34713 éléments (3171 non lus) dans 75 canaux
Les Drôles de Dames sont probablement les nuits transgenres les plus délurées de l’agenda Keskonfé ? Paris Derrière. Et voilà un bien bel argument pour aller y jeter un œil. Alors, je m’y rends les yeux fermés (enfin pas complètement), comme une novice (vous savez bien que je suis vierge et pure) et très enthousiaste.
J’ai découvert grâce à une amie adorable, un petit cœur, qui me met toute de suite à l’aise :
- J’ai hâte de te présenter mes amies, tu vas voir, elles sont toutes super gentilles. Tu vas adorer. Ici, c’est « Toutes tendances confondues ».
Face au bar, la DJette met le feu à la piste de danse, illuminée par les stroboscopes, des personnes montent et descendent sans cesse des étages du club.
soirée ddd
Certaines drôles de dames touchent quasiment le plafond, d’autres font la même taille que moi en talons de 15cm, alors qu’elles portent des chaussures plates (quand on naît homme, on naît souvent grande, c’est très mignon). Elle me présente l’organisatrice Melany, qui voit de suite que je suis comme un petit poisson dans un nouveau bocal, à regarder tout autour de moi :
« Alors, ça va bien? C’est la première fois que tu viens ? Surtout, ne sois pas stressée. C’est super bon enfant ici. On est là pour s’amuser. Je suis enchantée de faire ta connaissance ma belle. »
soirée ddd
Le club est littéralement blindé. Tout le monde me sourit, alors forcément c’est communicatif, je me sens bien. La piste de danse est véritablement bondée et l’ambiance est glamour. Côté vestimentaire, j’hallucine un peu : c’est le paradis sur terre. Toutes les excentricités sont permises : travestissement bien sûr, tenues fétish comme des ensembles en vinyle ou dénudées en lingerie corsetée. Les hommes sont la plupart en costumes, en tenue décontractée sympa, voire en tenue excentrique car l’un d’eux porte avec fierté une combinaison Zentaï bleu électrique, révélant tout de sa morphologie masculine. Personne ne juge personne, et ça c’est presqu’extraordinaire. Pour ma part, je me sens un peu nue, en mode libertine, avec un t-shirt rose en résille trop court, qui m’arrive en dessous des tétines, une mini-jupe transparente et des talons vertigineux en satin rose : ça passe comme une lettre à la poste. Ça ne choque personne.
Ce que je n’ai pas précisé, c’est que les rendez-vous « Drôles de Dames » se tiennent dans le club libertin parisien Le Château des Lys. Et ça c’est top pour la libertine que je suis. Je connais déjà les 4 étages par cœur. En général, une soirée libertine c’est pour moi comme une immense salle de jeu pour adulte, et cette soirée-là confirme complètement la règle. Waouh waouh…
Côté sexuel, tout est possible : regarder, vibrer en duo langoureux, s’éclater en trios indécent ou en mini gang-bang, s’épanouir dans des jeux de domination/soumission dans la cave aménagée en donjon, ou pratiquer une bonne fellation (à plusieurs sur le même homme) sur la piste de danse… vraiment plus chaud que chaud… C’est brûlant.
Je n’ai au fond qu’une seule recommandation : n’oubliez pas que dans tout divertissement sexuel, rien n’est dû, et chacun(e) est libre de dire oui, de dire non, et quand c’est non, c’est non.
Soyez fairplay, donnez le meilleur de vous-même et toutes les natures humaines vous le rendront au centuple…
Prochaine date de la soirées Drôles de Dame … voir agenda Keskonfé ? Paris Derrière
Château des Lys, 103 rue Marcadet, Paris 18
Tarif : T-Girls &femmes 25€, Couples 50€, Hommes 60€
Inclus 2 consos alcoolisées par personnes ; open bar pour les softs
à suivre, la nouvelle exploration d’Eve : la soirée Escualita – parution prochainement
The post Nuits transgenres à Paris – partie 2 : Les Drôles de Dames, la soirée la plus cul appeared first on Paris Derrière.
