L’équipe du Cabinet de Curiosité Féminine vous souhaite de bonnes fêtes à toutes et à tous.
On revient très vite, c’est promis !
The post Bonnes fêtes à toutes et à tous! appeared first on Le Cabinet de Curiosité Féminine.
33875 éléments (2252 non lus) dans 75 canaux
L’équipe du Cabinet de Curiosité Féminine vous souhaite de bonnes fêtes à toutes et à tous.
On revient très vite, c’est promis !
The post Bonnes fêtes à toutes et à tous! appeared first on Le Cabinet de Curiosité Féminine.
Depuis une semaine, nous avons quelques soucis avec le design du site mais également sur les connexions de plus de 10mn au site. Nous ne savons pas si il s’agit d’un piratage ou bien de problèmes plus techniques mais nous tentons de remédier à cela. Nous sommes désolées pour les couleurs criardes ou trop foncées, les blocs gris qui n’ont rien à faire ici, des surlignages jaunes et les déconnexions au site…
Nous travaillons dessus!
The post Des petits soucis de connexion, de couleurs sur le site appeared first on Le Cabinet de Curiosité Féminine.
« Ce 17 décembre, Journée internationale de lutte contre les violences faites aux travailleuses et travailleurs du sexe, plusieurs associations appellent à un rassemblement à Belleville à 18 h 30. Parmi elles, un nouveau collectif de femmes chinoises prostituées. Reportage sur la naissance d’un mouvement d’empowerment. »
Lire le reportage de Camille sur Les Inrocks >>
The post A Belleville, les prostituées chinoises sortent de l’ombre appeared first on Le Cabinet de Curiosité Féminine.
A Limoges, Jean-Pierre Loustaud réalise des fouilles dans la région depuis 40 ans. Son travail porte essentiellement sur le sexe et l’érotisme en Limousin dans l’Antiquité. On y apprend que, tout comme les villes gallo-romaines, on ne s’ennuyait pas à Augustorinum-Limoges !
The post L’érotisme antique à Limoges appeared first on Le Cabinet de Curiosité Féminine.
La symptothermie est une méthode de contraception féminine naturelle basée sur l’observation de soi et de son corps. Une méthode économique, écologique tout aussi efficace que la pilule, appuyée scientifiquement et agréée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Une démarche qui permet aux femmes de renouer avec les réactions de leurs corps. La technique consiste à observer et noter quotidiennement les signes de fertilité féminine sur un graphique : la température matinale, les caractéristiques de la glaire cervicale et celles du col de l’utérus. Ces observations permettent ensuite d’identifier les trois phases du cycle (indices combinés) : infertilité relative, fertilité probable et infertilité certaine.
Une alternative aux contraceptions hormonales qui sont souvent accompagnées d’effets secondaires tels que maux de tête, nausées, sensibilité des seins, saignements irréguliers, irritation de la peau, acné, perte de la libido, etc, mais les hormones artificielles augmentent à plus long terme le risque de certains cancers (quoiqu’elles les réduisent pour les cancers de l’endomètre et des ovaires).
Pour que la méthode symptothermique soit efficace, il faut qu’elle soit bien enseignée, bien comprise et appliquée avec soin et assiduité.
Au delà de l’aspect contraceptive, cette méthode permet en outre de repérer les symptômes de l’ovulation et de déterminer quel est le meilleur moment pour favoriser une grossesse. Sachez qu’après plusieurs années de pilules, la possibilité que le cycle ait besoin de plusieurs mois pour redevenir ovulatoire est souvent observé, un point négatif de plus pour les contraceptions artificielles.
Pour résumer, cette méthode nous amène vers une connaissance profonde de notre corps et ainsi une meilleure compréhension entre nos états d’âme et les réactions physiques de notre corps. Il nous amène aussi vers une plus grande autonomie dans la gestion de notre fertilité. Ainsi que sur le parcours d’éveil à la féminité. Une osmose entre notre tête et notre corps!
