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Chère Docteure Monboule, Je viens de me mettre en couple, et c’est ma première relation avec une fille. Nous n’avons pas encore couché ensemble ni abordé la question de la protection pendant les rapports sexuels. Quand il s’agissait de coucher avec des hommes cisgenres, j’avais toutes les informations en main : mes parents, l’école, les […]
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Un tribunal ghanéen a classé l'affaire, suivant les recommandations du procureur qui n'a pas estimé les preuves « suffisantes » pour prolonger les poursuites.
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» Bonjour docteur. Je tchatte depuis quelques jours avec un garçon qui me plait bien. Il me demande de lui envoyer des photos de moi nue et explicites. Comment savoir si je peux lui faire confiance ? »
Le phénomène « nudes »Ce phénomène est très répandu chez les adolescents et les jeunes adultes. Avec l’expansion des réseaux sociaux, cette pratique n’a fait qu’amplifier. Une étude de l’Ifop publiée en février 2020 s’est intéressée à la question. L’envoi de selfies dénudés a nettement augmenté ces dernières années. Il nous apprend que 44% des jeunes de moins de 25 ans, avouent s’être déjà excités virtuellement par le biais de photos érotiques comme les nudes, contre 10% en 2014.
Ce même sondage, mené sur un panel de 1002 personnes âgées de 18 ans et plus, dévoile que 14% des Français ont déjà envoyé des nudes à leur partenaire. De manière plus précise, on compte 31% des 18-25 ans, 28% des 25-35 ans et les plus sages sont les 35-50 ans avec 17%.
Vous imaginez bien que cette pratique n’est pas sans dangers… Aussi excitante et stimulante soit-elle, elle engendre notamment ce que l’on appelle le « revenge porn ». Il s’agit de rendre public les clichés (par le biais des réseaux sociaux essentiellement) sans l’autorisation de l’auteur. Les photos peuvent également être un moyen de chantage. Elles servent à exercer un moyen de pression sur l’auteur, afin de lui soutirer de l’argent, un acte sexuel, ou même plus délirant, simplement se venger en les envoyant aux proches.
J’en profite pour partager...Lire la suite sur Union
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« Cher docteur, Mon compagnon et moi avons trouvé une source d’excitation un peu bizarre. Lors d’un fou rire durant l’acte je lui ai uriné dessus. Il a joui instantanément. Depuis nous y avons pris goût et je l’arrose copieusement lors de nos galipettes, y compris sur le visage. Quels sont les risques liés à ces jeux humides ? »
Pour une pratique sans risques, restons vigilantsLa bonne nouvelle, c’est qu’il n’y a aucune raison de vous inquiéter, car ces petits jeux humides, comme vous les appelez, ne présentent aucun risque particulier. Contrairement à ce que pensent beaucoup de gens, l’urine est un liquide stérile, c’est à dire ne contenant aucun germe, ni virus. C’est uniquement à cause de son odeur forte, au demeurant réellement désagréable, qu’est liée la méfiance que nous en avons.
Cependant, cette pratique peut présenter des risques d’ordre infectieux. L’urine, comme je l’ai déjà dit, est naturellement stérile, sauf en cas d’infection. Dans ce cas, il vaut mieux être vigilant ! Il est généralement déconseillé d’avaler l’urine. Si le ou la partenaire a une infection urinaire ou une IST, il est possible de trouver dans les urines des traces de sang. Cette même présence d’un liquide sanguin peut, si le partenaire en est infecté, transmettre le VIH.
La plus commune des infections urinaires est la cystite, qui se manifeste par des brûlures en urinant et de fausses envies de faire pipi, et on peut difficilement ne pas s’en rendre compte. Dans ce cas, évidemment, il faut arrêter les dits jeux humides et prendre le traitement adéquat afin d’éliminer les bactéries ou bacilles responsables.
Je vous invite à lire un article en ligne, qui traite tout particulièrement ce sujet de jouissance qu’est l’urophilie : Lire la suite sur Union
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L'ex-président américain Donald Trump a lancé une tirade jeudi 5 août contre les footballeuses américaines, menées selon lui « par un groupe radical de folles gauchistes », pour leur défaite en demi-finales du tournoi olympique de football des Jeux de Tokyo, s'en prenant particulièrement à la star Megan Rapinoe.
