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Osez les conseils d’un sexologue pour maîtriser votre éjaculation, de Marc Bonnard
Ce guide, fruit des travaux du sexologue Marc Bonnard, vous dira tout sur les mystères de l’éjaculation et sur les manières de remédier à l’un des problèmes sexuels les plus fréquents : l’éjaculation prématurée. Un nouvel opus fidèle à la vision joyeuse, ludique et décomplexée du sexe de la collection Osez, mais également très sérieux, truffé de vrais conseils et d’informations fiables.
Sortie le 17 septembre 2015
Osez 20 histoires de faits-divers sexuels, collectif
Les pages faits-divers des journaux révèlent parfois des surprises bien salées. C’est ce que vont vous montrer les plumes de la collection “Osez 20 histoires”, reconverties le temps de ce recueil en détectives très privés sur les affaires les plus chaudes. Séquestration, chantage, vengeance, crime passionnel, leurs enquêtes hautes en couleurs vont vous révéler les dossiers sexuels les plus inattendus, troublants et excitants… et vous prouver que littérature érotique et polar sont les meilleurs amants du monde.
Sortie le 17 septembre 2015
Rayon hommes, de Camille Saféris
Enfin réédité en poche, Rayon Homme raconte l’histoire d’un grand magasin qui ouvre un rayon dans lequel on peut acheter… des hommes. Un premier roman épicé, drôle et cash : de l’aventure, du frisson, de l’émouvant… et des scènes de sexe non simulées ! Par Camille Saféris, auteur protéiforme qui compte à son actif une vingtaine d’ouvrages et de best-sellers.
Sortie le 17 septembre 2015
Calendrier Aslan 2016
Après le succès des trois livres d’illustration d’Aslan et des calendriers pin-up parus chaque année depuis 2013, voici un nouveau calendrier Aslan 2016 aux accents vintage. Que ce soit pour offrir à votre oncle, qui l’accrochera au mur de son garage, ou pour ravir votre copine fan de l’esthétique des années 1970, ce calendrier, dans la pure tradition de l’époque, fera un splendide cadeau de fin d’année !
Sortie le 10 septembre 2015
Floraison blanche giclée de rouge La chair est vide les pétales pleurent Et dans les herbes silencieuses Pas de promesse nulle cigale Les chimères se sont tues Floraison blanche giclée de rouge Elles reviendront demain elles reviendront Vibration de nos souffles frénésie des espoirs Elles reviendront je crois elles reviendront Floraison blanche giclée de rouge … Read More →
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Une autre idée du désir La plupart du temps, ils sont dans des couleurs un peu flashy – bleu électrique, rose candy –, en silicone, et dotés de programmes de vibrations variés. Chez Idée du désir, on se fait une autre idée justement de ce que peut être un sextoy. Conçus en collaboration avec un...
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« Sexe cité » est un recueil de dix récits érotiques qui met en scène des femmes et leur désirs les plus enfouis. Dix récits qui démarrent de manière classique et où la femme, centrale dans le scénario, se fait posséder par son désir, sa libido qui explose. Chaque récit, va un peu plus loin,…
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Comble du manque de confiance en soi, je m’estime “normal”. Pas beau, pas moche, je passe inaperçu parmi le monde.
Quelques complexes dissimulés ici ou là, je vis de mieux en mieux ce corps qui vieillit.
Je n’ai jamais aimé mes pieds, je ne suis pas amoureux de mon nez et j’ai réussi à cacher l’absence de lèvre supérieure par une barbe depuis mes 18 ans. Ne parlons pas de mon bide en transformation vers le format brioche… ni de mon œil qui part un peu lorsque je suis fatigué ou de toutes mes cicatrices. Je suis également velu, mais moins que mes cousins orangs-outans.
Du coup, j’ai toujours dans l’idée que les personnes que je croise me voient à travers toutes ces pensées qui surgissent lorsque je suis à jeun. J’aurais presque peur du regard des autres donc. Ainsi va la vie depuis de nombreuses années.
