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La couverture m’a séduite, deux filles qui sont sur une balançoire, l’une étonnée et découvrant manifestement l’espièglerie coquine de la seconde illustrée par des papillons qui sortent de son sexe. Ne connaissant pas Ikna, j’ai décidé de lire pendant l’été cette bande dessinée et de vous en faire une critique ici. La couverture de la…
Cet article Critique de la BD « Chaleurs Estivales » d’Ikna est apparu en premier sur NXPL.
http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise/coupe-budgetaire-met-danger-association/story/13084717|PVA, qui soutient les porteurs du virus VIH/sida à Genève, lance un SOS. En difficulté financière, le Canton veut diviser par deux sa subvention. «Cela nous a été annoncé de façon abrupte, précise Rocco Senatore, coordinateur de l’association. Pour nous, cela signifie une condamnation à mort. Il est impossible de se réorganiser en six mois.»
http://www.20min.ch/schweiz/news/story/Die-Adoption-fuer-Gays-wird-mehrheitsfaehig-24270762|Selon un sondage réalisé pour le quotidien «20 Minuten» de ce matin, une très large majorité de Suisses alémaniques se prononce en faveur de l’adoption par les couples gays et lesbiens. 58,3% veulent l’égalité des couples homos et hétéros dans ce domaine, et 18,7% veulent limiter cette possibilité à l’enfant du conjoint de même sexe, comme le prévoit le projet du Conseil fédéral actuellement à l’étude au Parlement. Seuls 23% des 508 personnes interrogées plaident pour le statu quo. «Il y a encore quelques années, un résultat aussi clair aurait été impensable», réagit Bastian Baumann, directeur de Pink Cross. L’institut Vimentis a aussi sondé les candidats au élections fédérales d’octobre. Les résultats sont très tranchées: le oui à l’adoption plénière l’emporte chez plus de 80% des socialistes, des Verts et des Vert’libéraux. A l’opposé, à peine plus de 10% des candidats UDC y sont favorables.
L’interdiction ayant valeur d’incitation, l’Eglise exacerbe forcément le goût pour les perversions sexuelles. C’est ce qu’entend démontrer Georges Pichard, qui a bâti toute son œuvre sur la ligne ténue séparant la morale du sado-masochisme. Une exposition d’images «saint suppliciennes» lui est consacrée à Lausanne.
Lorsque l’Eglise fixe des degrés entre les péchés et les règles de la pénitence, le fait-elle pour réprimer les désirs ? Oui. Mais, ce faisant, ne favorise-elle pas ces perversions qui consistent à «punir» la chair ? De ce point de vue, certainement, il est vain de critiquer l’Eglise, car elle participe – en posant des interdits – à donner de l’attrait aux pratiques qu’elle condamne. Voire pire : elle en crée des formes déviantes et louches… C’est avec Tertullien (1) que tout commence.
Au tournant du IIIe siècle, alors que les premiers chrétiens réfléchissent à la «gestion» des péchés, Tertullien jette les bases de ce que l’on appelle «la doctrine pénitentielle». Dans un ouvrage intitulé «De Pudicitia» (écrit vers 207 après J.-C.), il qualifie les péchés graves d’irrémissibles, c’est-à-dire qu’aucun pardon ne peut leur être accordé : ces péchés irrémissibles forment en tête la fameuse triade «idolâtrie, adultère et homicide». Ni les bonnes œuvres, ni la prière, ni l’expiation, ni aucun exercice de mortification ne peut permettre à une personne ayant coïté hors mariage d’obtenir la miséricorde. Cette faute-là est bien plus grave que le meurtre, s’il faut en croire Tertullien (2) puisqu’il la place devant l’homicide…
Son ouvrage «De Pudicitia» est d’ailleurs écrit en réaction à un édit du Souverain Pontife qui pardonne «le péché de l’adultère et de la fornication à ceux qui ont fait pénitence.» Tertullien s’indigne (2). Ce laxisme est coupable, dit-il, jugeant qu’il faudrait excommunier «ceux qui immolent la pure et véritable intégrité de la chair, mutilant la pudeur elle-même […] dans ses formes les plus intimes, lorsqu’ils promettent le pardon aux adultères et aux fornicateurs, au mépris de la vénérable discipline du nom de chrétien, discipline à laquelle le siècle lui-même rend un tel témoignage, que s’il essaie quelquefois de la punir dans nos femmes, c’est plutôt par la souillure de la chair que par le supplice, en voulant leur ravir ce qu’elles préfèrent à la vie». Sa phrase – qui emprunte tout à coup des tournants baroques – inaugure un style pour le moins tortueux, truffé d’allusions équivoques : la littérature destinée à l’élévation morale.