Dans ma quête du sextoy parfait, et malgré le coup de coeur absolu que j’ai pu avoir pour le Womanizer et sa technologie à air pulsé et pour le Tango de Satisfyer et ses délicieuses vibrations, il m’a toujours manqué un petit truc pour vraiment kiffer mes orgasmes à 200%. Aussi, quand on m’a dit que le Curvy 2+ de Satisfyer cumulait les deux sensations, je me suis dit : c’est pour MOI ! Enthousiaste, aussitôt reçu, aussitôt testé. Et le résultat est…
PHÉNOMÉNAL ! Une fois n’est pas coutume, je ne vous ferai pas attendre jusqu’à la fin de l’article pour vous dire ce que j’ai pensé d’un sextoy, parce que mon enthousiasme est à la hauteur du kiff que je prends depuis quelques semaines à utiliser cette petite pépite de technologie conçue pour donner du plaisir aux clitoris. Et je vais vous expliquer précisément pourquoi.
Le Curvy 2+ : un aspichatte comme les autres ?De prime abord, j’ai pensé avoir affaire à un « aspi-chatte » comme bien d’autres, et dieu sait que j’en ai essayé un paquet dans ma carrière de testeuse de sextoys. Mais le Curvy 2+, ce n’est pas que ça. Ce dernier fonctionne avec une combinaison de stimulations par air pulsé « Air-Pulse » et de vibrations plus ou moins intenses. Chaque option peut fonctionné chacune de son côté, ou ensemble, selon vos goûts et vos envies du moment, pour booster l’efficacité et faire grimper le plaisir, en douceur ou à toute vitesse.
Petit plus : ce jouet est aussi un jouet connecté, qui fonctionne aussi bien tout seul que via une appli. En gros, c’est facile : on télécharge l’application Satisfyer, on connecte le jouet en Bluetooth, on donne le lien de connexion à son ou sa partenaire, et c’est parti : votre amant·e peut prendre le contrôle des vibrations comme des pulsations pour guider votre plaisir, créer des rythmes, utiliser de la musique… Le tout en vous envoyant des sextos ou en vous matant en Facetime, toujours via l’application. Une belle promesse, donc.
Et niveau test, ça donne quoi ?Au moment de prendre la bête en main, première bonne surprise : l’embout qui se place sur le clitoris est large, plus que sur le Sona Cruise de Lelo par exemple, ce qui permet de l’utiliser sur toutes les tailles de clitoris. Et comme ce n’est pas toujours le cas, c’est d’autant plus appréciable. Deuxième bonne surprise : grâce à sa forme incurvée (c’est donc pour ça qu’il s’appelle Curvy ! Ils sont malins, hein), les boutons sont facile d’accès, et la prise en main aussi. Quand on appuie sur le bouton d’activation, seules les pulsations se déclenchent, ce qui m’a un peu surpris au début. Pour avoir l’option vibration, il faut appuyer sur un deuxième bouton pour avoir le grand jeu !
Bon, une fois le côté technique compris, il ne me reste plus qu’à me laisser porter. Le niveau le plus bas des pulsations est trop léger pour moi, on augmenter, et wow : aspiration plus vibrations, c’est totalement efficace. En trois minutes, montre en main (oui, je chronomètre toujours mes premiers tests de sextoys, ya quoi), l’affaire était menée, l’orgasme obtenu, et je me retrouvais échevelée à reprendre mon souffle, la tête sur l’oreiller. Par curiosité, j’ai bien évidemment testé l’option « à distance », qui est ma foi tout aussi efficace. Le seul problème, c’est que moi je préfère des pulsations / vibrations qui restent toujours au même niveau, et que mes partenaires ont ont tendance à trop s’amuser à varier les plaisirs pour que le mien ne grimpe. Du coup, je préfère l’utiliser en solo. Chacun ses goûts !
Avant la sortie d’un double album à la rentrée avec son nouveau groupe Jukeboxbabe, le piquant punk et poétique de l'artiste Jean-Luc Verna est à éprouver dans le cadre d'une rétrospective qui lui est consacrée à Annecy.
L’article Jean-Luc Verna: «The only way out is through» est apparu en premier sur 360°.
Voici les articles dans l’ordre chronologique de parution du blogue cercle O.
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Jeux de confiance extrêmesEntre apprécier les tenues vamp des Batman, Madonna et Shakira… et passer des fantasmes à l’acte, il y a un pas. Un grand pas.La gestion des risquesL’usage du pseudonyme dans l’exploration de notre sexualitéLes motivations à la soumissionL’attirance pour les pratiques BDSML’article Les articles de cercle O par ordre chronologique est publié dans le site cercle O - L'échange de pouvoir érotique.