J’ai pourtant eu des aventures avec de jolies demoiselles. Ces mêmes demoiselles que j’estimais ne pas mériter tellement elles étaient belles. (Quand je dis belles, elles étaient vraiment très jolies ! Vraiment aucun rapport avec mon moi normal et commun). Je suis même marié depuis plus de 10 ans avec une dame que je qualifierais de jolie. Une fois n’est pas coutume, la mariée était plus belle que le marié sur la photo de leurs noces.
Et pourtant, peut-être la maturité… – pff, moi mature, je me fais rire tout seul – peut-être les rides qui (paraît-il) plaisent tant aux dames, peut-être les quelques cheveux gris qui commencent à parcourir ma barbe et mes tempes… j’en doute tout autant… il semblerait que je plaise.
Toujours est-il que, depuis le mois de mai, je plais à une demoiselle. On dira qu’elle est jolie également, au minimum, charmante à n’en point douter. Elle ne semblait pas si affamée ni désespérée que ça. Vous pouvez ne pas me croire, mais je me suis aperçu la semaine dernière que je suis beau. Non pas que j’ai changé, non non ! Je me trouve beau, c’est le comble. La vision de moi-même n’a pas changé non plus ! Mais en sa présence, tout a changé. Je suis toujours le même homme quelconque avec tous ses défauts et ses complexes !
Mais quand elle me regarde, je me vois beau dans ses yeux. J’aurais presque l’impression d’être quelqu’un d’autre. Dans ses yeux, je ne suis pas encore Brad Pitt ni Georges Clooney mais je me trouve mieux que Michel Blanc… C’est toujours ça.
Jusqu’à maintenant, je ne voyais que mon propre jugement sur moi-même : c’est comme ça que je m’estimais et que je pensais que je devais m’estimer. Hey bah non ! Beau dans les yeux des autres, mais surtout dans les yeux que l’on désire, c’est juste ça finalement l’important.
Ainsi, à partir de ce jour, je déclare que je serai beau ! Je décide de ne rien avoir à faire de l’avis des autres sur mon physique et de ses défauts (éventuels aha !) Et merde à ceux qui ne partageront pas cet avis et qui n’auront pas les yeux compatibles avec ce nouveau sentiment.
(cc) ImAges ImprObables
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Il existe des lieux où les femmes possèdent la prééminence sur les hommes, parce qu’elles sont en nombre inférieur : elles constituent la denrée rare. Elles ont donc le choix des partenaires. Mais pourquoi sont-elles vêtues en pute ?
Sur le marché du sexe en général – dans les clubs échangistes en particulier – il y a plus d’hommes que de femmes. Suivant la loi de l’offre et de la demande, les femmes se retrouvent donc hyper-valorisées : les voilà «reines des abeilles», entourées de bourdons qui quémandent le droit de leur procurer du plaisir. A elles de sélectionner les «heureux élus». Renversant l’ordre habituel du monde, ce sont les femmes qui choisissent, qui décident des pratiques, qui imposent leurs envies. C’est en tout cas ainsi que la règle est posée, notamment dans les clubs qui laissent les femmes entrer gratuitement et font payer aux hommes seuls un droit d’entrée prohibitif, posant d’office le rapport d’inégalité comme la norme. Dans cet univers qui fonctionne à l’envers du nôtre, la femme vaut plus qu’un homme. Il lui revient donc le privilège de prendre les devants.
Bien qu’elle soit en position dominante, la femme pourtant s’habille comme une prostituée. Comment comprendre ce paradoxe ? Dans un article passionnant consacré aux femmes dans les milieux dits «libertins», le socio-anthropologue Philippe Combessie tente de résoudre l’énigme. «Dans les sex-clubs, pour les femmes, le port du pantalon est proscrit. Elles sont invitées à porter des tenues propres à rehausser les stéréotypes les plus classiques de la femme comme objet de désir : silhouettes cambrées voire hyper-cambrées par des talons très hauts, bas résille, jupes très courtes ou minishorts, épaules dénudées, parfois poitrine apparente. On les voit donc arborer des costumes plus ou moins inspirés de ceux de femmes dont l’activité professionnelle consiste à faire commerce de l’exhibition de leur corps : danseuses de revue, strip-teaseuses, hôtesses de bar américain»…
Pour Philippe Combessie, il ne faut pas forcément voir là une volonté d’avilir la femme, au contraire. Le «déguisement» relève d’un jeu qui flirte avec l’érotisme de l’infraction : «C’est justement parce que la “libertine“ a quelque chose de la prostituée – le nombre de partenaires sexuels qu’elle peut accumuler et la facilité avec laquelle elle sépare coït et affect – qu’il n’est pas question qu’elle soit prise pour telle, même si des simulacres de prostitution sont volontiers organisés.» Tout cela est «pour de faux». Dans l’univers théâtral des clubs ou des soirées privées, les hommes et les femmes ne font jamais que mimer des personnages. «Les rapports d’argent comme les relations de domination sont singés comme si nous étions dans un espace où le ludique a pris le pas sur le réel. On est là avant tout dans un jeu, au sein duquel, pour reprendre le vocabulaire de Michel Foucault au sujet des hétérotopies, les acteurs “se trouvent dans une sorte de rupture absolue avec leur temps traditionnel“».