Attention à ne pas confondre cette méthode avec les tests d’ovulation vendus en pharmacie qui sont, eux, non fiables et la méthode du calendrier (Ogino-Knauss), une méthode qui date des années 30, où l’on tentait alors d’établir le moment de l’ovulation exclusivement par des calculs basés sur les cycles antérieurs. Cette méthode s’est avérée dans l’ensemble peu efficace car ses calculs ne tenaient pas compte des ovulations plus précoces ou plus tardives qui pouvaient survenir.
Nous vous conseillons le site de l’organisme Québécois Seréna afin de bien comprendre de quoi il s’agit et quels sont les bienfaits d’une telle méthode.
Vous avez à votre disposition pour la France sympto.org via facebook
Mais aussi un contenu complet sur la symptothermie à lire par ici
The post La symptothermie, une contraception naturelle mais pas que… appeared first on Le Cabinet de Curiosité Féminine.
Il y a un an, l’une de nos contributrice avait écrit un article à propos des odeurs corporelles et de la sexualité que vous pouvez relire ici >>
Nos lectrices et lecteurs très attentionné(e)s nous envois régulièrement des articles qu’ils ont aimé et cela nous vous en remercions. Il s’agit là d’un article qui permet de compléter celui du Cabinet de Curiosité Féminine en lien ci-dessus traitant la disparition programmée de nos odeurs corporelles. Un article très intéressant ! Lire l’article sur le blog de Le Monde >>
The post La disparition programmée de nos odeurs corporelles appeared first on Le Cabinet de Curiosité Féminine.
@Helumut Newton
Les moralistes s’acharnent et censure d’avantage le porno en Grande-Bretagne. Un article pertinent auquel on adhère sur le + Nouvel Obs >>
The post Le porno censuré en Grande-Bretagne, retour de la « morale victorienne » appeared first on Le Cabinet de Curiosité Féminine.
Cet atelier a eu lieu au Hangar 56, galerie et lieu culturel alternatif, au 56 Avenue Parmentier – 75011 Paris.
L’atelier fut proposé par Le Cabinet de Curiosité Féminine et animé par Le Bon Docteur Senzo M. et l’artiste plasticienne Nathalie Mondot, qui contribuent au collectif Erosticratie et au nouveau festival Erosphère. Ils pratiquent tous deux la domination en tant que donneur. Il est ponctué d’interludes avec des mises en situation avec deux modèles, respectivement le beau JU qui sera dirigé par Senzo et la charmante Vi aux côtés de Nathalie.
INTRODUCTION
Il y a autant de BDSM que de personnes, le partage et l’échange permettent à chacun d’explorer ces pratiques lors de cet atelier.
Une première mis en commun des intérêts motivant les participants à venir permet de mettre à jour quelques questions ou a priori que l’on peut avoir sur le BDSM :
- Le BDSM est-il compatible avec le féminisme ? Une femme féministe peut-elle être soumise? Est-ce dévalorisant ? Un homme féministe a-t-il le droit de dominer, de se faire dominer ?
- Le BDSM est-il violent ?
- Le BDSM relève-t-il de la maladie mentale ?
- Quand le BDSM devient-il ridicule, caricatural ? Est-on obligé d’aimer le cuir quand on veut pratiquer le BDSM ?
- Est-ce que les statuts de soumis et de dominant renvoient à des problèmes qu’on n’aurait pas réglé pendant l’enfance ?
- Le BDSM ne met-il pas en avant les accessoires plutôt que le plaisir ?
Quelques éléments de réponses :
- Le BDSM reste avant tout un jeu sexuel où le plaisir est le maître-mot.
- Le BDSM permet à chacun d’épanouir des capacités insoupçonnées jusqu’alors.
- Les personnes qui osent le BDSM revendiquent leur normalité, mais aussi leur créativité. Arriver au BDSM demande une certaine maturité d’un point de vue sexuel.
- Sur la question du rapport au féminisme : Le genre de la personne soumise a de l’influence : paradoxalement, il est parfois finalement plus difficile de soumettre une femme car cela oblige à s’affranchir de l’aspect dégradant. Il faut bien tenir compte qu’il s’agit de jeu sexuel, et ce côté second degrés, aide à lever les freins.
