Guérir l’homosexualité, la bisexualité ou la transidentité, voilà l’objectif de ces « thérapies de conversion ». Véritables tortures physiologiques et physiques, une loi s’établit pour interdire ces pratiques.
Des thérapies pour soigner les LGBT
Ces prétendues méthodes de guérison viennent principalement des États-Unis. En France, les pratiques visant à guérir une personne homosexuelle, bisexuelle ou transgenre, existent bien qu’elles soient difficilement quantifiables. En 2019, la députée LRM, Laurence Vanceunebrock et le député LFI, Bastien Lachaud, ont laissé entendre qu’une « centaine de cas récents » avaient été recensé sur le sol Français. L’augmentation des signalements décrit une situation alarmante. Selon les témoignages, les guérisseurs procèdent à des traitements basés sur l’hypnose, les hormones, voire les électrochocs.
Selon un article de Midi Libre, la députée LRM cible une clinique bien précise, dont les méthodes visant à modifier l’orientation sexuelle d’un individu sont à proscrire « Il existe une clinique privée à Montpellier où deux psychiatres pratiquent la sismothérapie, à savoir des électrochocs.« . S’alarmant sur la gravité de ces actes, dont l’usage est sollicité exceptionnellement dans la prise en charge de dépressions sévères, Laurence Vanceunebrock s’insurge. C’est à l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre l’homophobie que la députée accuse publiquement les médecins de Montpellier. L’objectif est...Lire la suite sur Union
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