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Comme je le relatais déjà, le temps est une ressource dont je ne dispose que très peu depuis un certain nombre de mois.
Préférant sortir que d'écrire (je sais c'est mal) le blog en pâtis.
Ce soir je fais exception à la règle, doublement même : j'écris ces quelques lignes, et ma sortie devrait être plus sage qu'à l'accoutumée : le Bal des Princesses 2014.
Je ne serai pas déguisé en lapin, inutile de m'y chercher sous cette forme si vous y participez.
Et si vous venez sur le blog suite à la soirée (qui sait), je vous invite à feuilleter ces quelques pages (NSFW).
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Billet : Ce soir, j'irai au Bal... des Princesses.
Ha la fellation, on pourrait en parler pendant des heures… Mais on ne va pas le faire hein ! On va seulement aborder quelques points.
Tout d’abord saviez-vous que fellation est un dérivé savant de fellatum supin du latin fellare « sucer, téter ». En anglais : on dit « blow job », comme s’il s’agissait de souffler dans le pénis comme dans une flûte…
Dans l’Antiquité romaine, la fellation pratiquée par un homme était une pratique honteuse et le mot « fellateur » était utilisé comme l’« injure suprême ». En revanche, le fait pour un homme de se faire sucer le pénis par un autre homme (pratique nommée « irrumation ») était relativement valorisé. Hum hum…
Comme pour le cunnilingus, la fellation était proscrite par l’Église. Elle a même été considérée comme une pathologie, une perversion de l’instinct, « instinct » qui « normalement » ne devait produire que des activités sexuelles permettant la reproduction.
En 1952, la fellation, avec la masturbation et le cunnilingus, faisaient partie des comportements pathologiques dans la première édition du Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux.
Pendant longtemps (et encore parfois), l’image de la femme donnant une fellation s’est confondue avec celle de la femme illégitime ou de la prostituée. Le « talent » de cet acte leur était attribué.
Bon, mais on a été sauvé quand le mot est entré dans le dictionnaire Larousse en 1981, là tout était enfin permis !
En 2012, le magazine ELLE a même titré un article, « La Pipe, ciment du couple ! ». Cela a provoqué la réaction de pas mal de féministes, sur le web. Certaines féministes voient la fellation comme un signe d’allégeance. « La femme qui suce reconnaîtrait la suprématie de l’homme » (Pauline Barnet). Une interprétation assez réactionnaire de la sexualité. On n’est pas obligés d’aimer cela en tant que femme, c’est certain. D’ailleurs certains hommes n’aiment pas cela ! Mais le voir comme un signe de soumission est assez réducteur. Il est vrai que la pornographie qui s’est largement répandue sur nos écrans, nous montre souvent la fellation comme un acte de soumission. La femme est agenouillée, l’homme pose sa main sur sa tête pour lui donner le rythme de va et vient, avec quelques propos avilissants en prime… On comprend que certaines femmes puissent ne pas supporter cette pratique. Mais, j’aurai tendance très personnellement à dire le contraire, je m’explique : avec cette pratique, c’est vous qui êtes maître de son plaisir, vous le dominez. Vous pouvez presque décider à quel moment il va éjaculer !
Bon et dans la pratique ? La fellation est une pratique sexuelle qui consiste à stimuler le pénis du partenaire avec la bouche, les lèvres et la langue (jusque-là, je ne vous apprends rien) nan pas les dents je vous l’ai déjà dit, rhaaa, il faut écouter parfois c’est important ! Bon, elle peut donc être employée comme préliminaire sexuel ou pour conduire votre partenaire à l’éjaculation et/ou à l’orgasme. Suis-je obligée de répéter que l’éjaculation n’est pas synonyme d’orgasme comme on le croit souvent ? Qu’elle est généralement concomitante à l’orgasme, mais que les deux ne sont pas liés. L’un est la conséquence naturelle de l’autre. Il est courant d’éjaculer sans orgasme (c’est souvent le cas des éjaculations précoces) et il est aussi possible d’avoir des orgasmes sans éjaculer. Vous me suivez ?
Le pénis (et ses alentours) possède plusieurs zones érogènes que l’on peut stimuler durant la fellation. Ces zones procurent d’intenses plaisirs chez l’homme.
• La hampe : c’est le corps principal du pénis (la face ventrale, là où le canal est visible par le gonflement lors de l’érection, est particulièrement sensible. Lorsque vous passez votre langue dessus les sensations peuvent être nombreuses).
