Veuve depuis une quinzaine d’années, la sexualité est restée un élément essentiel de mon équilibre, même si cela peut faire sourire. Mon ami, qui a un an de moins que moi, y tient tout autant. Je suis comblée, aussi bien par la taille de son sexe que par ses érections, qui ne me laissent aucun « répit ». Malgré cela, il n’éjacule pas spontanément, restant encore en érection longtemps après. Du coup, j’ai la sensation de ne pas être à la hauteur. Gourmande, mes tentatives de le prendre dans ma bouche me font encore plus douter de moi. Même avec l’aide de mes mains, je n’obtiens satisfaction que lorsqu’il prend l’initiative de se masturber lui-même dans ma gorge. Il m’a confié qu’il se masturbait régulièrement et qu’il avait toujours été capable de maitriser ses éjaculations à sa convenance. J’ajoute que ses examens prostatiques sont tout à fait normaux. Je suis frustrée par cet aspect de notre vie sexuelle. Est-ce courant ? Dois-je adopter un comportement particulier pour arriver au même résultat que lui, au moins en le masturbant, si ce n’est au cours de l’acte ? Merci de vos bons conseils.
Votre lettre m’inspire tout à la fois de la sympathie et de l’admiration. Arrêtez de vous culpabiliser parce que votre ami « n’éjacule pas spontanément ». Je crois au contraire que vous devriez vous en réjouir, vu le nombre d’hommes souffrant d’éjaculation précoce.
Il vaut mille fois mieux être en compagnie d’un éjaculateur « retardé », car il a au moins le mérite de vous satisfaire. Il n’en reste pas moins vrai que beaucoup de femmes ayant un partenaire dans ce cas ressentent une frustration psychologique. Pourtant, chez un homme, le fait de parvenir à jouir par le biais de sa propre Lire la suite sur Union
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