Parfois, les mots me manquent pour trouver une justification culturelle à la pornographie embusquée des jeux japonais. Dream C Club Zero ne fait même plus semblant. Les phases de karaoké cosplayé ou de pelotage furtif ne ne devaient plus suffire au public sexuellement épanoui auquel se destine le jeu. Nous avons donc maintenant une phase de consommation de banane, avec tout ce qu'elle implique comme sous-entendus transparents. C'est l'expérience qui parle, mais j'ai du mal à me sentir a...
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