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J’ai été élevée dans une famille où l’on m’a toujours expliqué qu’il fallait se fixer des limites… Pour ne pas blesser les autres, pour ne pas tomber dans la vulgarité ou la déchéance… Quand j’ai changé de statut pour revenir à celui de célibataire, j’ai établi une liste de choses que JAMAIS Ô GRAND JAMAIS je ne ferai…
1. Ne jamais coucher avec un mec dont je pourrais être la mère.
En fait, à quel âge peut-on réellement être mère ? 16, 17 ans ? 18 ? Techniquement c’est possible, mais totalement irréaliste, non ? Alors, tant pis !
2. Ne jamais draguer un mec en présence de mes enfants.
Oui mais, je les ai beaucoup et puis ce n’est pas ma faute, si le mec ultra-mignon me regarde, je suis une fille polie, je lui rends son regard, son sourire… Ce n’est pas de la drague, c’est de la politesse et j’ai toujours insisté auprès de mes monstres comme quoi la politesse était sacrée !
3. Ne pas accepter les avances des médecins / dentistes / kinés / profs / entraîneurs de mes enfants.
Franchement… Elle était débile celle-là… Je l’ai abandonnée tout de suite !
4. Ne jamais coucher avec 2 mecs le même jour.
Vu que j’ai un planning serré, il faut profiter de toutes les occasions… Pourquoi dire non à un : « Je peux passer ? » parce que l’on vient de dire : « Salut, c’était sympa. » Personne ne le sait à part moi ! (Et vous maintenant !)
5. Ne pas coucher avec son coach sportif ou son remplaçant !
Vous avez vu ces corps parfaits ? Et il faudrait dire : « Non, cela ne me semble pas raisonnable… Tu es mon coach… » Sérieusement ? Raisonnable ? A un sportif, eux qui poussent toujours plus loin les limites… C’est quasi de la provoc’ !
6. Ne jamais enchaîner les dates.
J’ai trop longtemps travaillé dans la finance pour ne pas mettre un point d’honneur à augmenter mon ROI ! Alors, oui pour un café avec Julien, un apéro avec Clément et je verrai pour le dîner avec Thibaut et peut-être que j’irai prendre le dessert chez Raphaël… La diversité, il n’y a que ça de vrai !
7. Ne JAMAIS coucher avec un mec qui porte le même prénom que mon fils ou mon ex.
Euh, c’est ma faute à moi si les gens manquent d’originalité à l’heure de choisir un prénom ? Ok, le premier ça m’a fait bizarre, mais depuis j’en suis revenue !
8. Ne jamais juger un homme sur son physique.
Pour l’usage que je vais en faire, peu m’importe qu’il soit intelligent ou hyper charmant ou même riche… Et pourquoi se satisfaire de peu si on peut avoir mieux…
9. Ne pas coucher avec son voisin.
Le week-end je vis dans un immeuble de 132 appartements, petites surfaces, essentiellement occupées par des petits jeunes… C’est pas faute ! C’est comme rentrer dans une pâtisserie et dire : « Non, merci, je suis au régime ! ». Tant que nous sommes tous des adultes consentants, je ne vois pas le problème.
10. Ne pas coucher avec les commerçants du quartier.
Juste que là c’est la crise ! Et que si en plus cela permet de recevoir quelques chouquettes en plus dans mon paquet de viennoiseries (ceci est un exemple au hasard…) pourquoi dire non ? Moi qui suis une grande gourmande !
Pour être honnête avec vous, je crois me souvenir qu’il y avait une vingtaine de points dans ma liste mais je les oublie au fur et à mesure… Alors j’ai remplacé cette liste de « limites » par une liste d’« objectifs ». Un tatoué, un mec à chignon, un danseur, un mec de la marine (j’ai déjà armée de terre et de l’air !), etc. C’est franchement plus drôle !
(cc) Leandro OrellaThe post Ma « Not to do list » ! Ou toutes ces choses que je m’étais jurée de ne jamais faire… appeared first on Ladies Room.
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Me revoilà avec une question existentielle ! Je dirais presque que c’est une requête, une incompréhension. Qu’ont fait les hommes au monde pour être si mal servis ?
En effet, il y a quelques années, alors en déplacement professionnel et me préparant à dormir une nouvelle fois à l’hôtel, je me suis pris d’une envie folle de masturbation. Ca va oui… Que celui ou celle à qui ce n’est jamais arrivé me jette la première bière (les pierres font trop mal). Ainsi, je me repassais rapidement les techniques masculines en revue !
Je tournais rapidement autour de l’outil emporté avec moi… ma main. Coup de chance, j’en ai deux. Oui mais bon, les possibilités offertes ont déjà été, à de nombreuses reprises, explorées.
- Avec la main droite,
- avec la main gauche,
- paume dans un sens puis paume dans l’autre,
- avec le pouce et l’index,
- avec les deux mains… etc.
Que trouver dans la chambre d’hôtel ?!… (Je continuais ma masturbation de l’esprit sur les techniques, si vous me suivez toujours).
- Me faire l’oreiller,
- m’amuser avec le pommeau de douche,
- demander de l’aide à la dame d’étage,
- toquer chez la voisine de la chambre 17,
- oups, il vient de rentrer, la voisine est un monsieur… où est mon oreiller ?
