— J’étais donc là, assis sur le banc de bois, avec seulement une serviette autour des reins, et alors elle s’est levée et elle m’a embrassé. Ensuite, elle est descendue le long de ma poitrine et de mon ventre, elle a dénoué la serviette puis s’est mise à me caresser la queue.
— Elle t’a… comme ça? Elle ne savait même pas que tu…
— Je te jure. J’ai fermé les yeux, je me suis adossé au mur et j’ai senti ses lèvres autour de mon sexe. Inutile de dire que je me suis retrouvé au garde-à-vous en moins de deux. Je sentais sa langue tourner autour de mon gland; parfois elle arrêtait, enlevait sa bouche et tenait ma bite contre mon ventre pour pouvoir bien dégager mes couilles et me les lécher et j’écartais les jambes le plus possible pour faciliter sa caresse.
— Comment c’était?
— Ça me faisait gémir de plaisir, qu’est-ce que tu penses. Sa langue ferme et chaude se promenait partout entre mes cuisses et mes fesses en laissant une trace d’humidité à chaque passage. Elle me branlait assez vigoureusement, pour ensuite reprendre ma queue dans sa bouche. Je voyais ma bite luisante, pleine de salive, rentrer et sortir entre ses lèvres. Jamais je n’aurais cru qu’elle savait pomper à ce point, qu’elle y mettrait autant d’ardeur et d’application. Elle serrait les joues d’une façon incroyable et savait exactement comment varier le rythme. Ses mouvements rapides étaient une torture et ses mouvements lents un véritable supplice. Dix fois j’ai cru que j’allais décharger, dix fois elle s’est arrêtée quelques secondes avant que je jouisse, pour recommencer de plus belle.
— Mais tu as quand même fini par venir, n’est-ce pas…
— Quand j’ai senti que j’allais jouir, je l’ai avertie de l’imminence de l’éjaculation en lui proposant d’arrêter. Elle m’a fait non de la tête, alors j’ai giclé dans sa bouche à longues saccades en hurlant de plaisir. J’ai senti son corps entier trembler et dans un long grognement elle a entrouvert sa bouche pour respirer. Haletante, elle a empoigné ma queue et, pendant que je finissais de décharger quelques giclées sur son visage, elle m’a caressé les couilles et s’est acharnée sur mon sexe avec sa main.
— Quel enthousiasme…
— Je ne te le fais pas dire. On aurait dit qu’elle voulait que j’en crache toujours plus. Longtemps après que j’eus joui, elle me suçait encore pour ne pas en perdre une goutte. Elle a étalé le sperme sur ses joues avec mon gland et m’a nettoyé soigneusement la queue avec sa langue. Elle s’est ensuite relevée et m’a embrassé, me fourrant une langue poisseuse de foutre dans la bouche.
— Wow…
— Avoue que ça t’excite, mon cochon.
— Ouais, j’avoue. Je bande comme un chevreuil.
— Tant mieux, parce que maintenant, j’ai envie de défaire ta braguette et te faire exactement ce qu’elle m’a fait.