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Arrêtée, emprisonnée, torturée : la militante iranienne de 44 ans raconte son chemin de croix, de son emprisonnement à son exil au Canada, dans La liberté n'est pas un crime, coécrit avec la journaliste Rima Elkouri et paru le jeudi 27 février.
Notre consœur Julie Hainaut signe d’ailleurs pour l’Arrière-Cour, une lettre d’informations éphémère et indépendante lancée à l’occasion des élections par Raphaël Ruffier-Fossoul, ancien rédacteur-en-chef de Lyon Capitale, un intéressant papier sur le rapport qu’entretiennent les candidat·es lyonnais·es à la Mairie et à la Métropole au féminisme.
Si Grégory Doucet et Bruno Bernard, pour Europe Écologie Les Verts, Nathalie Perrin-Gilbert, pour Lyon en commun, Sandrine Runel et Renaud Payre, pour La Gauche unie ou encore David Kimelfeld, pour Ensemble avant tout, semblent plutôt à l’aise avec la notion de féminisme et accordent une attention particulière à la lutte contres les inégalités femmes-hommes dans leur programme, toutes et tous n’ont pas cette aisance face aux questions de la journaliste.
Ainsi, Agnès Marion et Andréa Kotorac, pour le Rassemblement national, s’effrayent sans surprise du « communautarisme féministe ». Yann Cucherat, pour La République en marche, craint quant à lui le côté « jusqu’au-boutiste » du féminisme, si tant est que cela ait un sens. François-Noël Buffet, candidat Les Républicains à la Métropole de Lyon, refuse le « marketing féministe » en présentant 14 hommes têtes de liste mais se dit néanmoins féministe. Enfin pour Étienne Blanc, candidat LR à la Mairie de Lyon, « il y a une forme de militantisme féministe dont l’objet n’est pas tant la protection des femmes ou les droits des femmes que la destruction d’un système et d’une organisation sociale ». Admettons que s’il fait référence à la destruction du patriarcat, on ne peut que se réjouir de sa définition. Pas sûr, néanmoins, qu’il partage notre enthousiasme.
D’ailleurs, concernant Les Républicains, le dévoilement de la liste du 3e arrondissement de Lyon nous a permis de découvrir en tête de liste Béatrice de Montille, une entrepreneuse mère de 4 enfants ayant vécu à Londres, qui admet ne pas être favorable au mariage pour tous, et qui compte parmi ses colistiers Olivier Delucenay, référent régional de Sens Commun, mouvement créé en réaction à la loi ouvrant le mariage au couple de même sexe.
À l’heure du choix, n’oublions pas quels sont nos combats.
© Lindsey LaMont
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Depuis 2011, DésirCam s’est installé dans le monde de la cam francophone. Le site est fait pour vous si vous cherchez un site de cam pour un show privé dans un bon esprit, et sans problèmes de communication liés à la barrière de la langue : toutes les modèles y sont des femmes qui parlent français !
Après une rapide inscription gratuite sur le site, qui se veut comme « le premier club privé sur Internet », on accède aux shows soft et érotiques disponibles en public dans l’onglet « Camgirls en live » de DésirCam.
Le top 3 de janvierSi vous ne savez pas vous décider, l’onglet « Podium du mois » permet de voir qui a le vent en poupe dans les shows privés et de prendre doucement le site en main, le temps de trouver chaussure à votre pied. Vous trouverez aussi des miniatures des shows dès l’accueil du site, cliquez pour un aperçu et faites un petit tour sur le profil de la camgirl si vous voulez en savoir plus. On trouve des shows à toute heure, mais je vous conseille quand même de vous connecter plutôt en soirée, c’est bien plus animé !