- Sur la notion de soumission : la personne qui se soumet prend possession de sa propre sexualité de façon plus ou moins lucide. Si elle est bien informée, on peut parler de consentement éclairé. Se faire soumettre n’est pas simple, dominer non plus. Au-delà de cette notion, certaines personnes qui pratiquent le BDSM ne se considèrent ni comme soumis ni comme dominant, mais plutôt comme des joueurs ayant plusieurs types de ressources et possibilités. De plus, le soumis a un certain pouvoir, au point que certains se mettent en situation de soumission pour prendre le pouvoir de façon plus prenante encore : on parle alors de souminateur(trice). En somme, on peut aussi porter un autre regard : d’un côté, il y a celui (celle) qui donne et de l’autre, celui (celle) qui reçoit. Certains couples alternent, et on parle alors de cas où on « switch » de positions, et bien d’autres nuances sont envisageables.
- 7% de la population déclare avoir des pratiques BDSM, répartie dans toutes les catégories sociales, ce qui retire cet aspect élitiste que les médias mettent en avant.
- L’esthétique prend une place importante dans le BDSM, inspirant l’érotisme mais pouvant parfois verser dans le mauvais goût, comme partout ailleurs.
LE CADRAGE dans le BDSM
Le BDSM peut être une pratique à risque à la fois au niveau physique et psychologique. Elle nécessite donc un cadrage, qui est une des caractéristiques nécessaire du BDSM pour éviter les accidents.
En pratique, le cadrage consiste à organiser des règles autour des limites et du plaisir. Autrement dit, le rapport de pouvoir fait ici l’objet d’un dialogue, voire d’un débat. Il aboutit à un écrit ou une verbalisation sur la question du BDSM envisagé.
Au travers de cette pratique, la question de la confiance est capitale et c’est cela qui est en jeu dans le cadrage.
Quelques bonnes pratiques sur le cadrage :
- avant de commencer, s’assurer que chacun est en forme et en pleine possession de ses moyens (la consommation de drogues et d’alcool est à ce titre totalement déconseillée).
- veiller à signaler avec franchise les points sensibles ou fragiles, un problème physique ou un tabou particulier. Il est important d’évoquer ces points avant d’aller plus loin, tant pour le soumis que pour le dominant.
- Savoir dire non et s’assurer que l’on sait dire non. Le Bon Docteur Senzo M. en est convaincu : « Il n’y a pas de oui qui ait de valeur de la part d’une personne qui ne sait pas dire non ». En tant que dominant, il s’agit également de cerner une personne qui ne sait pas dire non. Pour cela, on peut tester la personne dans d’autres domaines et surtout y aller progressivement en se montrant compréhensif tout au long du cheminement.
- Eventuellement, établir une check-list. C’est un outil intéressant, mais qui peut effrayer les novices car on doit passer en revue bien des pratiques impressionnantes qui lui sont inconnues. De plus, la check-list oblige à dévoiler des choses que certains préfèrent cacher pour plus de plaisir. Pour plus de souplesse on peut :
> Etablir une check-list partielle
> Faire évoluer la check-list en la révisant régulièrement. En effet, les limites ne sont pas immuables, le BDSM joue avec les limites, les contourne…tout en en tenant compte.
- Définir un safe word(mot de sûreté). Lorsqu’une personne prononce le safe word, cela provoque un arrêt immédiat, une sortie du jeu sans sanction. Tout de suite, il s’agit de faire preuve des deux côtés de cette bienveillance, ou care, qui permet de rentrer et sortir du voyage érotique ensemble. A travers cette possibilité, on comprend que le droit à l’échec est envisagé d’emblée, sans être appréhendé de façon négative. Autrement dit, le fait qu’un point limite soit atteint pour une personne n’est pas négatif, il s’agit plutôt d’assumer sa vulnérabilité et de la mettre en jeu pour mieux l’accepter. Dans les jeux BDSM, les faiblesses deviennent ainsi une matière première comme une autre, au même titre que les désirs, fantasmes, tabous, manies, et la question de la performance devient annexe.
