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Dans cette vidéo, on voit trois femmes lesbiennes palper un pénis pour la première fois. La mise en scène est faite pour nous arracher du rire. Et de fait, il est difficile de ne pas sourire. On ressent cette même sensation « hihihi » qu’on pouvait avoir ado en écoutant le doc parler de cul sur « Fun ».
« Mes mains sont un peu froides, c’est un problème pour toi ? »
« Je déteste parler en public, j’ai failli me faire renverser par une voiture et je ne me suis clairement jamais sentie aussi nerveuse. »
Cette vidéo est cependant d’une idiotie profonde. A plusieurs titres.
Un homme...
Les bites sont des entités fascinantes. Si vous en avez une sur vous en permanence, vous le savez déjà très bien. Si vous en avez déjà touché une qui ne vous appartient pas, vous le savez d’autant mieux. A l’inverse, il est possible que vous n’ayez jamais été en contact avec un pénis de toute votre vie. C’est le cas de Daylynn, Arielle et Bria, les héroïnes de la dernière vidéo à la mode : Lesbians Touch Penis For The First Time! Tout est dans le titre.
“On dirait de la pâte à modeler qui aurait été réchauffée”, analyse Bria. Pour Daylynn, ce premier contact avec un pénis évoque avant tout son expérience en boucherie-charcuterie, quand elle “fourrait les dindes pour Noël”. Arielle s’étonne : “Je ne pensais pas que les couilles étaient si grosses”. Puis elle décroche son téléphone pour expliquer à sa mère qu’elle vient de toucher son premier zizi. Intéressant.
On pensera ce qu’on veut de la vidéo, mais par chez nous elle gêne un peu aux entournures. D’accord, la vidéo est drôle, mais la mécanique commence à gripper. Des lesbiennes touchent un pénis pour la première fois n’est que le dernier représentant d’une longue série de vidéos pseudo-anthropologiques : Des mecs hétéros regardent du porno gay, De vraies lesbiennes regardent du porno lesbien, des Coréens regardent du porno américain… En 2016, on pourrait peut-être changer de formule pour faire pleuvoir les pouces et les vues.
Les studios Disney ont toujours aimé les funny animals. Ces animaux aux caractéristiques humaines – bipèdes, habillés, doués de parole, etc – sont au centre des productions du géant de l’animation depuis sa naissance au début des années 20. En 1923, sa série de courts-métrages Alice Comedies flanquait déjà une fillette bien réelle d’un chat anthropoïde appelé Julius ; quatre ans plus tard, les aventures burlesques d’Oswald le lapin chanceux faisaient un carton de New York à Los Angeles. Après eux vinrent Mickey, Donald, Dumbo, Mufasa, Bambi…
Du muet au parlant, du noir et blanc à la couleur, de la 2D aux images de synthèse, les funny animals ont survécu à tous les grands bouleversements de l’industrie cinématographique sous la houlette de Disney. Tant et si bien qu’aujourd’hui, à bientôt cent ans, les célèbres studios misent toujours sur eux. Leur prochain film d’animation, Zootopia, raconte l’histoire d’une lapine qui débute sa carrière de policière dans une ville peuplée d’animaux anthropomorphes. Le long-métrage ne doit sortir qu’en février prochain, mais il s’est déjà attiré une horde de fans un peu particuliers : les furries.
Zootopia, nouvelle came de la communauté furryLes furries sont des amateurs hardcore d’animaux aux caractéristiques humaines. Certains se contentent de collectionner leurs représentations, d’autres vont jusqu’à enfiler des costumes à leur image. Le truc, c’est qu’une partie de la communauté furry aime aussi les dessins pornographiques d’animaux anthropomorphes. Dans leur vocabulaire, ces illustrations sont désignées par le terme “yiff”. Et chez les kiffeurs de yiff, les personnages de Zootopia font un carton depuis la sortie du premier trailer.
C’était à prévoir : premiers de longue date sur la Rule 34, les yiffeurs font feu de tous les personnages qui ressemblent de près ou de loin à un animal. La lapine de Zootopia et le renard qui lui sert d’équipier ne pouvaient qu’y passer, tout comme les gros tigres en slip argenté de la bande-annonce. Un foisonnement d’illustrations pornographiques qui n’est pas du goût de tout le monde au sein de la communauté furry.