« Ce soir, je vous présente un velouté de courge butternut que l’on servira dans la coque du légume. Il faudra donc prendre soin, en prélevant la chair, de ne pas lui défoncer le cul avec la cuillère, car c’est un légume à la peau très fragile… Autrement vous serez bon pour sortir la soupière. Voyez, … Lire la suite →
The post Les gourmandises d’Octavie appeared first on Julie Derussy.
Use Privacy Stickers to cover your laptop, PC, and tablet webcam — get more online self-defense techniques in my book, The Smart Girl’s Guide to Privacy.
Image above: Permaid by Nate Walton.
Elisa nous a contactés parce qu’elle pensait qu’elle avait « vaguement des choses à raconter ». Elle écrivait :
« J’ai pas une vie sexuelle tout à fait incroyable, mais j’ai quelques évènements marquants. Je suis lesbienne (parce que je suis amoureuse des filles) mais je couche avec tout le monde. »
Elle a voulu témoigner dans cette rubrique parce qu’elle trouve que c’est bien de désacraliser le sexe et parce que « contrairement à plein de gens à qui j’ai demandé, surtout les filles, je ne regrette aucune de mes relations sexuelles ».
Elle m’attendait sur le quai de la gare de...
Secularists will be gathering on 7 February 2015 in London for a day conference on Sharia Law, Apostasy and Secularism. The event follows an historic conference in October 2014 on the Religious-Right, Secularism and Civil Rights.
- Textes en anglais/English SectionParis est, paraît-il la ville la plus romantique du monde. La capitale des amoureux ? Vraiment ? Je rie. Dans la capitale, conjugalité et sentiments sont mis à rude épreuve. Les horaires à rallonge et la flexibilité des horaires diminuent les possibilités de se retrouver pénard, sans les gosses, belle-mère, panoplie habituelle etc… Le phénomène des sites de rencontre conjugué au rétrécissement des distances (près de 30 000 parisiens au kilomètre carré, l’une des plus forte densité d’Europe), place la tentation à porter de smartphone, infidélité et libertinage. Tout ce qu’il faut pour du bon Vaudeville. A Paris, 1 mariage sur 2 finit par un divorce (contre 1 sur 3 au niveau national).
Alors, avant d’en arriver là, entretenez la flamme. Pour oublier le quotidien et se retrouver dans une bulle l’espace d’une nuit ou d’une sieste crapuleuse, pas besoin d’attendre la St-Valentin. Sur Paris derrière, c’est toute l’année.
hotels aphrodisiaques – les bons plansMoi qui suis sage comme une image, je n’ai pas eu la chance d’essayer ces chambres, mais voilà ce que j’ai trouvé sur internet. Pour la plupart de ces plans, dans la journée aussi, vous pouvez vous retrouver quelques heures dans l’intimité. Des hôtels proposent des chambres en D Use. Un couple débarquant en début d’après-midi ou même le matin pour louer les lieux quelques heures, ne choque guère personne. Généralement le tarif de la chambre est 50% moins cher que pour la nuit (ce qui reste assez cher pour quelques heures par rapport à une nuit, mais passons…)
La suite Gourmandise du Vice Versa (Paris 15ème), un hotel décoré par la reine de la lingerie de luxe Chantal Thomas. 7 étages et des chambres sur le thème des 7 péchés capitaux : la gourmandise, la luxure… de 150 € à 405 € la nuit. Le package romantique 1 nuit + petits déjs + love box 240 €. D Use: 89 € à 180 €
Chaque chambre été conçue par un créateur d’art contemporain : Sophie Calle, Pierre Le Tan, Marc Newson, M & M ou le photographe Terry Richardson. Jaune, rose, mauve ou noir, à chaque chambre son thème et son ambiance, de la plus cosy à la plus gothique : mur-bibliothèque rempli de magazines photos et livres SAS, bar à vodka, plafond recouvert de petites boules à facettes qui se reflètent sur le lit, murs noir et blanc aux dessins psychédéliques dont certains détails deviennent fluorescents dans la pénombre. Dans ces chambres, ni téléphone ni télévision, mais tout ce qu’il faut pour s’aimer sur la musique de son choix. Inutile de mettre le réveil, le petit déjeuner est servi jusqu’à midi. Vous pouvez aussi le prendreau restaurant dans un joli jardin intérieur.