Les ouvrages de Tertullien s’adressent principalement aux catéchumènes encore peu au courant des exigences de la vie chrétienne (3). Il s’agit de les édifier en évoquant – de façon détournée – les dangers de la luxure. Tertullien s’y emploie avec des mots pleins de dégoût, conspuant «cette chair formée par le bourbier de la convoitise», ce corps coupable par nature, né sous le signe du péché originel… Dès le IVe siècle, d’autres Pères de l’Eglise s’emploient, suivant son exemple, à donner une vision négative du plaisir sexuel : Jérôme (347-420), Fulgentius (fin Ve siècle), Augustin (354-430) puis Ambroise (340-397). La vie humaine, disent-ils, est misérable, le corps méprisable et la douleur une bénédiction du ciel (4). Dès le XVIe siècle, la lecture de ces auteurs est vivement recommandée aux jeunes filles. Au XVIIe siècle, les livres pieux spécialement destinés au sexe faible se multiplient.
Ces livres illustrés de gravures font le délice de Georges Pichard (1920-2003) qui vante les charmes de cette «littérature […] que plus personne ne lit, complètement démentielle, d’une intolérance incroyable sur tous les plans.» Il adore «la manière dont elle s’exprime, dans ce langage assez particulier des prêcheurs appartenant tous, d’ailleurs, à l’ordre jésuite… Quand on pense que les jeunes filles ne lisaient que ce genre de choses, on se dit qu’elles devaient avoir du monde une vision assez singulière. (5)» Pichard sait de quoi il parle : il a fait ses écoles chez les Jésuites. Faut-il s’en étonner ? C’est aussi chez les Jésuites que – de dix à quatorze ans – Sade est élevé au Prestigieux collège Louis-Le-Grand à Paris.
Fin XVIIIe siècle, l’Abbé Baudrand affirme : «Tout ce qui a été infecté par le péché doit être purifié par la pénitence. Suivant ce principe, le corps a contribué au péché ; le corps doit donc être puni.». Au moment même où l’Abbé jette l’anathème sur le «corps de péché» «complice du crime» qu’est la jouissance, Sade imagine une Société des amis du crime, dont l’«Histoire de Juliette» (1797) fixera les statuts. Les «amis du crime» n’ont pas d’autre objectif que venir en aide à ces chrétiens qui appellent la souffrance de tous leurs voeux, souffrance «seule capable de plaire à Dieu». Retournant la rhétorique pénitentielle contre elle-même, en la poussant à ses ultimes extrémités, Sade affirme que le viol, la torture ou le meurtre sont légitimes, puisqu’ils contribuent au salut des âmes.
«Pour un Dieu quand on l’aime Souffrir est un bienfait Et la souffrance même Est un plaisir parfait» (6)
Pichard, en images, adopte la même stratégie. Comment combattre une idéologie, sinon avec ses propres armes ? Il s’agit de pousser la logique des prêcheurs jusqu’au bout, afin d’en révéler les noires obsessions. «De la même façon que Sade calque ses énumérations de débauches sur les classifications et règlements des manuels de confesseurs, Pichard adopte le dispositif et vocabulaires formels de la morale chrétienne», explique Dominique Radrizzani, qui décrypte en connaisseur ces obsessions vengeresses. Dans la préface du chef d’oeuvre posthume «La Perfection Chrétienne», Radrizzani souligne le goût appuyé de Pichard pour les coeurs ardents et les urnes ornées de guirlandes d’épines qui font de «La Perfection Chrétienne» une si délectable apologie de la géhenne. C’est un ouvrage digne des pires prédications, entièrement constitué d’emprunts aux sermons des plus sévères des Révérends Pères : tous étaient des contempteurs du «vice» et des champions du châtiment…
«Je me suis aperçu qu’on pouvait très facilement accrocher des images sur les fantasmes de ces types qui rêvaient de répression». De leurs textes qu’il collectionne avec passion, Pichard tire des images qui ne sont destinées, dit-il, qu’à illustrer les citations. Elles s’inscrivent en droite ligne des tableaux qui représentent les supplices infligés aux saints, pour fortifier l’âme des croyants. S’inspirant de cette imagerie religieuse, qu’il entend réactualiser et renouveler, Pichard se lance très tôt dans plusieurs énormes projets : il s’attelle à une «Vie des Saintes» tirée de la «Légende Dorée» (texte du 13e siècle racontant le destin sanglant des martyrs), puis se passionne pour la «Vie de Sainte Elizabeth de Hongrie», dont le sort fut particulièrement douloureux…
Parallèlement (entre 1975 et 1996 environ), Pichard recense les châtiments – qu’il met en scène sous la forme de planches somptueuses. Les originaux de ces planches seront exposés du 9 septembre au 10 octobre à la galerie d’art Humus, à Lausanne. On les retrouve dans l’album (édité par Glénat en 2013) «La Perfection chrétienne», titre emprunté à un des ouvrages préférés de Pichard : «Le livre d’or ou l’Humilité en pratique, Instruction utile à tous les fidèles pour conduire à la perfection chrétienne» (1814), qui comporte ce genre d’instruction : «S’il se trouve quelqu’un qui s’attache particulièrement à vous faire de la peine et qui prenne plaisir à vous mortifier par des injures, des outrages ou de quelque autre manière, regardez-le comme un instrument de Dieu».
