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“Je t’aime comme l’on aime certaines choses obscures,
De façon secrète, entre l’ombre et l’âme.
Je t’aime comme la plante qui ne fleurit pas
Et porte en soi, cachée, la lumière de ces fleurs,”
Bien sûr, tous les jours, mille fois par jour et même dans mes songes.
Tu vois.
Mon dieu comme je t’ai aimé et comme je t’aime encore, et te chéris comme une chose obscure dont on doit taire le nom. Mon âme forcée n’a pas d’autre choix que de te laisser aller, lassée par l’attente et grisée par l’envie.
Je calme cet amour déchiré avec l’amour d’un autre, j’ai toujours espoir qu’un jour tu m’expliques et me racontes, et j’aimerais te dire aussi, toute la passion qui me porte par delà les minutes passées séparés, et par delà les mondes qui nous éloignent maintenant. T’écrire encore une dernière lettre, pour la dernière fois, de toutes celles que j’ai en tête, et tous les mots auxquels je pense en pansant mes maux.
J’aimerais rembobiner le fil et recoudre l’histoire, ne jamais t’avoir permis de délaisser mon cœur, ravagé à jamais par un amour immense sans limite et sans faille, dans le plus grand secret, celui des sages consumés par l’absence, et qui savent bien au fond que jamais, même dans la nuit des temps, de tels sentiments ne se tarissent, ni changent de visage.
Et c’est sur son corps que tes mains se balancent.
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Pour les personnels de l'action sociale et éducative, notre délégation de la Sarthe propose une journée de formation en décembre et en janvier sur le thème des réseaux sociaux. Omniprésents dans la vie de nos jeunes, comment aider ces derniers à les apprivoiser et à les utiliser sans risques ?
Infos pratiquesLa journée de formation aura lieu à deux reprises, le 14 novembre et le 6 décembre 2016, de 9h30 à 16h30 à Espace Gisèle Halimi, 30 avenue Félix Géneslay au Mans.
Notez bien dans le bulletin d'inscription quelle date vous choisissez !
La participation est gratuite mais l'inscription obligatoire car le nombre de places est limité. Téléchargez le bulletin d'inscription et renvoyez-le par mail ou courrier (adresses précisées dans le bulletin).
Cette formation est mise en place par la délégation de la Sarthe du Mouvement du Nid, avec le soutien financier de l'Agence Régionale de Santé. Elle contribue à la formation des acteurs sociaux dans le cadre de la prévention auprès du jeune public (professionnelLEs de l'action sociale, éducative, de santé, enseignantEs, militantEs associatifs...)
IntentionTrès utilisés par les jeunes générations, les réseaux sociaux permettent une communication immédiate entre les utilisateurs. L'enjeu de ce web social, c'est d'être vu et apprécié, d'avoir beaucoup d'amis. Mais certains internautes profitent de la confusion entre espace privé et espace public pour dépasser les limites, s'introduire dans la vie d'autrui voire devenir de véritables persécuteurs....
Loin d'être un terrain virtuel, Internet peut mettre en danger l'utilisateur, d'autant que la responsabilité des auteurs n'est pas engagée. Quels risques encourent les adolescents qui usent et abusent de ces outils interactifs ?
En quoi favorisent-ils des risques prostitutionnels ?
Réseaux sociaux, nouer des liens sans risques
Journée animée par Christine Laouénan, journaliste, écrivaine, formatrice et par le Mouvement du Nid.
A/ RESEAUX SOCIAUX ET ADOLESCENTS
B/ ILLUSIONS
C/ RISQUES
D/ PROTECTION DES UTILISATEURS
E/ POUR UNE MEILLEURE MAÎTRISE DES RÉSEAUX
Comment sensibiliser les adolescentEs ?