Du bon yiff pour les yiffeursIl y a deux mois, un internaute anonyme a lancé une pétition intitulée “Please Stop Making Zootopia Porn” sur change.org. D’après lui, ceux qui produisent du yiff basé sur le film d’animation gâchent la seule chance de la communauté furry d’apparaître fréquentable aux yeux du monde. A cause d’eux, “les gens vont penser que les furries ne sont rien de plus que des détraqués sexuels”, plaide-t-il. Lundi 4 janvier, la pétition a reçu sa 250e signature.
Cette initiative est sans doute ironique. Peu de temps après l’avoir mise en ligne, l’instigateur de Please Stop Making Zootopia Porn a publié une mise à jour dans laquelle il déclare : “Laissez tomber, je viens de regarder un peu du porno en question et c’est assez cool en fait, faites en plus s’il vous plaît”. A défaut d’être sérieuse, la pétition a le mérite de révéler l’engouement de la communauté furry pour Zootopia. Beaucoup de ses représentants semblent en effet considérer que le film de Disney est un sérieux clin d’oeil aux furries.
Les clins d’oeil de Disney aux furriesComme l’observe Amid Amidi dans Cartoon Brew, les bandes-annonces de Zootopia contiennent quelques “éléments qui ne sont pas strictement réservés aux enfants”, comme une parodie du Parrain ou un gag basé sur une bande d’animaux nudistes. Ces clins d’oeil à un public adulte ont été interprétés comme un appel du pied par certains furries. Jusqu’à susciter un engouement parfois débordant. “Je pense que ce film peut être utilisé comme un très bon outil de communication, explique un certain Yamicat sur la catégorie Furry de Reddit. Quand les gens disent “Oh, les furries ne sont qu’une bande de zoophiles”, nous pouvons répondre “Non, regardez Zootopia. C’est ça que nous aimons” ».
Cet enthousiasme un peu délirant, semble-t-il partagé par une partie de la communauté furry, aura poussé les yiffeurs à créer la pétition Please Stop Making Zootopia Porn dans un élan moqueur. Les furries ne sont pas près de devenir mainstream comme un film Disney.
Vendredi prochain, le label Her Majesty’s Ship s’installe pour une nuit au Badaboum. De 23h30 à 6h du matin, cinq musiciens se succèderont dans le DJ booth pour la HMS Label Night : le duo “italo-techno-disco” Marvin & Guy y précédera la britannique Nadika Ksaiba, qui laissera elle-même sa place à un b2b entre les deux artistes de HMS David Shaw et La Mverte.
Pour assister à la HMS Label Night, vous devrez débourser 12 euros en prévente sur Resident Advisor ou 15 euros à la porte. Vous pouvez aussi nous envoyer un message à concours@letagparfait.com pour tenter de remporter l’une des deux places que le Tag Parfait met en jeu. Bonne chance !
Pour fêter cette nouvelle année, l’émission TV Paris Dernière se passe entièrement en banlieue. A la fin, vous assisterez à un véritable lâcher de...
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http://www.24heures.ch/suisse/politique/pdc-gay-cas-contradictoire/story/10724415|La section LGBTI du Parti démocrate-chrétien suisse ne soutient pas l’initiative fiscale sur les époux, soumise au vote le 28 février. Elle s’oppose à la définition du mariage qui y est inscrite. Laurent Dietrich, vice-directeur de ce groupe, regrette toutefois la violence des positions de part et d’autre. «La communauté a de nombreuses batailles à mener, à l’exemple du droit à l’adoption ou contre les discriminations dans le travail ou le sport. Ces derniers mois pourtant, elle se focalise uniquement sur cette campagne, constate le Fribourgeois. Il s’agit d’une réaction épidermique contre le milieu chrétien. C’est aussi une forme de discrimination de leur part. Les réactions des deux camps ne sont pas saines.»
«Etre PDC et gay n’est en aucun cas contradictoire» https://t.co/PJptSid9EO #Suisse pic.twitter.com/QgjWmN8uEx
— Tribune de Genève (@tdgch) 4 Janvier 2016
La plante évoque l’apathie. On dit «végéter» pour «stagner». Mais il y a quelques siècles encore, «végéter» signifiait le contraire. En latin, ce mot désigne la surabondance d’énergie qui pousse une plante à jaillir.