De 170 € à 340 € la nuit. A partir de 110 € en D Use.
- sur le site Sexy Hôtel Paris propose des adresses aux chambres raffinées et romantique, avec jacuzzi au pied du lit, douche transparentes ou miroirs au plafond. Ces hôtels se situent dans les quartiers touristiques (Champs-Elysée, Trocadéro etc…) Comptez quand même entre 300 et 500 euros. Cher mais quand même bien moins qu’un palace !
- dans le nouveau guide Osez faire l’amour à Paris de Marc Dannam aux éditions La Musardine.
- le blog très bien renseigné de Waid and See, le dandy plus sage qu’il n’y parait
- sur le site des hôtels qui pratiquent le D Use http://www.dayuse-hotels.com
Hélas, à Paris nous n’avons pas Property Island City Lodge, passage obligé si vous passer un week-end à Berlin. Son seul point noir: il se trouve dans quartier ouest assez chic mais moins branché et authentiques qu’à l’est. Là, j’ai essayé et c’est vraiment délire ! Prix moyen : 115 € la nuit.
The post Comment rester amoureux à Paris ? les hotels aphrodisiaques appeared first on Paris Derrière.
http://www.tetu.com/2015/02/01/sexy/porno-buzz/johnny-rapid-des-noirs-passifs-et-le-site-x-le-plus-populaire-du-monde/|«Pourquoi, dans les scènes de porno interracial, l’acteur noir est systématiquement actif ?» Vous avez quatre heures. Cette question, un blogueur l’a posée dans un billet sur le Huffington Post américain. La réponse d’un producteur est sans détours: «La plupart des hommes blancs qui regardent du porno fantasment à l’idée d’être soumis par un voyou des rues.» Donc forcément un homme noir…
Dans son garage, Space recycle des motos et fabrique des « poupées d’amour ». Il fait visiter son atelier à François Beaune, réalisateur sonore et écrivain.
« Déjà tout gamin, je sentais que y avait plus que ça à faire. Les femmes étaient complètement inaccessibles, comme une civilisation extérieure à mon monde. Les femmes, c’est bizarre. Pourtant, j’adore ça. Mais qu’est-ce qu’elles sont compliquées. »
On n’imagine pas, mais fabriquer une bonne poupée, c’est du boulot. On sent que Space pourrait parler des heures des avantages comparés de la silicone, de l’usage des coquilles...
Parmi les fétichisme les plus répandus, la podophilie est sûrement la paraphilie la plus connue et la plus visible en soirée. On y voit des tas d’hommes allongés comme des carpettes aux pieds de sublimes demoiselles. Pour beaucoup cet attrait pour les pieds féminins est divin. Si l’on s’assume fétichiste, dans les bonnes mœurs actuelle, cela passe souvent mal, car il y a cette connotation de pervers. Dans le milieu BDSM en revanche cela reste normal. En revanche notre communauté pourtant censée être très ouverte d’esprit, nous étonne elle même, en abusant de certains clichés, et le suivant est peut être le plus ancré dans les têtes de nos chers membres :
« Le fétichiste des pieds est une soumis ! »
Or si l’on accorde un temps soit peu d’importance aux divers pratiques, et bien que je conçoive parfaitement que certains fétichistes des pieds sont soumis et qu’il n’y a aucune honte à cela, on s’aperçoit que plusieurs kinks envers les pieds sont clairement des jeux de domination.
Prenons en exemple le tickling. Qui est le fétichisme des chatouilles, souvent les « ticklers » sont de vrais fétichistes des pieds, et adore utiliser d’instruments de tout horizon pour « torturer » les affriolantes plantes de pieds de ces jolies demoiselles. Parfois ils utilisent aussi leur langue, leurs doigts, et même leurs cheveux. Citons en exemple le site Frenchtickling.com qui officie depuis plus de 14ans dans ce domaine.
