Les ami·es, je vous écris assourdie. Ma voisine perce l’intégralité de son appartement depuis des heures, je porte des boules Quies, j’ai une migraine de ouf et mes narines sont encore irritées d’un test PCR dans la matinée. Mais la journée est belle, il y avait du thé matcha à Naturalia, j’ai eu un échantillon de parfum en sortant du métro avec mon petit magazine gratuit, et j’ai reçu mon nouveau sac à main. Et j’ai maté un maximum de porno, ça a fini d’enchanter ma journée. On part donc pour vous sur un excellent dimanche et de délicieux gifs !
Le charme de la levrette, si vous voulez bien qu’on s’accorde là-dessus, réside notamment dans les mouvements de balancier de la poitrine qui se synchronisent aux coups de reins. Babiqueen ne nous laisse pas en reste et libère un sein tout bronzé de son bandeau blanc.
Comme une photographie, une peinture, Slow Ignition nous propose une scène simplissime de fellation, quelques baisers en plus, tout est en douceur, comme dans un film français à l’esthétique bien léchée.
Le charme suranné des lumières tamisées et des gestes ralenti nous permet de se souvenir qu’on vit dans un monde qui va trop vite. Alors on fait comme Tiffany Tatum et Victoria Summers, on prend des grandes inspirations et on expire doucement, on savoure la vie. Et buvez de l’eau aussi.
Indigo White est l’archétype de la e-girl, la petite amie du XXIème siècle : maquillage au point, cheveux colorés et chaussettes hautes. Nichée dans sa chaise de bureau, elle a la générosité de nous partager une séance de masturbation solo.
Comme dire que Star Wars c’est nul, avoir un avis négatif sur Riley Reid vous attirera les foudres des adeptes. Et on peut les comprendre, Riley est devenu une icone, un classique, comme un bon vieux Balzac qu’on savoure avec une tasse de thé.
Image en une : Indigo White