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Depuis que petit à petit je recommence doucement à vivre comme une petgirl à la maison je délaisse le blog. Certe je met à jour la page info et soirée mais je ne post plus d’article sur ce que je vis. Cela va venir. j’ai toujours eu besoin de me poser et en ce moment je n’y arrive pas. Depuis janvier les choses avancent bien. Merveilleusement bien.
Le petplay est de plus en plus connu et reconnu voir l’article ci-dessous
Le Royaume-Uni adore les chiens. D’après une enquête publiée en 2015 par la Pet food manufacturers association, près d’un ménage britannique sur quatre abrite un gentil pépère, ce qui fait tout de même 8,5 millions de bêtes. Même la Reine d’Angleterre est une grande amie des chiens : si la monarque tout juste nonagénaire a décidé de se séparer de ses impétueux Welsh Corgi par crainte qu’ils ne la fassent tomber, elle a possédé au moins une trentaine d’entre eux depuis ses 18 ans. Il se dit que leurs repas étaient servis dans des plats de porcelaine ou d’argent et qu’Élisabeth II les nourrissait elle-même. Pour en savoir plus : Ici
Vous avez toujours rêvé de vous faire tailler une pipe par un mixeur de cuisine ? Alors ne zappez pas, votre rêve va être réalisé en lisant cet article. Voici le test du Sqweel XT, un simulateur oral dédié aux messieurs et censé reproduire les délices ultimes de la fellation. Voyons voir cela ensemble … …
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Omar Mateen, l’assassin de 49 noctambules qui dansaient au Pulse, dans la nuit du 11 au 12 juin, était-il un pion de Daech? Un loup solitaire? Un homo refoulé? Un regard dans le passé permet de se rendre compte que son geste meurtrier était peut-être une synthèse de toutes les attaques armées qui ont déjà visé les lieux festifs LGBT. Et leur histoire est hélas déjà longue.
En 1973, le Upstairs de la Nouvelle-Orléans avait été pris pour cible, un bar qui célébrait ce soir-là la toute nouvelle «pride» homosexuelle. Trente-deux personnes avaient perdu la vie. Quant aux incendiaires, ils n’ont jamais été formellement identifiés. Un des habitués de l’établissement a été soupçonné, mais jamais inculpé.
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Vingt-quatre ans plus tard, en février 1997, une bombe ravageait un club lesbien d’Atlanta, l’Otherside Lounge, faisant cinq blessés. Un autre engin avait pu être désamorcé. L’auteur de l’attentat n’était autre que Eric Rudolph, le terroriste qui avait visé les JO dans cette même ville l’année précédente. Arrêté en 2003, ce fondamentaliste expliquera avoir agi par haine de l’homosexualité «publique». «Toute tentative de sortir du placard doit être réprimée sans scrupules», avait-il asséné aux enquêteurs. Rudolph avait surtout très mal digéré que son propre frère vive son homosexualité au grand jour.Rancoeur
Des motifs intimes semblent aussi avoir été décisifs dans la fusillade qui a endeuillé Roanoke en 2000. Un individu avait mitraillé les clients du bar gay de cette petite ville de Virginie, en s’en prenant d’abord à un couple d’hommes qui s’étreignaient. Bilan: un mort et six blessés. Il s’est avéré que l’assaillant, un vétéran du Vietnam à la dérive, nourrissait une étrange rancœur contre les homos: son propre nom, Ronald Gay, l’avait exposé toute sa vie à des moqueries.
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Le terrorisme antigay n’est pas tout à fait une spécialité américaine. Il s’est aussi manifesté au Royaume-Uni, le 30 avril 1999, quand David Copeland a fait exploser une bombe à l’Admiral Duncan, un des plus anciens pubs gay de Londres. Trois personnes avaient péri et 70 avait été blessées, dont beaucoup mutilées par les clous contenus par l’engin explosif. Copeland, un néonazi, avait aussi pris pour cible deux quartiers métissés de la capitale, dans l’espoir de mettre à vif les tensions communautaires. En novembre de cette même année, c’est un bar gay du Cap (Afrique du Sud) qui avait été visé par une bombe. Neuf personnes avaient été blessées. L’attaque s’inscrivait dans une série d’attaques meurtrières attribuées au PAGAD, une organisation d’«autodéfense» passée au terrorisme antiblanc et influencé par l’islamisme.Bar-Noar, 2009. Cliquer pour agrandir.
La liste est non exhaustive. Les clubs gay des pays de l’ex-URSS, par exemple, font régulièrement l’objet d’assauts de la part de groupes de hooligans – sans faire de morts jusqu’à présent. D’autres attaques restent inexpliquées. C’est le cas de la fusillade qui a fait deux morts et quinze blessés, le 1er août 2009 au Bar-Noar, la soirée jeunes du centre LGBT de la métropole d’Israël. Mais dans ce pays, on sait désormais que des extrémistes juifs sont à même de s’en prendre à des cibles gay après l’attaque au couteau menée par un fanatique contre la Pride de Jérusalem, le 31 juillet 2015, et qui a coûté la vie à une ado de 16 ans.Des établissements de nuit LGBT sont aussi souvent le théâtre d’attaques meurtrières au Mexique. Le dernier en date remonte à trois semaines avant Orlando, dans la ville de Xalapa. Un règlement de comptes entre narcos, selon la police. Une version qui ne convainc qu’à moitié la communauté gay locale.