En rupture, surtout, avec la morale usuelle… Dans la vie normale, il est mal vu qu’une femme offre facilement l’accès à son corps. Pire encore, que ce soit elle qui chasse. Voilà peut-être pourquoi les femmes échangistes s’identifient si facilement à des prostituées : parce que l’image des tapineuses n’est pas forcément négative. Pour le dire plus clairement : dans l’imaginaire collectif, la prostituée est une figure ambivalente, associée à la femme fatale et aux créatures diaboliques, tentatrices, qui hantent les romans du 19e siècle. La prostituée sort la nuit, comme les fauves, et se poste en embuscade dans les quartiers «dangereux» où elle opère en prédatrice. Elle peut avoir autant de relations sexuelles qu’elle veut avec des inconnus. Elles n’est pas tenue d’avoir des enfants avec ceux qui l’entretiennent. De ce point de vue, certainement, elle offre à rêver, autant aux hommes qu’aux femmes, dans les espaces dédiés au fantasme du plaisir sans lendemains.
Pour donner à ce fantasme l’allure d’un jeu presque réel, de nombreux clubs échangistes organisent des soirées au cours desquels les participants font semblant d’acheter des services sexuels. «De l’argent ostensiblement fictif est alors distribué», raconte Philippe Combessie qui précise : «les personnes invitées à vendre leurs charmes sont tour à tour des femmes ou des hommes.» Dans l’univers «para-prostitutionnel» des clubs, il est en effet courant de renverser les rôles, pour souligner l’aspect fictif des transactions. Il s’agit de mettre à distance la sexualité vénale, afin que dans l’intervalle séparant le faux du vrai les joueurs puissent s’amuser à faire semblant.
«J’ai assisté à une séance au cours de laquelle les hommes se sont d’abord vu distribuer des billets libellés monnaie de singe, raconte Philippe Combessie ; la femme désignée Reine des putes s’est vu offrir une semaine dans un hôtel au Cap d’Agde. D’une soirée Just a Gigolo, j’ai rapporté des euros factices illustrés de petits coeurs : chaque femme avait reçu 15 de ces billets à l’entrée, et devait, ensuite, les utiliser pour acheter des services sexuels. […] On pourrait apparenter ces soirées à des formes de carnaval.» Comme dans les carnavals, donc, les gens qui viennent s’évader le font en renversant les règles sociales. Les voilà, en toute impunité, dans la peau d’un(e) autre, libres enfin de devenir gigolo pour la nuit ou courtisane d’un soir. Reste à savoir pourquoi ce sont justement ces peaux-là – celles de la pute (mâle ou femelle) – qui remportent le plus de succès.
Pourquoi faut-il obligatoirement se déguiser en racoleuse dans une «party» ? A ce stade-là de la réflexion, Philippe Combessie devient lumineux. S’appuyant sur la théorie des scripts sexuels (voire l’article précédent), il souligne à quel point les humains peinent à s’exciter. Même quand on a envie de faire l’amour avec des inconnus, il est parfois terriblement difficile d’y parvenir. Pourquoi ? «Pour qu’un rapport charnel unisse des êtres humains, il faut qu’un script sexuel mette en concordance simultanément trois niveaux : culturel (un scénario considéré comme érotique dans un groupe humain donné), interpersonnel (une interaction entre deux individus, ou plus) et intrapsychique (un fantasme excitant)», résume Combessie. Rien de plus compliqué que mouiller ou bander pour des gens qu’on ne connaît pas et «dont la plupart, si cela se trouve, ne sont même pas de notre milieu» (Desproges).