Les tétons sont des zones très érogènes, que ce soit pour les femmes mais aussi évidemment pour les hommes. Aujourd’hui, je vais vous parler des pompes à tétons « Nothing But Sensation » de la marque Fifty Shades of Grey, qui sont des petites pompes à tétons toutes en silicone. Un bonne idée pour s’amuser à rendre les tétons…
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Petite fenêtre entre l’obscurité et le vice, le glory-hole n’aurait pu être qu’une coquetterie porno issue des pratiques sexuelles des lieux interlopes – il n’en est rien. Il renferme dans son absurde simplicité un caractère extrêmement troublant. Ce tag-trou mystérieux qui aspire les fappeurs à la recherche de plaisirs enivrants méritait bien qu’on y jette un coup d’oeil indiscret afin d’en extraire la divine substance.
Regarder par le trou de la serrureUne enquête sur la quête du tag parfait
Pendant un temps beaucoup trop long, je suis passé devant avec mépris. Je ne voyais pas l’intérêt de voir des acteurs glisser leur bite dans un trou pour découvrir des actrices débutantes – si ce n’est de satisfaire leur plaisir personnel et leur gland anonyme.
C’est GrosMikko, le premier qui m’a alerté sur l’essence hypnotique de cette niche qui semblait lui donner des plaisirs rares et insoupçonnés. Mais j’ai pris à l’époque cette information pour une de ses obsessions personnelles et j’ai repris mon chemin dans la forêt touffue des tags.
Puis un soir que j’étais à tenter un nouvelle fois de percer à travers ma cornue la recette du tag parfait, je me suis retrouvé face à Krissy Lynn en train de se toucher devant ce trou glorieux tant ignoré. Ma première réaction fut de jouir comme si le ciel m’envoyait un signe ; ma seconde de comprendre pourquoi l’odieux contre-plaqué troué m’avait tout à coup cloué au sol. Etait-ce l’aura démoniaque de Krissy Lynn qui traversait les murs ou bien cet anonymat crado qui m’envoûtait ? Pas de réponse, si ce n’est ce puissant orgasme ancré dans ma mémoire et une nouvelle énigme à résoudre.
Tout le vice part d’ici, tu contestes ? Prépare ton testament gars.
Je pris alors la vidéo entre quatre yeux et commençais un long travaille d’analyse la bite à la main. Je décortiquais chaque seconde, j’analysais chaque pour tenter d’en comprendre le sens : c’était elle ou le trou, lui ou moi. Les jours suivants, j’entrepris d’élargir mon champs de recherche à d’autres vidéos similaires tournées par le studio dit du “pet de fouffe” : Dogfart.
Abbey Rain, Valentina Nappi, Yasmine de Leon… Les actrices du studio défilaient devant mes yeux et me procuraient tout autant de plaisir que Krissy. L’hypothèse qu’elle était l’unique responsable de mon trouble s’écartait alors doucement, c’était bien cette pièce qui enfermait un procédé magnétique. En allant encore plus dans mes faps, je découvris alors avec étonnement que les autres glory-hole me laissaient souvent très indifférent. Une troisième hypothèse faisait ainsi son apparition : c’était bien le réseau Dogfart le responsable de ce trop plein de perversion.
Les délires poisseux de DogfartAvoir mal aux yeux depuis 1998
Il est vrai que la découverte très tardive du studio chez moi coïncidait aussi avec celle du glory-hole. Le studio qui cultive un interracial décomplexé, très loin du raffinement parfois clinique d’un Blacked, avait eu du mal à se frayer un chemin dans mon historique jusqu’ici – tout comme Krissy Lynn d’ailleurs. J’avais longtemps écarté tout ce qui pouvait ressembler à une production gonzo cheap, peut-être pas snobisme et sans doute parce que j’avais une mauvaise image du concept Black on Blondes.
Mais un bon porno ne s’embête pas de considérations marketing et raciales, il se doit avant tout de posséder une atmosphère et une odeur capiteuse. Difficile à comprendre ou à interpréter pour le non-initié, même pour celui qui a roulé sa bosse sur les tubes, le caractère délicieusement sale d’un porn ne peut malheureusement être résumé en tag. On doit vous initier à sa saveur comme on vous amène pour la première fois dans un lieu interdit.