Il faut aimer son bourreau, recommandent les prêcheurs qui incitent le fidèle à tirer joie de ses souffrances : «Remercie Dieu de ce qu’il veut bien te procurer les moyens d’expier tes péchés». «Ignores-tu que l’abjection et les souffrances son ton véritable pain». «Ah voilà le bonheur qui manquait au paradis : pouvoir souffrir, afin de prouver à Dieu qu’on l’aime»… Les images qui illustrent ces citations sont d’autant plus jouissives qu’elles semblent soutenir parfaitement le propos. Pichard montre les victimes subir les pires crucifixion, empalées sur des godes d’acier et des poires à lavement, la bouche clouée, les tétons reliés par des chaines, le sexe percé, livrant leur nudité à la vindicte publique dans des décors de cathédrale traversées par des envols d’anges et de colombes… Pichard, illustrateur d’ouvrages pieux ?
«Quelle différence y aurait-il entre vous et un animal si vous accordiez à votre corps tout ce qu’il demande ? Il est juste qu’il souffre puisqu’il a été l’instrument du péché».
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EXPOSITION : « Pichard », les planches originales. Exposition du 9 septembre au 10 octobre 2015 à la Galerie HumuS
«Des planches des albums mythiques Paulette (avec Wolinski), Ulysse, des dessins humoristiques (période Le Rire et Le Fou Rire) accompagnent la première présentation en Suisse de La Perfection Chrétienne, entreprise la plus clandestine et la plus scandaleuse de Pichard : une imagerie que le grand dessinateur a réalisée à la fin de sa vie sur des thèmes obsessionnels d’origine chrétienne. Pour public averti. Une partie de l’expo sera réservée aux plus de 18 ans. Entrée libre.»
Vernissage le 9 septembre à partir de 18h
A LIRE : La Perfection chrétienne, de Georges Pichard, Glénat, 2013. Equivoques de la pudeur de Dominique Brancher, Droz, sept 2015.
NOTES
(1) Les rares renseignements sur la vie de Quintus Septimius Florens Tertullianus, se trouvent dans l’ouvrage de saint Jerôme, (Des Hommes Illustres) : «II était Africain ; il fut prêtre ; vers le milieu de sa vie, il donna dans le Montanisme et rompit avec l’Eglise.» La famille de Tertullien était païenne. Il se serait converti quelques années avant 197, ce qui explique peut-être son rigorisme (les convertis sont souvent les plus extrêmes) et la violence avec laquelle, rapidement, il aurait fustigé les catholiques qu’il surnommait «les psychiques». Si l’on en croit saint Augustin, il serait devenu sur le tard hérésiarque et aurait fondé la secte des Tertullianistes, qui – à l’époque d’Augustin –, comptait encore quelques adhérents.
(2) «Après avoir dit: «Tu ne commettras point l’adultère«il [Dieu] ajoute: «Tu ne tueras point«. Placer l’adultère avant l’homicide, c’était le flétrir d’autant plus. Ainsi, à la tête de la loi la plus sainte, sur le front de l’édit céleste, où est formulée la défense des prévarications les plus graves, tu peux reconnaître à la place […] de chacun d’eux leur mesure. » (Source : De Pudicitia, de Tertullien)
(3) L’époque de Tertullien – celle des conversions – est aussi celle des compromissions : l’Eglise souhaite convertir le plus grand nombre possible de païens, mais les païens rechignent et… profitent de la vie, en repoussant à plus tard le moment de subir le baptême. «Sûrs que le baptême effacerait un jour leurs fautes, ceux-ci ne se pressaient pas de le recevoir et se donnaient du bon temps sous le couvert de cette certitude. Mauvais calcul ! observe Tertullien, La pénitence est un marché qu’on fait avec Dieu. Donnant, donnant. Dieu vérifiera la monnaie dont on le paie, et il saura rattraper quelque jour le fraudeur. En réalité, la réformation du catéchumène doit commencer bien avant le baptême, au prix des plus douloureux efforts.» Sans quoi, il ira en enfer. Il s’agit de raffermir en eux le désir Sans quoi, il ira en enfer. (Introduction de Pierre Champagne De Labriolle à la traduction française de De Paenitentia, de Pudicitia, 1906)
(4) Elaine Pagels - dans Adam, Eve et le serpent (Flammarion, 1989) – et tout récemment Georges Minois – dans Le Prêtre et le médecin (CNRS éditions, sept 2015) – ont bien montré comment le christianisme du IVe siècle a instauré une manière de penser le corps en rupture avec les pratiques païennes et la tradition juive «condamnant la chair comme jamais auparavant», ainsi que le souligne Dominique Brancher dans Equivoques de la pudeur (Droz, sept 2015).