• Le gland : zone aussi sensible que le clitoris. La couronne du gland étant la zone la plus sensible avec ces terminaisons nerveuses abondantes. Il y a des différences de sensations entre les hommes circoncis et ceux qui ne le sont pas. Sans prépuce, les hommes sont un peu moins sensibles puisque leur verge est sans cesse en contact avec les vêtements.
• Le frein : petite languette de tissu qui unit la hampe au repli ventral du prépuce. Zone sensible mais très fragile. Si vous le stimulez trop, cela peut vite devenir agaçant et douloureux.
• Le scrotum et testicules : vous pouvez les caressez en même temps que vous pratiquez la fellation.
• La zone entre les testicules et l’anus est aussi très sensible. Cette zone lorsqu’elle est stimulée atteint la face cachée du pénis (et oui, il s’enfonce profondément à l’intérieur), des glandes de cowper (produit la cyprine, ce qui permet la lubrification du gland) et la prostate se trouvant au-dessus.
La fellation peut aussi être accompagnée par la masturbation manuelle pour accompagner votre bouche et ainsi procurer d’autres sensations. Les positions ? Mais vous les connaissez, cessez de me demander des choses que vous savez déjà ! À genoux, debout, la cravate, le 69 (pour ceux qui ne supportent pas donner sans recevoir)…etc etc
Ça fait très manuel, je sais, mais, je voulais montrer que le pénis n’a pas une seule zone érogène. Il y en a d’autres encore d’ailleurs ! Evidemment, chaque homme est différent, a son propre mode de fonctionnement, ses propres capteurs de volupté… Il n’y a donc pas une recette de la felllation parfaite.
La fellation c’est une histoire de partage avant tout. Un jeu érotique. Pour la personne qui prodigue la fellation, son plaisir réside dans l’excitation et la volupté qu’elle procure à son partenaire. Voir son partenaire prendre du plaisir peut être très excitant, je vous l’assure (ha pardon, je ne vous apprends rien là encore?!). Bon, mais si vous ne trouvez aucun plaisir à la pratiquer inutile de vous y atteler (votre partenaire sans rendra vite compte).
Le côté moins folichon, c’est lorsque la fellation est encore pratiquée comme une logique de safe-sex (moins de risques de contamination du VIH, même si les campagnes de prévention insistent sur la réalité du risque). Et oui, il y a risque de transmission d’infections comme l’herpès, le sida, l’hépatite, la syphilis. Il existe pour se protéger, lorsque l’on ne connait pas le statut sérologique de son partenaire, le préservatif. Même si vous n’avalez pas le sperme, il y a un fort risque de contamination dû au liquide séminal expulsé durant tout l’acte sexuel. Attention donc !
Ma conclusion : il n’y a pas une bonne façon de faire une fellation, simplement, il faut en avoir envie !
Cet article La fellation est apparu en premier sur Le Cabinet de Curiosité Féminine.
Vous vous souvenez de Clayton Pettet? Ce jeune élève de la prestigieuse Central Saint Martins College of Arts and Design de 19 ans avait annoncé qu’il allait faire de la perte de sa virginité une performance artistique? En octobre dernier, cette proposition avait fait grand bruit au Royaume-Uni et dans le monde entier.
Prévu au mois de janvier, l’événement a finalement eu lieu le 2 avril à Londres. Mais «Art School Stole My Virginity» a laissé sur leur faim beaucoup des 120 spectateurs qui se sont massés dans le petit local qui accueillait la performance.
«Je suis votre vierge du cul»
Pettet s’est présenté sur l’estrade en sous-vêtements, entouré d’une tas de bananes. «Je suis votre vierge du cul», a proclamé l’étudiant devant le public après un rituel mystérieux. «Vous êtes mon partenaire, a-t-il ensuite ordonné à des membres de l’assistance. Prenez une banane. Et maintenant pénétrez ma bouche huit fois.»
Le jeune homme prenait ensuite le fruit des mains de son «partenaire» et le cassait en deux, avant d’inviter le spectateur à regagner sa place.
Attentes
Et on en est resté là, raconte le site Dazed Digital. Après son show, Pettet a assuré qu’il n’avait jamais promis d’avoir un rapport anal en public – en dépit de déclarations pour le moins ambiguës, l’an dernier. «Je pense que si les gens attendaient autre chose, a-t-il déclaré, la pièce leur aura montré ce qu’ils voulaient vraiment voir: des rapports sexuels. S’ils étaient venus pour l’art, ils n’auront pas été déçus.»
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Above: Brooke Candy, more at Fashiontography.
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