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Mardi 2 septembre 2014, la chaîne de télévision américaine Fox a mis en ligne un tweet publicitaire annonçant le "Jour-sans-Tête" (HeadlessDay) imaginé pour promouvoir la sortie en DVD, le 16 septembre prochain, de la première saison de la série Sleepy Hollow, au même moment où le monde entier apprenait la décapitation du journaliste américain Steven Sotloff par l’organisation terroriste État Islamique.
Face à la polémique, la chaîne a immédiatement retiré son post : «Twentieth Century Fox Home Entertainment s'excuse et regrette ce timing malheureux pour le lancement de notre Sleepy Hollow Headless Day. La mort tragique de Steven Sotloff a été connue au moment même où la campagne a été lancée. Nous présentons toutes nos condoléances à la famille de la victime. Nous ne prenons pas cette information à la légère: nous n'aurions jamais lancé cette publicité si nous avions été au courant plus tôt».
Sordide histoire dans l’Etat du Mississippi, aux Etats-Unis. Pendant trois ans, un enseignant baptiste aurait donné rendez-vous chaque semaine à un élève homosexuel dans la salle de classe ou dans son bureau. Il prétendait lui faire retrouver le droit chemin… en le violant.
Viol hebdomadaire
Jeff White, aujourd’hui âgé de 32 ans, a raconté son histoire au Washington Blade. Il affirme qu’entre 1996 et 1999, son enseignant l’avait contraint à avoir des relations sexuelles avec lui, chaque mercredi.
L’abusé explique que son bourreau aurait voulu par ce moyen atroce l’obliger à haïr les hommes. Et ce sont ses parents qui l’avaient envoyé dans cette école après qu’il ait fait son coming-out, à 14 ans. La Bethel Baptist School annonçait sur son site avoir du personnel «expérimenté, stable et aimant».
Toujours en fonction
L’enseignant est aujourd’hui pasteur adjoint à l’église baptiste de Bethel, qui dirige l’école en question. Contacté par les journalistes du Washington Blade, il a déclaré qu’il s’agissait du «plus grand mensonge qu’il avait jamais entendu.» Pas d’autre commentaire. L’affaire est encore sous embargo, avant d’éventuelles poursuites en justice.
Jeff White a confié qu’il était toujours en colère contre cet enseignant qui l’aurait violé: «Tout ce que je peux faire maintenant, c’est canaliser cette colère dans le travail que je fais.»
Les allégations du trentenaire sont entre les mains de l’avocate du National Center For Lesbian Rights, qui a travaillé avec beaucoup de personnes ayant subi des thérapies de conversions. «Je ne peux qu’insister sur combien nous sommes fiers de représenter quelqu’un de courageux à ce point», a déclaré Samantha Ames.
Quand on en vient à parler de bande dessinée érotique à l’occidentale, les mêmes noms surgissent sans cesse : le monolithique et vieillissant Milo Manara, l’inévitable Robert Crumb, Guido Crepax, les anciens. Aujourd’hui, c’est le duc Bastien Vivès et les talentueux Requins Marteaux qui squattent légitimement le trône de la « bédé indébandante ». Reste que les stands d’Angoulême n’ont pas le monopole du talent ; il existe, de ci, de là, de discrets passionnés du dessin de fesse qui sont bien loin d’en manquer.
Styloide, Scebha, Jem et Nowaki, les quatre personnes à l’origine du projet No Men’s Land, sont justement de ceux-là. No Men’s Land raconte l’histoire d’Elise, une jeune femme ordinaire transportée bien malgré elle dans un périple sexuel et onirique au travers d’un monde où les hommes sont interdits. Elle y croisera plusieurs femmes qui lui révéleront toutes les facettes du plaisir, mais aussi un mystérieux être masqué aux intentions troubles. Il sera l’ultime épreuve de sa traversée.