Nous pourrions parler de la répandue pratique sadique de la « falaka » parfois appelée « bastinado » qui est de frapper avec une canne en bambou, ou tout autre instrument la plante des pieds. A l’origine il s’agissait d’un supplice égyptien, et toujours pratiqué à l’heure actuelle dans certains pays du moyen orient. Pourtant de manière érotique et consentant et surtout safe, cela devient un jeu entre les partenaires, et les sensations sont garanties !
Puis il y a les simples fétichistes, qui eux ne sont ni dominants ni soumis, qui aiment simplement jouer avec les pieds d’une demoiselle, sans être considérés comme des tapis humain, ni comme des « chiens » qui n’aiment pas obéir aux ordres, ni même se baisser ou s’allonger. Ils aiment avoir une discussion en faisant un bon massage à ces dames, parfois utiliser leurs langues pour donner un peu de piment dans ces petits jeux si sensuels, et pourtant il n’y a rien d’autre qu’un simple échange érotique, sans aucune notion de domination ou de soumission de la part d’une personne ou de l’autre.
C’est pourquoi je dis « Halte aux clichés ! » Amusons-nous et arrêtons de nous coller des étiquettes et/ou de nous prendre trop au sérieux ! Nous sommes des joueurs, alors jouons simplement.
Auteur : Legrand D’Angers
La terreur ne connaît aucune trêve dans les territoires soumis à la loi de Daesh, l’organisation Etat islamique. Hier samedi, alors qu’une vidéo supposée représenter l’exécution de l’otage japonais Kenji Goto était mise en ligne, le site américain SITE Intelligence Group a signalé une autre séquence sur les réseaux jihadistes: celle de l’exécution d’un homme présenté comme «sodomite» (amil qawm Lût). Le châtiment pour ce type de «crime» est tristement connu: l’individu est précipité du haut d’un immeuble. En l’occurrence, cette nouvelle scène se déroulerait dans la ville syrienne de Raqqa, fief des jihadistes, précise SITE. La victime est un homme âgé apparemment d’une quarantaine d’années, entravé et les yeux bandés.
Captures de la vidéo (cliquer sur l’image). Attention: ces documents peuvent heurter les sensibilités.
Sinistre nouveauté: les jihadistes ont ajouté un plan où l’on voit un des bourreaux, la main sur l’épaule du condamné, dans une expression d’empathie apparente. «L’auteur est instruit des bienfaits de la repentance envers Dieu tout-puissant», indique le banc-titre. Après l’exécution, la séquence montre l’homme à terre. Son corps inanimé est lapidé par un groupe d’une cinquantaine d’hommes.C’est la troisième vidéo de ce type diffusée par Daesh. La précédente, apparue début janvier sur le web, montre une scène qui se serait déroulée à Mossoul, en Irak. Il s’agissait d’une exécution collective: deux prétendus «sodomites» avaient été jetés depuis le toit d’un building et trois «bandits» crucifiés et passés par les armes. En novembre, c’était déjà dans la province de Raqqa, mais manifestement dans un autre lieu, qu’un homme présenté comme homosexuel avait été défenestré.
Dans tous les cas, aucun détail sur la nature des «crimes» imputés par les jihadistes à leur victime n’a été divulgué. Rappelons que ces événements nous sont connus par la propagande de l’organisation Etat islamique, et n’ont pas été, à ce jour, corroborés par des témoins indépendants.
«Changez la société, s’il vous plaît». C’est par ces mots que Leelah Alcorn, jeune trans américaine de dix-sept ans, a conclu sa lettre d’adieu avant de se donner la mort le 28 décembre dernier. Rejetée par sa famille traditionaliste et bigote à la suite de son coming-out trans (effectué à l’âge de quatorze ans), la jeune fille voulait que son geste ne soit pas ignoré. Son vœu s’est réalisé au delà de ses espérances : son histoire a fait le tour du monde et elle est devenue un symbole du calvaire vécu par beaucoup de personnes transgenres. En France, le cas de Leelah n’est malheureusement pas inconnu des associations trans qui se battent pour faire évoluer la situation des trans. «Le suicide est une réalité», reconnaît Giovanna Rincon, directrice de l’association Acceptess-Transgenres. Pour cette responsable associative, «l’absence de droits et d’accompagnement proposé aux personnes trans et notamment aux plus jeunes» peut être l’un des facteurs déclencheurs de ces situations dramatiques.
