire jusqu’alors restée cachée.
Sobrement intitulé Bambi, du nom de scène de sa protagoniste Marie-Pierre Pruvot, ce documentaire primé d’un Teddy Awards à la Berlinale 2013, conjugue des images d’archive tournées par Bambi, elle-même, avec une caméra Super 8 et des images d’aujourd’hui. Pour au final, brosser le portrait sensible du destin extraordinaire d’une transsexuelle meneuse de revue dans les années 1950, puis devenue professeure primée au collège malgré sa différence. Aujourd’hui âgée de 78 ans, Bambi n’est pas une inconnue, contrairement aux protagonistes du film Les Invisibles dans lequel ce récit devait initialement prendre place. Avec Coccinelle (Jacqueline, Charlotte Dufresnoy), elles sont les premières et les plus célèbres transsexuelles de France. Le cinéaste dit du parcours de Bambi qu’il a «vraiment valeur d’exemple, à pleins de niveaux». Et effectivement. Car au-delà de la question pure de la transformation physique, Bambi déploie un personnage qui a su se réinventer avec brio à chaque moment important de sa vie. Et par cet aspect, le film cesse d’être un sujet propre aux genres pour devenir un témoignage de vie exemplaire, universel et bouleversant.
» Projection de Bambi aux Cinémas du Grütli, Genève, les 15 et 16 février en présence du réalisateur. Une soirée spéciale Sébastien Lifshitz sera également organisée à la Cinémathèque suisse, Lausanne, le 10 avril.
» Everybody’s perfect se tiendra à Genève du 19 au 28 septembre prochains.
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— Je ne comprends pas pourquoi tu tiens tant à vivre seule.
— Je suis comme ça, c’est tout. C’est un mélange d’agoraphobie et de misanthropie.
— Personne ne souhaite la solitude. La solitude est une malédiction… et ce n’est pas naturel.
— Ça l’est pour moi.
— Tu n’as pas de chat ? Je croyais avoir lu quelque part que tu avais des chats ?
— Mon ex est partie avec deux d’entre eux et le dernier est mort d’une leucémie l’an dernier. Il y a un chat errant qui me rend visite de temps en temps, sur le bord de la fenêtre. Il vient chercher un peu de bouffe et des caresses, puis il s’en va. Il est très indépendant et c’est le genre de chose que je respecte. Je lui ai bricolé une plate-forme : c’est là qu’il vient se prélasser et jouir de ma compagnie.
— Tu es trop belle pour vivre en ermite.
— Tu es gentille de me dire ça, mais je ne vois pas le rapport.
— C’est injuste de ne pas partager ta beauté. Pire : c’est égoïste.
— Je trouve surtout que c’est n’importe quoi. Si tu me trouvais repoussante, ce serait ok? Tu serais d’accord pour que je reste cloîtrée, moi et ma laideur, dans mon demi-sous-sol?
— Ce n’est pas ce que je voulais dire.
— C’est exactement ce que tu voulais dire, mais peu importe. Je comprends. C’est ce que vous me dites toutes.
— Qui ça, toutes?
— Vous tous, les sapiosexuels timbrés qui avez la drôle d’idée de s’amouracher de l’idée que vous vous faites de moi à travers les petits textes que je publie de temps à autre. Et qui faites des pieds et des mains pour me retrouver et me rencontrer, quitte à attendre des mois et des années jusqu’à ce que, à bout de d’excuses et de prétextes, je cède et concède un rendez-vous.
— Je ne veux pas que tu penses que je suis folle…
— Tu n’es pas folle. Juste un peu superficielle.
— J’ai d’abord aimé ton intelligence. Je n’avais pas besoin de te voir pour tomber en amour. Ou savoir que tu es belle.
— Tu ne sais rien de moi. Tu es superficielle, mais ce n’est pas un drame. Ni un défaut. C’est dans ta nature, comme c’est dans la mienne de me cacher et de rester seule, bien à l’abri du monde.
—La nature t’a faite pleine d’imagination tordue et de fantasmes fous. Elle m’a faite pleine de désir de me plier aux ordres d’une femme que j’admire. Ne vois-tu pas que nous sommes complémentaires ?
— Peut-être…
— Il n’en tient qu’à toi de le découvrir. Peut-être que tu te rendrais compte que je ne suis pas aussi folle et superficielle que j’en ai l’air.
— Ah oui ? Et si je te bricolais ta propre plate-forme ? Tu pourrais venir chercher un peu des caresses, puis t’en aller… mais attention, tu n’aurais le droit de te prélasser et de jouir de ma compagnie que lorsque je t’en donne l’autorisation, selon mes caprices et mon bon vouloir. Qu’est-ce que tu en penses ?
