Le banc public est parallèle au fleuve, non loin de la rive. Une fois assis tous deux, je peux voir venir de loin, dans toutes les directions. Toutes? Elle couvre mon angle mort. Et sa position à califourchon expose son absence de culotte sous sa robe.
Oh, la belle chatte à l’air d’une femme mûre. « Regarde-moi. » Elle me rappelle celle qu’elle ose être pour moi. J’acquiesce.
– « Je suis votre chienne, Maître. »
Les jambes bien ouvertes, depuis tantôt cette dégoulinante coule coule coule. J’ai perdu le compte.
Le fleuve, la rivière et chaque goutte
La fourrer avec un seul doigt ainsi en plein air est si délicieusement cochon.
Sur la dalle, gonflée, explosive à répétition, elle se répand, fiévreuse, ahurie, honteuse. Je soupçonne un status orgasmus en bonne et due forme qui ne dit pas son nom, sinon peut-être une lettre ou deux. Chaque nouvel assaut de mon doigt la transforme en rivière indécente. Si j’en ajoute un second, je déclenche la saison des moussons, c’est certain.
Même sans, le fleuve a de la concurrence.
Quand je pense que parfois, il m’arrive de ne pas perdre une goutte de cette liqueur servie pression en bouche… miam!
Mais qu’est-ce que vous lui fites?
Après ces multiples soubresauts en longueur, je la laisse se toucher et lui intime de se caresser. Que ses doigts prolongent mes pensées, expriment mes envies dans toutes leurs largeurs, les creusent, aaardeur, haaarder. Je veux que mes mots fassent durcir ses doigts en elle… ou même les ongles…
– « Qu’est-ce que vous me faites, vous? », qu’elle me demande.
Elle me rappelle qu’elle n’a jamais réussi à se faire couler avec ses propres doigts. Je ne la laisse pas terminer son laïus. Je la coups de butte tout en la regardant qui fuit des yeux. Mes mots font bander ses oreilles, les miennes durcissent. Les sons qui émanent de son corps respirent une harmonie céleste décadente.
J’en mouille ma culotte, par-dessus ma culotte. Elle en ricane. Il faut dire que je lui avais auparavant offert mon cou à sa bouche et ses mains, une improvisation libre.
Autant dire que j’étais déjà dans la domsphère.
Longue dans le jeu
– « Je suis longue dans le jeu, Monsieur, vous vous rappelez, dans l’une de mes premières lettres? »
– « J’aime ça, moi. Cette promesse m’allume toujours autant, ma petite pute… Moi aussi, je suis long dans le jeu… »
Son visage se transforme, signe qu’elle défaille. Toutes les apparences indiquent que son surmoi perd peu à peu la bataille… Loin de battre en retraite, ses doigts augmentent leur vitesse de frottement. Elle tremble d’excitation, se raidit.
– « Monsieur… »
« En vraie bonne chienne de ton Maître que tu es… te frotter ainsi dans un parc public… te lamenter de plaisir de façon si inappropriée… regarde-toi… ma belle poupée sexuelle… » Je lui souris, sur le bord du rire : « ah que je reprendrais bien de ta liqueur servie pression en bouche, ma belle gorgée… »
Et le miracle fut : elle coule. Prodige. Avec ses propres doigts. La dalle s’en prend encore plein la gueule.
J’en suis très fier. Je lui fais savoir que je suis fier d’elle. Moment important pour ma soumise d’amour. Une victoire pour la femme.
Son entraînement porte ses fruits.
Variation sur le même thème
Reprendre la scène… cette fois-ci avec des voyeurs, qui assistent de loin… ou de plus près.
L’article Une soumise à califourchon sur le banc public impudique est publié dans le site cercle O - L'échange de pouvoir érotique.