(5) Source : interview datant de 1978 au magazine Zoom, cité dans l’introduction à La Perfection chrétienne, de Georges Pichard, éditions Glénat.
(6) «La souffrance ou la mort / Dieu l’ordonne, il est sage / Je dois bénir mon sort. / J’ai cueilli quelques fleurs / Pour punir ma folie / Dieu me condamne aux pleurs / Pour un Dieu quand on l’aime / Souffrir est un bienfait / Et la souffrance même / Est un plaisir parfait / Ah qu’on trouve de charmes / A pleurer chaque jour / Quand on répand des larmes / Pour un Dieu plein d’amour » (Recueil de cantiques du Diocèse de Bayeux)
Hier – pour des raisons professionnelles – je suis allé acheter mon tout premier selfie stick. Je précise pour des raisons professionnelles parce que comme tout le monde, quand je vois une grappe de touristes sourire agglutinés au bout de leur bâton, je me moque gentiment. Débarqué comme un ovni dans la panoplie des accessoires glorifiant l’ego, le selfie stick n’a pas bonne presse sous nos latitudes. Un peu comme les Crocs, on l’associe à la beaufitude. Arrivé à la maison avec mon nouveau gadget, déballage. Puis mode d’emploi. Premier éclat de rire en lisant la notice en français: dans la langue de Molière, cette vulgaire extension de smartphone a été rebaptisée «bâton à égoportrait». En perdant du fun propre à l’anglais, notre outil plombe tout de suite l’atmosphère.
Action. Ou plutôt, essais in vivo. A bout de bras, je me scrute dans l’écran, je teste mes profils pour voir lequel est le meilleur. Duckface? Regard de braise? Menton en l’air? L’air naturel? Infinies possibilités de moues, de la tête à claque à la gueule d’amour. Self-fascination magnifiée par le self control de la situation. Vis ma vie en selfie. En gérant les deux côtés de l’objectif, la crainte d’être capturé dans une mauvaise posture disparaît. Là on devient le manager de sa propre image. On est à la fois Pinocchio et Gepetto, muse et pygmalion. Inquiétant délire égotique. Pourtant, à l’ère où l’on pin sur Pinterest au moins autant qu’on pine et qu’Instagram sublime nos vies, la menace de l’isolement social n’a jamais été autant présente.
«Mais! C’est quoi cette tronche?»
En déroulant la liste de mes selfies dans mon téléphone libéré de son bras télescopique, me revient en tête le traumatisme au moment d’immortaliser un instant entre amis face à un objectif. Le regard plongé dans le noir abyssal, cette crainte de se faire happer l’âme par le petit oiseau. Ce malaise lorsque le photographe me balançait «Mais! C’est quoi cette tronche?», et moi pétrifié – les moyens me faisant faux bond en même temps que la répartie – de rétorquer timidement: «Ben, c’est la mienne !» Ou alors ce sentiment de protection absolue lorsque ces moments de pose groupés se déroulent derrière des lunettes de soleil vissées sur le nez. Un pur instant Adjani, comme elle le chantait dans «Pull Marine»: «…et je n’aurai plus qu’à mettre des verres fumés pour montrer tout ce que je veux cacher…»
Pour ma part, apprivoiser l’objectif m’a pris des années. J’en avais une crainte farouche, à tel point que je les fuyais. Je m’arrangeais toujours pour être absent au moment de la photo, ni vu ni connu. Et ça a commencé très tôt, puisque mise à part une série incroyable, mes parents prenaient peu de photos de moi quand j’étais gosse. Mes souvenirs sont dans ma tête et stimulés par d’autres sens, comme l’odorat ou le toucher. Des années plus tard, après avoir tenté vainement de m’apprivoiser dans des poses stupides sur des selfies à bout de bras, me voilà en train d’apprendre – amoureux solitaire – à faire l’amour à la caméra au bout de mon stick.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/09/06/97001-20150906FILWWW00191-gay-pride-de-jerusalem-6-policiers-limoges.php|Six policiers de haut rang vont être limogés après le meurtre par un ultra-orthodoxe juif d’une jeune fille de 16 ans lors de la Gay Pride de Jérusalem, fin juillet. Une enquête interne conclut à des manquements en matière de renseignement, alors que l’auteur de l’attaque venait de sortir de prison où il venait de purger une peine de 10 ans pour des faits similaires.