— À quel endroit la plate-forme ? Sur le rebord de la fenêtre ?
— Mais non, mais non. Tu es trop grande pour ça… et puis c’est la place du chat et il est très jaloux. Je pensais plutôt à ma chambre. J’ai des crochets au plafond qui ne demandent qu’à servir, un matelas de sol imperméable et pas du tout inconfortable, un collier de cuir et une chaîne que je pourrais attacher à la patte de mon lit… Ça te conviendrait ?
— Je pourrais apprendre à aimer. Peut-être que je n’aurais même pas à l’apprendre. Peut-être que c’est dans ma nature.
— Je commence à le croire.
— Tu me le passes ce collier, histoire qu’on voit s’il me fait ?
— Oublie ce que j’ai dit tout à l’heure. Tu n’es pas superficielle du tout.
La Biffle – Explications par MrBeuheuFail
La première fois que j’ai entendu ce mot, il venait de sortir de la bouche de mon ado bientôt adulte. Horreur et stupéfaction !!! Au début, quand il m’a donné la définition, j’ai cru à un canular. Mais après vérification sur la toile, il disait vrai. Ce mot existe vraiment.
La bifle, contraction de bite et de gifle consiste à gifler sa partenaire avec sa bite. Rien de bien nouveau. Cela fait longtemps que je me livre à ce genre de petit plaisir avec ma chienne.
Un matin, en pleine action, j’ai dit à Thysminia, « je vais te bifler espèce de petite salope » ! Ce fut une très mauvaise idée. Nous sommes partis tous les deux dans un fou rire qui a mis fin prématurément à notre ébat. Du coup, je pense que je vais rayer ce mot de mon vocabulaire.
Au sein d’un couple vanille il n’y a, en théorie, pas de question de pouvoir. Toute décision est prise de manière harmonieuse, après une sage discussion. La réalité est, malheureusement, bien souvent à l’opposé de cette image d’Épinal. En effet, chacun va se battre pour prendre l’ascendant sur l’autre ; et que ce soit par idéal, conviction ou toute autre raison, cette lutte interminable finira par saper les fondements même de la relation de couple. Dans une relation D/s, le processus est totalement différent. Dans un cadre où l’un des deux conjoints a totalement et volontairement (il faut le préciser) donner le pouvoir à l’autre, il n’y a pas d’inquiétude à avoir sur sa « place » dans le couple, donc ni lutte, ni dispute.
Je tiens également à vous dire, que tout ce dont je vais parler dans cet article (et ceux à venir) est en notre nom propre, dans le contexte qu’est une histoire d’Amour dans une relation D/s permanente (24/7).
Mais sur quels critères peut-on se baser afin de définir l’aptitude d’une personne à dominer une autre ? Peut-on se dire Maître, comme cela du jour au lendemain juste puisque c’est l’un de nos fantasmes ? Les risques de dérives sont énormes et leurs conséquences peuvent être dramatiques. On prend alors toute la mesure du discernement de la soumise, en effet, comme c’est elle qui donne le pouvoir, c’est donc elle qui choisi à qui elle va le donner. Il ne faut donc par faire d’erreur de casting.
Les Maîtres sont tous en quête d’une soumise, chienne, salope, ou esclave (c’est selon). Beaucoup d’entre eux considèrent que n’importe qui peut prendre ce rôle, il suffit de traiter l’autre comme une merde, de l’insulter à tout va et l’affaire est dans le sac. Et bien non ! Elle n’y est pas du tout (dans le sac). Le Maître est investi d’une mission, d’une quête. Il ne peut se contenter de satisfaire son seul et unique plaisir.
Il faut prendre conscience que beaucoup d’hommes (et de femmes) se tournent vers le BDSM pour mettre un peu de piment dans leur vie sexuelle et risquent de se retrouver dépassés par les événements.
Le Postulant au statut de maître doit donc se distinguer par sa capacité d’écoute, sa force de caractère, son intégrité, sa rigueur. Il doit donner encore plus qu’il ne reçoit et tout cela demande bien évidemment de faire preuve d’une certaine dose d’empathie envers sa soumise. Elle n’est pas qu’un sac à foutre, un cul à défoncer, elle est aussi et surtout un être humain, avec tout le respect que cela implique. Oui, une chienne à droit au respect !