Des profils completsLe site est fonctionnel et joli : un thème sombre, des onglets bien visibles et une navigation plutôt fluide. Pour tipper les performeuses – ou vous offrir un tête-à-tête avec la fille qui vous fait vibrer –, il vous suffit de remplir votre porte-monnaie avec des tokens prépayés, les « Points Désir ». Les paiements sont sécurisés sur le site, de quoi rassurer les viewers. Attention à bien activer et autoriser l’extension Flash pour la lecture des vidéos, sinon ce sera une vraie bataille pour voir un show.
L’animation de la plateforme profite aux performeuses et aux spectateurs·rices : soirées à thèmes, jeux concours et planning des shows publics, il y a de quoi faire et de changer d’air ! Un magazine met même en avant les camgirls pour mieux les connaître, avec leur présentation et leur témoignage. Opérer sur DésirCam est visiblement très agréable si on en croit les affirmations des modèles. Le mag publie aussi des articles avec des actualités et des conseils pour les camgirls, c’est très complet et fort instructif.
Et pour les camgirls alors ?Pour les hôtesses, c’est tout bénef’ : les conditions d’utilisations sont claires, tout comportement irrespectueux de la part d’un·e spectateur·trice entraîne un bannissement définitif. De plus, le système de rémunération s’effectue à la minute de diffusion, c’est bien plus stable comme revenu que la plupart des autres sites de cam.
Objets de désir sur Jolie FannyLes hôtesses peuvent aussi combler leurs fans via une boutique en ligne en vendant des photos, des vidéos, ou encore des sous-vêtements et sex toys utilisés. Les contenus et produits dispo à l’achat sont diversifiés : vidéos home-made, sets de photos, mais aussi paires de chaussettes et bonbons et confiseries au goût de votre camgirl préférée. JolieFanny est une boutique riche, qui donne la liberté aux performeuses quant à ce qu’elles veulent proposer. Collant, poils pubiens, podcast sexy, mégots de cigarettes avec traces de rouge à lèvres, il y en a pour tous les goûts.
On m’a jeté un sortEn navigant sur le site un vendredi soir, peut-être y croiserez-vous Enchanteresse. J’ai eu un coup de cœur pour elle. Sa longue chevelure rousse, son air mutin et son rire adorable ont eu raison de moi. Passant une bonne dizaine de minutes à peaufiner le set up, la lumière, l’angle de sa webcam, son perfectionnisme m’a touchée. Elle répond à chacune des personnes présentes dans sa room, en réajustant doucement son corps dans son body en coton. De quoi donner envie de répandre ses Points Désir.
La flamboyante EnchanteresseDans une légèreté totale, Enchanteresse s’amuse des messages dans le chat, plaisante avec ses spectateur·ices, sans pousser à l’achat, elle rappelle qu’elle est là pour s’amuser, et qu’elle disponible pour passer dans un show privé, mais le sourire aux lèvres, elle reçoit des Points Désir et se met en action, elle joue avec sa bouche, écarte sensuellement les jambes. Pas de pression ici, l’ambiance est tranquille, il n’y a pas foule dans le chat, mais elle reconnait des habitués. Elle nourrit sa communauté, c’est agréable de ne pas se sentir comme « un gris » de plus.
Sur DésirCam, il ne faut pas s’attendre à avoir à sa disposition des centaines de filles disponibles, le site privilégie la qualité. Chacune des hôtesses est à l’écoute des viewers, l’ambiance est excellente dans les rooms, les camgirls connaissent les habitués. N’hésitez pas à vous référer au profil des performeuses, bien souvent leur description est explicite et vous indiquera ce que vous pouvez attendre.
Image en une DeMorris Byrd on Unsplash
Une étude menée en 2016 montrait que les femmes plaçaient en tête de leurs fantasmes la double pénétration avec deux hommes. Mais ce fantasme n’est-il que féminin ? Trois hommes qui ont tenté l’expérience de la double pénétration nous livrent leur témoignage.