Personne ne m’avait jamais pris par la main pour m’expliquer Dogfart, Krissy ou le glory-hole. C’est sans doute la principale raison de mon ignorance, en plus de mon rejet primaire dû à une exploitation de cette niche, qu’il faut l’avouer, ne fait pas de place à la finesse.
Les secrets du glory-holeJezabel Vessir nous présente son étonnement
Mon tag parfait devenait alors cette odeur enivrante, dénominateur commun de bien des faps. Toutes ces actrices et ces tags auxquels je me raccrochais depuis mon adolescence avaient l’odeur tenace du sexe sur les doigts qu’on porte à son nez dans un plaisir coupable. J’avais identifié depuis la perversion et la transgression, voilà qu’il se révélait maintenant à moi à travers mes narines. La vie pornographique est dense et riche, vous le savez bien, bien plus que les analyses à l’emporte pièce de ceux qui ne voient ce sujet qu’à travers leurs yeux, sans questionner leur corps et leur coeur. On peut après 17 ans de masturbation devant son écran tout redécouvrir du jour au lendemain.
Le glory-hole chez Dogfart possède dans sa simplicité déconcertante cette odeur particulière et fascinante que j’arrive difficilement à expliquer avec des mots. Quand je regarde ces vidéos, je ne m’imagine pas être de l’autre côté du trou, à aimer dans l’ombre. Je suis réellement le spectateur d’un gonzo dont l’unique décor est un panneau de contreplaqué trouvé chez Leroy Merlin. C’est brut et minimaliste et pourtant ça marche. Je prends un pied incroyable à regarder ces actrices commencer une scène solo, à se chauffer pour découvrir en feignant la surprise une bite noire ou blanche, généralement monstrueuse, à travers ce trou ridicule.
On essaye d’être SFW pour vous, donc voici un lego-hole
Quand elles commencent leur travail technique expert, je reste toujours du côté spectateur, je ne bouge jamais mentalement mon curseur pour m’identifier. Je contemple la beauté crade d’un porno réduit à une teub-accessoire et une actrice qui passe « par hasard » dans l’arrière boutique d’un sexshop. Ces scènes répétées à l’infini ne me lassent pas non plus, tout comme l’odeur de mes doigts continuera à m’enivrer jusqu’à ma mort. Ce n’est ni une façon pour moi de découvrir une actrice, ni une manière d’explorer la fellation, c’est exporter l’atmosphère poisseuse d’un vrai glory-hole en y ajoutant une dimension masturbatoire inédite sans prendre le moindre risque social et personnel.
Il y aurait beaucoup à dire sur l’atmosphère Dogfart et ses glory-hole, sur leur nonchalance et la manière dont ils ont réussi à transformer une niche raciale en pépite universelle. On pourrait citer leurs gang bang, leurs plans cuckolding, on pourrait s’étendre mille ans et dériver sur des tonnes de pages web leur complexe chimie. On pourrait… Mais on peut tout aussi choisir de se laisser guider par son instinct et de se masturber sans vraiment comprendre ce qu’il se trame dans notre tête. On peut se contenter prendre le porno comme il vient : une matière crue aux pouvoirs mystérieux dont le glory-hole n’en est que le symptôme.
Gloire à lui.
Malgré tout ce qui divise les sociétés, nous avons en commun que la violence des hommes envers les femmes est normalisée, tolérée et dissimulée alors qu'elle est omniprésente. Comment une perspective féministe de la violence infligée par les hommes aux femmes peut-elle négliger certaines femmes lorsque la misogynie patriarcale, la sexualisation violente et la chosification jouent un rôle aussi clair dans leurs meurtres ? La prévalence de la violence envers des partenaires intimes (VEPI) est inégale à l'échelle mondiale.
- Polytechnique, 6 décembre 1989