Parce que mouvement féministe, nous dénonçons la précarité grandissante des femmes, les inégalités salariales croissantes, la dégradation et la casse des services publics.
Parce que mouvement d’éducation populaire, nous constatons l’absence d’écoute, le mépris, la négation de la parole des personnes par les classes dirigeantes.
Parce que nos adhérent.es, nos militant.e.s (bénévoles et salarié.es) sont confronté.e.s ils et elles aussi à la précarité, aux inégalités de classe.
Lundi 04 Février 2019