Quelques bonnes pratiques sur le safe word :
> Il vaut mieux choisir un mot rare.
> Le mot « non » ne peut en aucun cas être un safe word.
> L’instauration d’un safe word est valable pour le soumis comme pour le dominant, car ce dernier peut aussi toucher ses limites.
INTERLUDE : sensorialité, sensualité, sexualité
La sensorialité a une place majeure dans le BDSM qui se nourrit beaucoup de la variété des sens que l’on peut éveiller. Les scénarios se tissent autour de l’intensification des récepteurs qu’on sollicite : la peau, les sens, les orifices. On parle de lacher-prise BDSM.
Le lien douleur-excitation est très présent dans le BDSM. L’excitation des sens via le BDSM fait monter l’adrénaline et l’endorphine, en jeu dans la douleur mais également dans le plaisir. On parle d’algolagnie lorsque la douleur se transforme en excitation sexuelle, qu’elle est érotisée.
Avec le BDSM, on joue à réduire tour à tour les différents canaux de communication, car le fait d’être privé d’un canal peut désinhiber les autres.
Quelques objets et pratiques pour éveiller la sensorialité :
éventail, eau fraiche, glaçon, bougies, cordelettes en cuir, massages, métal, masque, cagoule filtrante, bâillon, masque vibrant, fouet, pinces en tous genres, bulles, baguettes, ceinturon, ustensiles de cuisine en tous genre, accessoires de frappe… bref certains outils sont spécifiques mais bien d’autres impliquent simplement un détournement et un peu (ou beaucoup) d’imagination.
Le recours au contraste et aux oppositions est fréquent dans les outils. Comme par exemple vaporiser de l’eau fraîche après la chaleur de la cire.
Quelques bonnes pratiques autour de la sensorialité :
- Durant l’entrée en matière, il est important de choyer le soumis, de le mettre en confiance, de l’amener à se détendre.
- A toutes les étapes, il s’agit de savoir ce que le(la-les) partenaire(s) ressent(ent). Plusieurs possibilités pour cela :
> Tester sur soi
> Demander un retour sur une échelle de valeur, par exemple de 1 à 10, ou par des gestes, en baissant ou montant la main par exemple.
> Attention à bien poser des questions ouvertes (éviter celles qui amènent juste un oui ou un non), pour laisser venir les mots et précisions.
Par ailleurs, la qualité de la relation BDSM dépend aussi de la dramaturgie et du suspens qu’on y met. Il s’agit de balayer la connaissance du corps et d’imaginer ce que l’on peut en faire. De nombreux détournements du quotidien permettent de créer une situation BDSM.
A travers le BDSM, on rentre dans un personnage qu’on met en scène dans toute sa théâtralité. Le décalage identitaire est puissant en ce sens qu’il permet d’aller plus loin, d’être plus léger, ludique, de ne pas être soi.
Dans la relation érotique BDSM, la douleur devient un élément d’une sensation paradoxale, porteuse d’excitation. On fait mal, mais on soulage aussi de la douleur, amenant à la reconnaissance du dominé envers le dominant.
LES ENERGIES dans le BDSM
Certaines parties sont considérées comme interdites : le bas du dos, le ventre et l’arrière du cou.
L’énergie augmente sous l’effet de l’alternance déplaisir/plaisir, c’est elle qui est explorée à travers, par exemple, la fessée ou les coups de fouet.
Le plaisir réside dans la confiance accordée à l’autre et dans les possibilités d’explorer des zones troubles, de libérer son sadisme.
L’humiliation est présente dans le BDSM, elle est fréquemment demandée, plus souvent de la part des hommes. Les personnes ayant d’importantes responsabilités professionnelles sont effectivement plus souvent soumises, afin de se reposer de leur charge, mais ce phénomène n’est pas si simple et il s’agit finalement de considérer chaque situation en fonction des aspirations personnelles de chacun.
