Chassez le naturel par la porte, il essaiera de pointer le bout de son nez par la petite fenêtre du grenier (je sais, j’ai un peu modifié l’expression). En effet, hier mon côté provocateur et taquin m’a fait oublier quelques minutes mon statut d’esclave et Maître n’a pas du tout apprécié l’humour de la chose…
En fait, ce n’est un secret pour personne, je suis douillette et n’aime pas la cravache. En revanche, mon Maître a une prédilection pour cet instrument qu’il apprécie particulièrement pour les punitions et hier après-midi, dans la voiture, la conversation est arrivée sur ce thème. Moi, l’esclave consentante de mon Maître, celle qui a déposé volontairement tous les pouvoirs à ses pieds, j’ai voulu lui forcer la main et le convaincre qu’il serait peut-être plus judicieux pour Lui d’utiliser d’autres instruments (le petit martinet qu’il n’utilise qu’en séance par exemple).
Face à sa réponse négative, au lieu de me taire et de passer à autre chose, j’ai insisté et sa réponse n’a pas trainé « Eh bien prépare tes fesses car Je vais l’utiliser dès que N/nous rentrerons à la maison, d’ailleurs tu ne parles pas de la ceinture, qu’en penses-tu ? ». Evidemment j’ai compris qu’il fallait me taire, mais un peu tard.
Je ne rentrerais pas dans le détail de ma punition, mais je peux vous dire maintenant que Martinet, Ceinture ou Cravache, lorsqu’on est douillette comme moi et qu’ils sont maniés pour punir, font aussi mal les uns que les autres…
Je Vous remercie Maître de cette leçon et j’ai bien compris ce que Vous disiez en parlant de tolérance zéro pour une esclave.
Je Vous aime…
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