Toutes ces attaques avaient un élément commun: frapper des oasis de sécurité et de liberté pour des communautés discriminées. Au moins les 49 victimes d’Orlando auront-elles eu droit aux prières des leaders des religions et des Etats du monde entier. En 1973, celles de la Nouvelle-Orléans avaient été discriminées au-delà de la mort: les Eglises avaient refusé de les enterrer. De nombreuses familles, découvrant ainsi l’homosexualité d’un de leurs proches, n’avaient pas réclamé leur dépouille. C’est aussi le cas d’une victime du Pulse.
Le sexe c’est bien, le sexe en vacances ça peut être mieux ! Pas de boulot, pas de réveil et parfois pas de ménage à faire, que demander de plus ? Et si en plus on se trouve dans un lieu magnifique et ensoleillé quand l’été est là, la beauté du moment se couple à l’excitation de nos sens. Si vous en doutiez encore, il y a vraiment de bonnes raisons d’aimer le sexe en vacances !
1/ La chaleur excite les sensQuand le soleil pointe le bout de ses rayons, la chaleur ambiante augmente et les corps se dénudent naturellement.… Lire la suite
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Pendant un bon moment je me suis cherchée. Du moins, c’est ce que je pensais. En fait, j’ai réalisé plutôt que je m’étais perdue quelque part.
Celle que j’étais avec sa fougue, ses espoirs, ses désirs s’était un peu perdue à travers toutes les étapes de sa vie. Une carrière qui s’est imposée par une succession d’événements, une vie modelée sur des principes d’éducation. Ce besoin d’être reconnue dans le regard des autres. Ce besoin d’avoir réussi selon un standard établi par mon cadre de référence.
Bref, devenir ce que l’on attendait de moi. Et j’ai réussi! Et même très bien!
Où est moi?Je suis une femme déterminée et fonceuse. J’ai donc donné satisfaction. Je suis devenue cette femme, soeur, compagne, mère et amie que je croyais devoir être. Bravo! Et j’en suis fière.
Mais il manquait quelque chose. Ce besoin d’être moi, tout simplement, avec la possibilité que ce moi ne soit pas celle-là.
Mais qui étais-je donc? Avais-je le droit de faire le constat que bien que j’avais « réussi », j’avais le sentiment de ne pas avoir pris la bonne route? Avais-je le droit de vouloir retrouver cette jeune fille en moi qui croyait que sa vie était toute autre? En fait, il ne s’agissait pas de jeter ce que j’étais car j’aime ce que je suis sous la plupart des aspects. J’aime les qualités et habiletés que j’ai su développer au fil du temps, des expériences et des rencontres.
Mais j’avais envie de me permettre le choix. Le choix de prendre une trajectoire différente que celle qui semblait s’inscrire pour l’éternité. J’avais envie de repartir à ma rencontre.
Alors, j’ai fait Ce choix. Je me suis choisie. Et en me choisissant, je donnais un autre souffle à ma vie (et aux miens ai-je réalisé plus tard).
J’ai fait de belles rencontres et de moins intéressantes. Toutes m’ont cependant aidée à me regarder avec Mes yeux (et en finir avec ce besoin du regard des autres). Toutes m’ont appris.
Et puis, il y a eu cette rencontre.
Ce jour où j’ai osé franchir un autre seuil. Ce jour où j’ai suivi les yeux fermés mais l’esprit ouvert.
Ce jour là, je l’ai rencontré Lui. (Était-ce Lui ou était-ce Moi?) Ce jour là, Il m’a montré une autre route… Tiens, c’est étrange, cette route ressemblait à celle m’ayant interpellé il y a bien longtemps. La route de mes sens, de mes tripes, de ce qui m’habite… sans filtres… sans jugements…
Ce jour là, j’ai appris. J’ai appris que je pouvais me faire confiance et que mes choix étaient les bons… ils étaient les miens.
Que je choisisse d’être aux pieds ou me tenir debout, fière et droite. Que je choisisse de servir parce que je m’y accomplis. Que je choisisse de ramper parce que ça me fait vibrer et m’excite ou que j’apprenne à demander et à dire ce qui est important pour moi. Tout ça ce sont mes choix. C’est ma route, c’est moi.
J’ai fait cette rencontre marquante avec Celui qui a allumé cette lumière en moi. Je croyais qu’Il était mon phare. Il a fait mieux. Il m’a démontré que je portais ce phare en moi. Je croyais qu’Il était Celui qui avait fait de moi cette femme épanouie, un peu pute, un peu chienne, un peu esclave, un peu de tout. En fait, Il m’a permis de l’exprimer car je suis toutes ces femmes… elles sont en moi.
Je me suis trouvée. .. je me suis retrouvée car aujourd’hui je vibre à l’unisson avec celle que je voulais être et celle que j’ose être. Et je lui en suis reconnaissante.
On ne connait pas tous les voyages que nous ferons mais celui-là est un des plus importants. Et je me sens privilégiée de cette invitation à embarquer vers une destination inconnue de Lui, inconnue de moi. À bien y penser, la destination je ne tiens pas à la connaître. Elle est sans importance. Ce sont toutes ces escales, tous ces ports, toutes ces découvertes qui font de ce voyage un des plus signifiants et des plus beaux.
Je sais aujourd’hui qui je suis, ce que je suis, ce que je peux être. J’ai réussi! Et même très bien!
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