POUR ALLER PLUS LOIN …
Le festival Erosphère en France, une fois l’an, fin août à Paris
Le festival Xplore à Berlin et diverses grandes villes européenne selon les années.
Association Paris M, Association qui organise des débats et apéritifs sur les thématiques en lien avec le BDSM.
- Quelques livres :
> La bible du boudoir. Betony Vernon.
> Osez tout savoir sur le SM. Gala Fur.
> Dyptique : L’art de dominer et L’art de se soumettre. Dossie Easton.
> The Ethical Slut : A guide to infinite sexual possibilities. Dossie Easton et Catherine A. Liszt. Traduit aux éditions Tabou sous le titre La Salope Ethique
> http://www.tabou-editions.com/guides/44-la-salope-ethique-a-paraitre-
Un compte-rendu écrit par Misslice, Le Bon Docteur Senzo M. et Nathalie Mondot
The post Compte-rendu de l’atelier BDSM : « Fouette-moi chéri(e), stp! » appeared first on Le Cabinet de Curiosité Féminine.
A la base de ce projet : un homme, Thomas Mathieu. Après avoir vu le court-métrage de Sofie Peeters, Femme de rue, une vidéo en caméra cachée pour montrer le harcèlement subie par les femmes, Thomas Mathieu a demandé à ses amies si il leur était arrivé de vivre la même chose. Il a été surpris de voir que chacune avait plusieurs histoires de ce genre à raconter. Il s’est renseigné et a commencé à dessiner ces histoires liées au sexisme ordinaire incluant également le harcèlement de rue. Les hommes sont représentés en crocodiles, c’est pour lui une image qui englobe plusieurs idées : le sexisme, les clichés concernant le rôle de l’homme et de sa virilité… Si tous les hommes sont représentés de cette manière c’est qu’il s’agit d’un problème de société et non de quelques cas isolés, souligne Thomas Mathieu dans son avant-propos.
Les crocodiles, en vente en librairie.
Le 25 novembre dernier, 15 planches devaient être exposées à Toulouse lors de la journée internationale sur les violences faites aux femmes. C’est la mairie de Toulouse elle-même qui l’avait sollicité, seulement quelques jours avant l’exposition quelques voix s’opposent à ce projet, dont celle de l’élue UMP Laurence Katzenmayer. Cette dernière dénonce le caractère “provocateur et parfois vulgaire” de certains dessins. Parmi les images que les élus auraient trouvé choquantes, deux semblent avoir alimenté le débat. Une première où l’on voit un couple de lesbiennes se faire interpeller par un homme qui leur lance : “Hey les lesbiennes, vous voulez ma bite dans votre cul ?” La seconde montre une femme dont le copain la viole.
Il ne s’agit effectivement pas de dessins pour les enfants. Mais le harcèlement de rue et les autres violences ordinaires faites aux femmes sont une réalité que Thomas Mathieu dénonce intelligemment. Cette exposition aurait pourtant pu participer à sensibiliser sur ces sujets! En attendant que nos élus veuillent bien ouvrir les yeux, vous pouvez toujours aller voir le tumblr du Projet Crocodiles >>
The post Le projet crocodile appeared first on Le Cabinet de Curiosité Féminine.
Et si OSER ça s’apprenait ?
Oser être SOI, SEXprimer, Ressentir, Poser les bonnes questions au bon moment, et Rentrer connecté. Ce soir, parlons désirs, relations, sexualité via 3 jeux de communication pour dire tout haut ce que l’on pense trop souvent tout bas.
Informations pratiques :
- Lieu : Paris 1er arrondissement (le lieu est indiqué après réservation des places)
- Le : 4 décembre de 19h à 22h
- Tarif : 15 € en pré-vente (20 € sur place)
- Amuses-bouche et boissons fraîches de circonstance!
- Atelier animé par Alexia & Aurélie
- Atelier mixte.
The post Atelier : Oser SEXprimer le 4 décembre à Paris appeared first on Le Cabinet de Curiosité Féminine.