Une sensation « terriblement excitante »Adam a 25 ans. Il s’agissait pour lui d’un fantasme qu’il avait depuis très longtemps : « Depuis le début de ma vie sexuelle, en fait. Dès mes 18 ans, ça me faisait rêver de faire une double pénétration. » Sa copine n’était pourtant pas pour au début : « Elle avait des appréhensions, elle considérait ça comme de la tromperie. »
À force de communication, il finit par la convaincre de tenter l’expérience. Au moment de passer à l’acte, après « 25 bonnes minutes de préliminaires », il ont commencé. Il confie : « Ça m’a fait un peu mal au début, mais j’ai rajouté beaucoup de lubrifiant et ensuite tout allait mieux. »
Il décrit l’expérience comme « agréable » Ils étaient dans la position « du sandwich » et faisaient des va-et-vient à tour de rôle. Il nous raconte : « Quand il mettait un coup, moi je me retirais, et quand j’en mettais un, il se retirait. » Cette alternance était une expérience « terriblement excitante » pour Adam. Et la pratique de la double pénétration n’est pas un « signe de bisexualité ou d’homosexualité. Je suis hétéro à 100%. C’est simplement un fantasme mais je suis conscient de mon orientation sexuelle. » Il ne faut donc pas obligatoirement associer double pénétration avec bisexualité…
« Je voulais faire plaisir à ma copine »Il n’en reste pas moins que la...Lire la suite sur Union
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Le bébé a aujourd’hui 6 mois, et Pierre et la maman se sont organisés une vie bien particulière afin d’être de bons parents pour cet enfant.
Pierre vous raconte cette histoire fascinante à mes yeux, un vrai symbole d’à quel point la famille est en train de changer au XXIème siècle, n’en déplaisent aux adeptes de la Manif Pour Tous.
Les épisodes dont on parle dans l’entretien avec Pierre :
– Adrien et Fabien et leur parcours GPA
– L’épisode de mon frère, Fred
– Sebastian Marx et le zizi de son fils
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En 2017, une étude était réalisée sur le rapport des Français(es) aux sextoys et le résultat est sans appel. 47% des femmes avouent en avoir déjà utilisé un alors qu’elles n’étaient que 9% en 2007. Elles seraient 25% à en utiliser régulièrement et les camgirls n’échappent pas à la règle…
Mymiesexy Camgirl Cam4
Les sextoys « classiques »Que ce soit des canards vibrants, des plugs anaux ou des godemichets, les sextoys utilisés par les camgirls durant leurs shows sont très variés. Il n’est d’ailleurs par rare de voir, en direct, des tests de sextoys pour satisfaire les voyeurs, avec des conseils plutôt pertinents sur leur utilisation. Les sextoys vibrants permettent à leur utilisatrice de stimuler son clitoris et son point G en même temps. Une fonction très bien assurée par les sextoys de type Rabbit.
Les godemichets aussi ont la côte chez les camgirls car ils permettent de varier les formes et les tailles (et souvent de commencer « petit » pour finir « gros »). Mymiesexy, camgirl sur Cam4, propose même des show avec des « giga godes », en anal, vaginal ou gorge profonde.
Les sextoys « connectés »C’est toujours meilleur quand on peut agir sur le show. « Contrôler » le plaisir de sa camgirl. C’est à ça justement que servent les sextoys connectés. Dans l’univers de la webcam, ce serait les plus répandus. Grâce aux...Lire la suite sur Union
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J’ai testé pour vous le Satisfyer Wand-er, un sextoy XXL qui a plus d’un tour dans sa poche. À la fois vibromasseur « classique », il dispose d’un manche et d’une tête vibrante pensés pour masser aussi tout votre corps. Il propose plusieurs modes de vibrations permettant un maximum de plaisir, et des combinaisons s’adaptant aux besoins toutes avec la promesse de vous faire atteindre […]
Cet article Test du vibromasseur Satisfyer Wand-er : sextoy XXL qui fera vibrer l’intégralité de votre corps est apparu en premier sur Desculottées.