La Cour Constitutionnelle de Bolivie a refusé la dépénalisation de l'avortement demandée par les militantes féministes, mais dans le même temps la nécessité d'une autorisation judiciaire pour avorter a été supprimée.
En cas de viol, d’inceste, d'enlèvement ou quand la vie ou la santé de la femme est menacée, elle ne sera plus exigée. En cas de viol, un dépôt de plainte est encore demandé.
Ce verdict marque une avancée puisque l'autorisation judiciaire constituait jusqu’à présent une des entraves majeures pour les femmes qui souhaitaient avorter, mêmes dans les situations prévues par la loi.