Pour financer leur projet, les créateurs de No Men’s Land ont fait appel à la générosité de leurs futurs lecteurs par le biais d’une campagne de crowdfunding qui a déjà largement dépassé son objectif originel de 4 500€. Qu’à cela ne tienne, Styloide, Scebha, Jem et Nowaki l’ont doublé : s’ils atteignent les 9 000€, la cinquantaine de pages de la version finale de No Men’s Land se verra décorée d’une couverture cartonnée et de plusieurs bonus.
Il vous reste un mois pour faire un don, il est encore temps de réveiller votre âme de mécène. Vous pouvez faire confiance à l’équipe de No Men’s Land pour faire du bon boulot : Scebha qui scénarise, Nowaki qui colorise et Jem qui gère le story-board sont des artistes d’expérience. Quant à Styloide, le dessinateur, ça se passe de commentaires ; soit sa connaissance de l’anatomie est impeccable, soit il est passé maître dans l’art de ne pas avoir l’air de se fatiguer. Ça mérite bien un petit geste.
On ne saurait résumer le porno gay français à Citébeur ou à François Sagat. Il y a aussi le studio French Twinks mené par Antoine Lebel et son armée de minets pour rappeler que les moins poilus et les plus doux ont aussi leur place entre les ours et les vilains lascars. Ce site porno gay aussi hexagonal qu’une prise péritel distribue ses films dans le monde entier ; visiblement inspirée par les infographies de PornHub, l’équipe de French Twinks a décidé d’y aller de sa propre étude sur les habitudes de consommation de leurs clients.
Même si ces chiffres sont limités à leur propre site et ne reflètent donc que leur audience, il est intéressant de remarquer que les minets français font plus sauter les comptes en banque à l’étranger que chez nous (taux de transformation de 1:392 en France contre 1:137 au Royaume-Uni), qu’ils attirent majoritairement des hommes plus vieux et tard la nuit. Autre chiffre intéressant, le fappeur qui cherche du minet dégaine plus facilement sa CB le week-end que la semaine où il se contente d’extraits gratuits.
Itinéraire d’un soumis est une BD érotique et BDSM se basant sur les récits authentiques d’un soumis. La Musardine m’a demandé de lui donner mon avis sur cette BD. Itinéraire d’un soumis : un témoignage authentique Axterdam, l’illustrateur de la BD, a suivi le protagoniste Fée Tishe durant plusieurs semaines dans sa quête de plaisirs ...
Cet article Itinéraire d’un soumis, Axterdam et Fée Tishe est apparu en premier sur Mlle-blog de Céline Messine.
L’instruction de l’agression qui avait coûté la vie à un retraité homosexuel, le 5 juillet 2012, est bouclée. Trois accusés, des jeunes Suisses de 18 à 20 ans d’origine sri-lankaise et tibétaine, comparaîtront en novembre devant le tribunal de district d’Affoltern am Albis.
Avec un complice mineur, ils avaient frappé à la porte de la victime, dans le village d’Aeugst am Albis. L’un d’eux avait déjà visité l’aîné quelques semaines plus tôt et lui avait dérobé de l’argent. L’octogénaire était connu dans le voisinage pour être un amateur de jeunes hommes, qu’il recevait fréquemment chez lui. Dès qu’il avait ouvert, les quatre individus s’étaient jetés sur lui. Il l’avaient roué de coups, piétiné et lui avaient placé la tête dans des sacs en plastique.
Butin semé en route
Les agresseurs pensaient mettre la main sur la rente de leur victime, quelques milliers de francs qu’il venait de retirer à la banque. Mais la fouille de l’appartement avait été interrompue par des voisins. En fuyant, les agresseurs avaient semé leur maigre butin: 110 francs (environ 90 euros). Au final, il ne leur est resté entre les mains qu’un billet de 20 francs.
Le retraité avait succombé dix jours plus tard à un infarctus provoqué par ses multiples fractures et par le stress psychologique intense de l’agression, selon le dossier cité par le quotidien local «Tages-Anzeiger». Les trois suspects majeurs, décrits comme «sans scrupules» par le Ministère public, comparaîtront pour meurtre et vol. Leur comparse mineur sera jugé séparément.