Tout en étant déçu de cet inventaire succinct, je me lance sur l’internet mondial afin d’y lire quelques (pourquoi pas) expériences partagées sur des forums et (pourquoi pas) des techniques que je ne connaissais pas (ou que j’avais déjà mis de côté). Je découvre ou redécouvre… :
- la chaussette (maman s’en rendait-elle compte en les lavant pendant ma jeunesse ?),
- la tarte chaude (j’aime trop la bouffe pour gâcher comme ça),
- les divers fruits et légumes à insérer crus dans le vorace,
- les divers objets détournés à insérer propres dans le clin d’œil.
Rien de très nouveau à vrai dire (quand je dis nouveau, je veux dire “rien d’inconnu”). Je tombe sur les différentes techniques. Et oui, ils leur ont donné des noms. Je vous laisserai chercher plus de détails sur celles qui vous intriguent.
- La technique de l’embrassade,
- la technique de la plume,
- la technique de l’anneau,
- la technique du roulement,
- la technique indirecte,
- la technique du dormeur (celle où tu t’endors avant d’avoir lu toutes les techniques)… etc.
Il y en a plein. Un truc de dingue ! Vous le saviez mesdames et messieurs ? Note pour moi-même et ma curiosité, regarder le nom des techniques employées par mesdames et mesdemoiselles. Bref, je serais certainement moins bête après toutes ces informations mais je n’aurais pas joui originalement ce soir ?… Snif.
Je me relance donc. A cette époque, je ne connaissais pas les sextoys. Que ce soit pour homme ou femme ou les deux, je ne m’étais jamais trop penché sur le sujet. Il m’était déjà arrivé de rencontrer des gods, des poupées, des anneaux vibrants et autres. Sans les avoir pour autant utilisés, j’en connaissais le fonctionnement. (Il existe de très bons tutoriels sur la toile… Oups ! Désolé).
Il m’était déjà arrivé de jouer avec des partenaires avec certains d’entre eux, mais rien de destiné aux hommes. Une ou deux aventurières m’avaient expliqué ce que cela leur faisait et une m’en avait fait la démo en live (hyper excitant en passant). Je préfère la démo à “mano” qui me transforme en brasier de la Saint Jean en quelques secondes. Oups, je m’égare ! Nous y reviendrons peut être un autre jour lors d’un récit.
Ainsi, avec une grande détermination, je me suis mis en tête de rentrer dans mon premier sex shop pour y découvrir le “monde”. Peut-être y trouverai-je mon nouveau meilleur copain de masturbation, sait-on jamais.
Me voilà dans un de ces nouveaux love shops propres et classes. Pas besoin de prendre de caddie, ni de panier, jusque-là tout va bien. Je parcours les étalages avec étonnement et curiosité. Il y en a de toutes les couleurs, de toutes les tailles et de toutes les textures. Certains doivent être pour les gothiques, d’autres pour les poneys ou plutôt leur jument (on dit jument pour un poney ?), il y en a même pour les fans de la tour de Pise (en taille réelle).
Entre autres vibromasseurs, anneaux et autres, je ne vois pas grand chose de nouveau. C’est pour aller au bout de mon besoin désespéré de découverte que je m’en vais m’adresser à la tenancière court vêtue. Note pour moi-même, à 55 ans dans son état, la tour de Pise a dû la visiter plus d’une fois et la jupe en tutu rose au-dessus de son pantalon court moulant noir ne lui va pas si bien qu’elle le pense.
“Bonsoir madame. J’aurais voulu savoir s’il y a eu des choses nouvelles inventées dernièrement pour la masturbation masculine ?“ La question doit être vraiment stupide pour lui déclencher ce sourire mi-moqueur mi-surpris. Elle me répond très sympathiquement en me poussant dans les rayons. Elle me montre l’état de ses stocks de poupées gonflables. Moches, de différentes couleurs, copie de madame X truc, avec du vrai poil, avec la fonction électrique qui simule la succion, etc… HUUMM ça fait encore moins rêver que mon oreiller tiens !
Ensuite, j’ai le droit aux masturbateurs en forme d’œuf… Mmh Mmh… Je pourrais me faire un oeuf ! Il est où mon oreiller déjà ? Enfin, elle termine par les stimulateurs anaux et prostatiques. Voyant mon désespoir, elle conçoit que je ne serai pas client chez elle et m’indique que les cinq doigts restent une valeur sûre pour beaucoup de monde. En conclusion, rien de neuf sur la planète Do It Yourself.
J’en ressors presque déçu ! Je ne suis pas si surpris que ça mais j’avais pensé qu’une patronne de love shop aurait peut-être plus de conseils à me donner que l’internet mondial si froid. Voici donc mon bilan.
Lorsque je vois toutes les choses inventées pour mesdames comme les Rabbit, les iRde, les anneaux vibrants à faire porter aux messieurs, les ceintures pour les remplacer et autres rick-chick, je me dis que l’homme ne doit pas avoir tant d’intérêt auprès des développeurs (développeuses peut-être d’ailleurs).
Ils n’ont pas bossé depuis des années sur le sujet et nous ne sommes que des êtres fades avec une bite et deux mains. Pour autant, je ne me satisfais pas spécialement de l’oreiller ou de mes mains. Ainsi, je continue mes recherches et vous informerai éventuellement des nouvelles technologies que je trouverai – nouvelles techniques peut être…
(cc) Robert S. Donovan
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