Plus on la coupe, plus elle reverdit : la plante, c’est l’énergie sexuelle incarnée. Sur le plan étymologique en tout cas. Les termes latins dont le mot «végétal» dérive désignent à l’origine «force et croissance». Le mot silva (forêt) est attesté dès Cicéron dans le sens de «grande quantité» et d’«abondance de matière». Le mode d’être de la plante est celui d’une prolifération virtuellement infinie, en constante expansion. Quel plus beau modèle prendre pour l’humain que celui du lierre ou du lichen? A la différence des végétaux dont la vie se confond avec la croissance, la plupart des bêtes, une fois adultes atteignent leurs dimensions définitives, explique Dominique Brancher, ce qui explique peut-être pourquoi les plantes font si peur. Elles ne connaissent pas de limites. Elles ne respectent pas l’ordre. Est-ce la cause du stigmate qui les frappe en Occident?
Les plantes sont-elles victimes de spécisme, de sexisme ou de racisme?
Chercheuse à l’Université de Bâle, Dominique Brancher est l’auteure d’un livre qui entend rendre justice au règne végétal : on en a fait un règne dormant, voué à l’immobilité, à l’absence de pensée, de sentiments, de sensations… Quel dommage d’avoir ainsi perverti ce qui – à l’origine de notre culture – était considéré comme une forme de débordement vital. Trop vital. «Eclipsé par l’attention exclusive donnée au vaste débat sur la distinction entre l’animal et l’homme, […] le végétal s’est vu relégué au rang de tiers-exclu», dit-elle, regrettant que le mot végéter soit devenu synonyme d’inertie. Mais pourquoi un tel revirement? Pour quelle raison notre culture a-t-elle ainsi châtré la plante? Dans un livre au titre explicite Quand l’esprit vient aux plantes (allusion ironique au poème de La Fontaine «Comment l’esprit vient aux filles»), Dominique Brancher retrace l’histoire de ce qu’elle désigne comme l’invention d’un sexisme anti-flore. Nous avons discriminé les végétaux comme l’ont été les femmes : en leur déniant tout désir. Comme l’ont été les «sauvages» : en leur déniant toute intelligence. Comme le sont encore les animaux : en les parquant dans des réserves. C’est pourquoi il faut lire son enquête sur la sexualité des plantes comme un révélateur de nos choix de vie.
Quand les plantes étaient humaines…
Aux origines présocratiques de notre culture, les cosmogonies imaginées par Thalès (né en 640 av. J.-C.), Héraclite (504 av. J.-C.) ou Empédocle (492 av. J.-C.) reposent sur un principe d’équation : nous sommes faits de la même matière que tout ce qui existe, fleur ou astres. Cette règle d’analogie poétique «dit la trame vitale qui tisse les êtres et confond leurs attributs et leurs formes. Les arbres “pondent“ leurs fruits et les êtres humains se développent comme des plantes.» Pour Empédocle, qui rédige sa théorie en vers fabuleux face au paysage volcanique de sa Sicile natale, il n’y a ni naissance ni mort. Tout chose se renouvelle sous l’effet d’une ardeur brûlante qui traverse la matière. «Toute chose pense», dit-il. Toute chose aime et hait. «Dans ses transmigrations, l’âme humaine épouse les métamorphoses de la matière car elle a “déjà été autrefois garçon et fille, buisson, oiseau ou poisson cheminant à la surface de l’eau» (Empédocle, VIII).». Dans cet univers foisonnant, les plantes ont du plaisir et souffrent comme les humains qui, eux-mêmes, viennent au monde mouillés par la rosée de leur larmes. Empédocle résume ainsi leur première apparition : «Or donc voici comment des hommes et des femmes trempés de pleurs, Feu, se séparant, fit jaillir les pousses dans la nuit» (Empédocle III, Les Origines).
Avec la « raison » vient l’inégalité
Mais cette vision-là du monde est trop poétique sans doute. Dès le 1er siècle avant J.-C., Nicolas de Damas écrit dans son ouvrage De Plantis : «Il faut rejeter ces idées grossières et nous mettre à dire la vérité». Platon (427 av. J.-C.), deux siècles avant lui, n’accorde aux plantes qu’une âme inférieure et en fait des animaux immobiles. Mais c’est Aristote (384 av. J.-C.) qui «réduit encore plus considérablement la dignité du végétal en lui laissant seulement “une sorte d’âme“ (De Anima, A5, 411)». La classification qu’Aristote met en place devient le modèle dominant d’une pensée occidentale qui place l’homme au sommet de la hiérarchie. Dans ce nouvel ordre moral, «les plantes jouissent seulement d’une âme végétative», désormais privées d’entendement. Avec le christianisme, leur statut ne s’améliore pas, au contraire. «Selon l’agenda cloisonné de la Genèse, Dieu créa les plantes le troisième jour, les animaux le cinquième et l’homme le sixième». Dans l’échelle des êtres, le végétal est en bas. Deux attitudes prévalent à son égard. La première repousse les plantes du côté du péché. Le seconde, guère plus enviable, du côté du paradis. Dans les deux cas, la plante est vue comme une créature frigide.