N’oublions pas qu’il est aussi responsable de l’éducation de sa bestiole. Cela veut dire qu’il doit avoir un plan d’évolution, des objectifs à atteindre, des épreuves à faire passer pour valider le l’apprentissage. Certains parleront de dressage, ce terme peut également convenir.
Cette place de Dominant implique également d’être le confident intime de sa soumise. Il faut une capacité d’écoute importante pour cerner ses fragilités, ses problématiques, il doit lui expliquer ce qu’elle ne comprend pas (sur le choix des épreuves à passer, sur l’appréhension face à telle ou telle pratique sexuelle…). Le dialogue est vital dans une relation de couple et encore plus dans un schéma D/s, il faut toujours garder cela à l’esprit.
Si vous voulez qu’elle soit heureuse, il faut lui consacrer du temps, beaucoup de temps (surtout si comme la mienne, elle est toujours en demande d’attention). Avez-vous ce temps ? La question est importante. Beaucoup de couple D/s ne vivent pas en 24/7. Le temps consacré à l’autre est donc de ce fait très réduit. Cela peut-il suffire ?
En tant que gérant de sa vie et de celle de sa partenaire, le Maître doit bien avoir conscience de l’implication de cette relation particulière. Le dilemme est encore plus critique quand l’un des deux vit en couple. Il doit donc gérer sa vie de famille et sa relation D/s.
Un Maître peut il avoir plusieurs soumises ? La question est récurrente et personnellement, je dirais qu’un Maître peut avoir autant de soumises qu’il le souhaite. Mais là encore, le temps accordé à chacune va être très limité. On peut se demander quelle qualité peut avoir une telle relation.
2. La soumiseComme dans une relation classique, l’homme propose et la femme dispose. Les couples D/s ne font pas exception à cette règle fondamentale. Je préciserai même que dans le cas du BDSM, la capacité de la femme à faire le bon choix sera déterminante pour la pérennité du couple. Tout comme le bon sens nous dicte de ne pas épouser homme que l’on ne connait pas un minimum, il est franchement conseillé de ne pas se jeter dans les bras (ou les liens) du premier dominant venu. Cela peut sembler idiot à dire mais beaucoup trop de soumises se retrouvent complètement détruites pour ne pas avoir voulu prendre le temps d’apprendre à connaître leurs prétendants.
Les apparences sont souvent trompeuses d’où la nécessité de bien prendre son temps. Cela ne met pas l’abri d’une erreur mais réduit le risque de façon considérable. Beaucoup de femmes (ou d’hommes) en quête de soumission se jettent sur le premier gus qui leur assénera des « chiennes et salopes » tous les trois mots (conversation limitée s’il en est). Attention, les charlatans sont plus nombreux que l’on pense et peuvent se montrer particulièrement destructeurs.
Pourquoi ai-je besoin de me soumettre ? Voila la première question à se poser. On ne peut appréhender une relation D/s sans se poser cette question fondamentale. Il est vital de savoir ce que l’on veut car c’est ce qui vous permettra de sélectionner le bon Maître en fonction de vos envies, de vos pulsions, de vos fantasmes. Si votre rêve est de vivre en 24/7, il vaut mieux éviter un Maître qui soit déjà engagé dans une autre relation. Par contre, si votre objectif est de vous soumettre de temps en temps, lors de séances par exemple, il vaut mieux éviter un dominant omniprésent qui vous harcèlera jour et nuit.
Avant de donner le pouvoir à l’autre, il faut bien être conscient de ses limites. Normalement, c’est même l’un des premiers sujets que le Maître devrait aborder. Si la soumise veut s’engager dans une relation durable en toute sécurité, il faut qu’elle réfléchisse à la réponse qu’elle donnera le moment venu. Il y a plusieurs points dans cette réponse :
La liste est loin d’être exhaustive.
Il faut donner du temps au temps, comme pour toute relation que l’on souhaite construire. La précipitation est la pire des options. Il faut apprendre à se connaître, se comprendre, s’apprécier. Ensuite, si l’harmonie s’installe, un transfert du pouvoir peut s’envisager.
Les manipulateurs sont de redoutables prédateurs. Il est donc important d’essayer d’apprendre à les reconnaître.
Une relation D/s n’est pas immortelle. Elle a toujours un début mais parfois également une fin. Il faut que le Maître soit bien conscient qu’il peut être démis de ses fonctions à tout moment. La soumise ne doit pas perdre de vue que le Maître peut également prendre le même genre de décision s’il estime que la relation ne lui est pas suffisamment profitable. Toute la difficulté réside dans la capacité à trouver cet équilibre précaire ou chacun s’enrichit équitablement du soutien de l’autre.