Deux études, présentées à la Conférence CROI de Boston, ont montré que l'utilisation d'anneaux vaginaux imprégnés d'un antirétroviral réduit l'apparition de nouveaux cas d'environ 30% chez les femmes incluses dans les essais. Un résultat décevant.
Les femmes, et notamment les jeunes femmes, sont l'un des groupes les plus touchés par le VIH en Afrique, et de nouvelles stratégies de prévention efficaces et faciles à utiliser sont nécessaires pour infléchir le taux d'incidence dans cette population. Dans ce contexte, les résultats des essais RING et ASPIRE, menés auprès d'environ 4500 femmes d'Afrique sub-saharienne, étaient très attendus.
Jeudi 25 Février 2016