La plante comme symbole du péché de gourmandise
Bien qu’ils lui dénient toute capacité de percevoir et donc de jouir, les théologiens estiment en effet que la plante est gourmande. Ne passe-t-elle pas son temps à sucer la terre? Voilà pourquoi elle est au bas de cette Scala Naturae («échelle de la nature») que de nombreux ouvrages du XVIe siècle décrivent en termes de menace : attention de ne pas tomber ! Chaque échelon figure un degré de déchéance. Quand l’homme commet le péché de luxure (sensualis), il est ravalé au rang d’animal. Quand il a trop d’appétit (vitalis), le voilà végétal. Quand il sombre dans la tristesse (acédie), il rétrograde en minéral. Le christianisme «est une religion qui déconsidère la vie organique au profit de la pensée rationnelle», rappelle Dominique Brancher. Aux yeux des chrétiens, l’homme ne peut prétendre à son statut supérieur qu’à la condition de ne rien avoir en commun avec la (vile) matière. Les bêtes qui forniquent, les rivières qui ondoient et les plantes qui têtent la glaise sans penser, avec une gloutonnerie «stupide et insensible» (Jean Pic de la Mirandole) sont des choses détestables, qui renvoient à la chute.
La plante comme symbole de l’asexualité
Mais il existe une autre attitude vis à vis des plantes : pour certains chrétiens, elles présentent cet avantage sur les animaux d’être «pures». Cela commence au XIIIe siècle, avec Innocent III : dans un texte intitulé De Contemptu mundi, le pape attribue aux plantes la «candeur de l’âme végétative». La plante n’est pas sexuée, dit-il (ignorant qu’il existe des espèces végétales où les mâles et les femelles sont distincts). «Dégagés des ardeurs charnelles qui abêtissent et abrutissent, les végétaux offrent ainsi la rédemption d’un nouvel Eden. Combien d’auteurs de la Contre-Réforme ne célèbrent-ils pas la pureté de la reproduction végétale?». Dominique Brancher cite par exemple Thomas Browne qui, dans les années 1630, déclare : «Je serais heureux, si nous pouvions procréer comme les arbres sans union et s’il existait un moyen de perpétuer le monde sans passer par le coït vulgaire et trivial. C’est l’acte le plus sot qu’un homme sage puisse commettre dans sa vie». Edifiant. La chercheuse enfonce le clou : «Aux yeux de la mystique flamande, la perfection végétale figure une complétude originelle que la Faute, en modifiant le corps physique des premiers hommes, a définitivement dérobé à l’humanité : “Au lieu d’hommes qu’ils devaient être, ils sont devenus des monstres divisés en deux sexes imparfaits, impuissants à produire leurs semblables seuls, comme se produisent les arbres et les plantes“».
Savez-vous planter des choux?
Dans la tradition ouverte par Innocent III, tout un imaginaire puritain se cristallise aux XVIe et XVIe siècles autour des plantes. La botanique devient «une technique de maîtrise des instincts, explique Dominique Brancher. On en trouve les répercussions jusque chez Rousseau, “persuadé qu’à tout âge l’étude de la nature émousse le goût des amusements frivoles, prévient le tumulte des passions“. “La campagne a toujours été considérée comme le séjour de l’innocence“, renchérit Trembley». L’herborisation devient l’activité favorite des puritains. On associe le curé de campagne à un brave jardinier, expert en sirops pour la gorge. «La méconnaissance concertée de la sexualité des plantes, depuis Aristote jusqu’aux naturalistes de la Renaissance, entretient cette vision angélique.» Heureusement, il existe à toute époque des empêcheurs de tourner en rond. Au XVIe siècle, en particulier, des voix dissidentes s’élèvent : non, la plante n’est pas sage. Nous ferions bien d’en prendre de la graine.
La suite lundi prochain
A LIRE : Quand l’esprit vient aux plantes. Botanique sensible et subversion libertine (XVI-XVIIe siècles), de Dominique Brancher, éditions Droz.
ILLUSTRATION : Hosoe Eikô, photo de Mishima Yukio, album Ordalie par les roses.
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