Détresse et discriminations
Heureusement, toutes les histoires ne se terminent pas aussi tragiquement. Contrairement à celui de Leelah Alcorn, le coming-out trans de Valentin, vingt-et-un ans, a pleinement été accepté par sa famille. Ce qui n’a pas empêché le jeune homme de faire face à des discriminations. «Mes études sont devenues très compliquées après ma transition», confie-t-il. Dans sa formation d’éducateur spécialisé, il demande à être appelé par son prénom masculin. Ses professeurs refusent. «Pour moi, il était inimaginable psychologiquement et socialement de ne pas être appelé par mon bon genre». Il se résout alors à quitter son école. Aujourd’hui, il travaille dans un centre aéré, tout en occupant les fonctions de vice-président du MAG Jeunes LGBT, une association qui vient en aide aux jeunes LGBT à Paris et en Île-de-France. Le nouveau combat de Valentin est celui d’un grand nombre de personnes trans : le changement d’état civil. La loi exige pour cela une irréversibilité des modifications corporelles. Autrement dit, la stérilisation, une chirurgie lourde et surtout jugée profondément discriminatoire. Hors de question pour Valentin de se plier à cette procédure. François Hollande s’était pourtant engagé à y mettre fin lors de sa campagne présidentielle, une promesse qui semble pour l’instant abandonnée. «Je connais ce problème, des détresses immenses et parfois des suicides m’ont été signalés», avait déclaré le candidat socialiste en réponse à une question du magazine Têtu, en avril 2012. Son renoncement ne passe pas auprès des associations. «Il faut absolument changer la loi et laisser le choix aux personnes», explique Giovanna Rincon. «Comment supporter de ne pas être reconnu dans son intégrité au sein de la société ?».
Photo : selfie de Leelah Alcorn posté sur son Tumblr © DR
Illustration : dessin d’hommage à Leelah Alcornn © Wunking
The post Suicide de la jeune Leelah Alcorn : en France aussi… appeared first on Heteroclite.
Ce n’est jamais simple, et encore moins évident, de relancer une soirée régulière après plusieurs années d’arrêt. D’abord connues sous le nom de Equalizer puis de Zinella, les nuits « Soumissions Exquises » furent durant de longues années avec la Nuit Élastique l’un des deux grands rendez-vous fétichistes et BDSM réguliers de la capitale. Depuis quelques mois, les organisateurs des soirées Zinella se sont mis en tête avec courage et patience dans l’organisation du retour au premier plan de leur nuits mêlant fétichisme, domination/soumission et véritable esprit libertin (un mélange assumé qui en fait depuis sa création sa particularité et son originalité) qui vient ce samedi 31 janvier 2015 à La Crypte (un club situé entre République et Le Marais) de porter ses fruits avec un incontestable succès : une ambiance plus que chaleureuse, disons plutôt chaude voire bouillante, un monde fou (la soirée n’était pas loin d’afficher complet), des sourires et des gémissements de plaisirs venant de tous les espaces, coins et recoins du club et même une piste de danse pleine durant quasiment toute la nuit (alors que ce n’est pas d’ordinaire une des spécificités des soirées Zinella) avec l’appel en dernière minute de deux des trois DJ’s résidents de la Nuit Élastique : DJ Jonathan et DJ Francis Loup.
Pour résumer, pour les moins jeunes d’entre vous, qui se souviennent des soirées Zinella au Cléopâtre et à L’Indépendance (deux lieux qui ont disparu depuis plusieurs années), il faut à nouveau désormais compter avec Zinella et se tenir informé des prochaines dates et lieux où Zinella vous fixera rendez-vous. Si vous aimez et assumez le mélange du fétichisme et du libertinage débridé, si le sexe parfaitement intégré aux pratiques BDSM ne vous fait pas peur, mieux vous comble, Zinella vous comblera comme la petite centaine de personnes présentes en ce dernier jour de janvier 2015.
Pour rester informé visitez leur site : www.zinella.com