Cela tient presque du miracle. Pour qu’il y ait une tension érotique, il faut : que le cadre autorise le désir, que la situation soit stimulante, que l’autre ait un corps ou un regard brûlant, que ses mots ou ses gestes coïncident avec ce que vous avez dans la tête…
«Si l’on est convaincu par ces analyses, on perçoit la difficulté devant laquelle se trouvent les responsables d’espaces dédiées à des pratiques de sexualité collective entre inconnus», conclut Philippe Combessie. Dans les sex-clubs, les gens – qui ont payé cher pour entrer – sont parfois très tendus, demandeurs, et se regardent en chiens de faïence, ce qui augmente encore la difficulté. «On comprend le caractère limité des scénarios susceptibles d’entraîner suffisamment d’excitation pour qu’en l’espace de quelques heures au maximum, des inconnus deviennent partenaires sexuels. Le scénario de la prostitution, ou plus exactement d’une forme imaginée de prostitution, […] est sans doute l’un des modèles les plus faciles à reproduire – ou à “singer“. Le modèle de la poupée Barbie sexy peut donc être lu comme le plus petit commun dénominateur des fantasmes masculins dans l’Occident contemporain, apte à exciter le plus grand nombre d’hommes présents dans ces espaces, quelle que soit leur origine».
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A LIRE : «L’argent en milieu “libertin“ : entre mise en scène et occultation», de Philippe Combessie. Dans : Terrains/Théories 1 (2015).
POURQUOI LES FEMMES DOMINENT LE MARCHE DU SEXE.
ILLUSTRATION : le graphiste Eric Stanton, publié notamment par Taschen.
La voie est libre pour la préparation d’un projet de loi sur le mariage égalitaire en Suisse. Hier, par sept voix contre cinq et une abstention, la Commission des affaires juridiques du Conseil des Etats a donné son feu vert à l’initiative parlementaire des Vert’libéraux déposée fin 2013. La commission homologue du Conseil national avait déjà donné suite en février dernier. Quelques mois plus tard, c’est le Conseil fédéral qui s’était exprimé en faveur d’une ouverture de toutes les formes d’union, y compris le partenariat enregistré, à tous les couples, quelque soit leur orientation.
Ce vote positif a été fêté par quelques dizaines de militants réunis sur la Place fédérale autour d’une tourte de mariage géantes. Ils venaient de transmettre aux conseillers aux Etats les 16’094 signatures récoltées par la pétition Operation Libero pour le mariage pour tous.
Scrutins en vue
En fin de compte, c’est le peuple qui tranchera, puisqu’une modification de la Constitution sera en jeu. Une première indication de l’état de l’opinion suisse sur ce plan pourrait intervenir en février ou en juin 2016, avec la votation sur l’initiative du PDC sur la pénalisation fiscale des couples mariés. Cet objet vise, en réalité, à introduire une définition étroite du mariage, comme l’union d’une femme et d’un homme. Rejeté par les deux chambres et controversé au sein même du PDC, il est combattu par les associations LGBT nationales et locales, qui viennent de créer une plateforme, Pro aequilitate, pour se lancer dans la campagne.
Une autre bataille à l’horizon est celle de l’adoption de l’enfant du partenaire par le conjoint de même sexe. Un projet du gouvernement devrait être soumis au cours de la session parlementaire actuelle.
John Poppleton est un artiste photographe établi à Sacramento, en Californie, profondément inspiré par la beauté des couleurs et textures trouvées dans les couchers de soleil.
Sa série photo Black Light Bodyscapes combine parfaitement la beauté du corps féminin avec la splendeur des autres créations de la nature trouvées sur Terre.
En utilisant des pigments fluorescents, les paysages sont peints directement sur la peau des modèles et photographiés sous la lumière noire pour créer une œuvre unique.
Voir la page Facebook de l’artiste : https://www.facebook.com/JohnPoppletonUVArt